Dans nos milieux hospitaliers, nous avons constaté une fréquence élevée de cas d’occlusion intestinale. Cette pathologie nécessite une urgence médicale. Parmi les urgences chirurgicales, le syndrome occlusif est un motif fréquent de consultation. Il importe de le reconnaître, afin d’orienter les examens para cliniques qui confirmeront le diagnostic et qui permettront d’adopter le traitement étiologique.
Notre étude est basée sur les malades qui ont consulté les cliniciens de l’Hôpital Provincial Général de Référence de Kinshasa et présentant réellement un syndrome occlusif et examiné au département d’imagerie médicale.
Dans l’espace notre étude s’est fait dans la Ville Province de Kinshasa, plus précisément dans l’Hôpital Provincial Général de Kinshasa, situé dans la Commune de la Gombe. Dans le temps, notre travail couvre la période allant du mois d’octobre 2012 au mois de juin 2013, période de notre stage de fin de cycle.