Bonjour, nous sommes le 14/10/2024 et il est 14 h 21.

Les messages téléphoniques, les sites de réseau social, les jeux en ligne, les sites de partage vidéo, et les téléphones mobiles, sont désormais les accessoires de la culture des jeunes. Ils ont tellement imprégné la vie des jeunes qu’il est difficile de croire qu’ils n’existent que depuis une décennie.


Aujourd’hui, comme c’était d’ailleurs le cas hier pour leurs prédécesseurs, les jeunes arrivent à l’âge de la lutte pour l’autonomie et l’identité, mais ils le font au milieu de nouveaux modes de communication, de nouvelles formes d’amitié, de jeu et d’auto-expression.



La plupart des jeunes utilisent les messages téléphoniques pour étendre leurs relations amicales entre leurs contextes familiers, l’école, les organisations religieuses, les activités sportives et autres activités locales. Ils permettent aux jeunes de rester en contact avec leurs amis par cet outil, messagerie instantanée, téléphone mobile ou connexion internet.



Cette présence continue exige une maintenance et des négociations à travers des communications privées comme la messagerie instantanée ou les téléphones mobiles et à travers des communications publiques comme les sites sociaux tels que Watshap ou Facebook.



Avec ces pratiques conduites par l’amitié, les jeunes sont en contact constant avec des gens qu’ils connaissent déjà dans leur vie réelle. La majorité des jeunes utilisent les nouveaux médias pour passer du temps avec leurs amis et étendre leurs liens d’amitié.



Notre problème général de recherche réside dans l’ignorance de l’intérêt grandissant des jeunes face aux technologies de l’information et de la communication.

Des études antérieures ont pris en charge cette problématique, portant sur les jeunes.



En ce qui concerne les travaux antérieurs, ceux-ci nous ont permis de parcourir quelques travaux scientifiques réalisés à l’IFASIC traitant la même situation de l’enfant. Dont deux d’ entre eux ont pu particulièrement retenir notre attention. Le tout premier travail avait été présenté par Odia Kadima. Il porte sur la limitation de travail des enfants en République Démocratique du Congo .



La question de recherche de l’auteur était la suivante : quelles activités supplémentaires seraient susceptibles d’appuyer l’effort de limitation du travail des enfants ?





De cette question, l’auteur a répondu à titre d’hypothèse que l’Unicef élabore un certain nombre des programmes d’activités qui sont dirigées vers des personnes vulnérables dont les enfants. Dans sa conclusion, il a démontré qu’effectivement l’Unicef multiplies des actions de communication pour soutenir les actions des personnes vulnérables, d’où la validation de son hypothèse.



La seconde étude est celle menée par Ilongo Malonguate portant sur « les stratégies de cibles de communication de l’Unicef pour la vulgarisation des droits de l’enfant en République Démocratique du Congo ». L’étude d’Ilongo avait comme question de recherche : quelles sont les stratégies arrêtées par l’Unicef pour déterminer ses cibles de communication en vue de la vulgarisation des droits de l’enfant en République Démocratique du Congo ?

De cette question, l’auteur a émis l’hypothèse selon laquelle sont butés à plusieurs réalités qui ne leur permettent pas de respecter les droits de l’enfant. Il y a aussi le désengagement de l’Etat vis–à–vis de sa responsabilité de sécuriser tout citoyen. Dans sa conclusion, son hypothèse de recherche a été validée.

Notre problème spécifique de recherche est que nous voulons connaître et analyser la place que peut occuper messagerie téléphonique chez les jeunes.



D’où notre question spécifique de recherche : quelle est la place qu’occupe la messagerie téléphonique chez les jeunes de la commune de Lemba ?



À l’origine, les SMS ont été inventés par une équipe finlandaise dont Matti Makkonen, employé par Telia Sonera puis par Nokia, pour aider les personnes malentendantes à communiquer .

Lorsque le système a été lancé pour le grand public, beaucoup d’opérateurs restaient convaincus que les consommateurs préféreraient l'appel téléphonique pour communiquer. Avec un prix nettement moins élevé qu’un appel téléphonique, l'adoption fut un succès en dépit du fait que le message était facturé à l’unité.

Les SMS ont ensuite été développés à plus grande échelle lorsque ceux-ci ont été vus comme un moyen d'espace de désengorger le réseau téléphonique.

Le SMS permet de transmettre des messages de plusieurs milliers de caractères—découpés en sous-messages de 160 caractères, généralement ce sont ces sous-messages qui sont facturés ; anciennement, un seul (sous-)message était possible. Par extension, un SMS désigne également un message transmis par ce biais.

Kinshasa capitale de RD. Congo, est le siège des institutions nationales et internationales du pays, province, à part (au même titre que les onze provinces du pays) elle est dotée d’une personnalité juridique au terme de l’ordonnance loi n°82- 008 du 25 février 1982, en matière de décentralisation. Elle est située entre les latitudes sud 4° et 5° et les longitudes Est 15° et 16°, 32° .

Sa superficie est de 4965 km2, soit 0,4 % de l’étendue du pays. L’histoire de la ville de Kinshasa commence à 1881 et se confond à celle de deux villages N’shasa et N’tamo, qui deviendront plus tard Kinshasa et Kintambo.

A partir de 1923, la fonction administrative prit également une importante prépondérance. A cet effet, la viole capitale débordera de sa commune d’origine « Kinshasa et Kintambo » pour s’étendre sur des superficies beaucoup plus importantes, donnant ainsi naissance à 24 communes urbaines dont Lemba qui constitue le sujet de notre stage. La commune de Lemba est l’une des communes parmi les 24 faisant l’histoire de la capitale de la République Démocratique du Congo, sise entre la poste de Lemba et la paroisse catholique saint Augustin. Elle est une entité publique, administrative décentralisée dotée d’une personnalité juridique .

La commune de Lemba a été occupée premièrement par le peuple Humbu propriétaire de la terre au sud du Pool Malebo.

L'organisation territoriale de la province de Léopoldville relevait des dispositions générales relatives à l'administration de toutes les provinces concernées dans les arrêtés royaux du 1er juillet 1897.

L'ordonnance-loi du 12 février 1913 fut l'un des textes les plus importants qui imposent aux africains résidant dans les circonscriptions urbaines de se constituer en quatre districts. C'est sous le statut juridique de territoire annexe de la ville de Léopoldville que Lemba fut placé de 1950 à 1955, sans personnalité aucune, ni autonomie quelconque et fut administré par l'administrateur du territoire secondé par un chef du village .











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