AVANT-PROPOS
La formation théorique est nécessaire voire indispensable. Elle nous permet de découvrir certaines choses ou aspects, dont on ignorait l’existence, nous permettant également de porter des améliorations et de trouver des solutions aux problèmes qui peuvent nous arriver.
La concrétisation de cette formation théorique passe par une formation pratique qui, en quelque sorte, nous plonge dans la réalité de ces théories tout en nous permettant d’affronter des problèmes réels quels que soient leurs diversités ou gravités. C’est cette formation pratique que nous appelons stage qui fait l’objet de notre rapport.
Nous tenons ici à remercier avant tout le bon Dieu, notre créateur pour cette faveur qu’il nous a accordé.
Nous remercions nos parents d’avoir accompli leur devoir de nous envoyer aux études supérieures. Nous remercions toutes les autorités de l’Hôpital Général de Référence de N’djili qui, ont bien voulu nous accepter dans leur établissement.
Nous remercions également tous les kinésithérapeutes de cette institution pour avoir participé à notre formation.
Et enfin, nos sincères remerciements s’adressent plus particulièrement au kinésithérapeute Alfred EPUNDA KATAMU qui a brillé par son encadrement particulier à notre faveur.
INTRODUCTION
L’Institut Supérieur des Techniques Médicales, en général et plus particulièrement la section de Kinésithérapie organise chaque année un stage à tous les niveaux pour les objectifs bien définis par les niveaux des études et pour une durée bien déterminée à l’issu duquel un rapport doit être élaboré et déposé à la section par l’étudiant.
En ce qui nous concerne ceux de deuxième, la durée d’un mois et les objectifs de notre stage sont les suivants :
- Connaître l’organigramme de l’institution et/ou du service de la kinésithérapie ;
- Connaître l’organisation générale de l’institution et l’organisation détaillée du service de kinésithérapie ;
- Connaître les différentes activités organisées dans le service de kinésithérapie ;
- Savoir pratiquer les différentes techniques étudiées dans les différentes parties du cours de kinésithérapie ;
- Inventorier les différents matériels et équipements du service de kinésithérapie utilisés pour les patients ;
- Relever les cas traités dans le service de kinésithérapie.
Notre lieu d’affectation de stage fut l’Hôpital Général de Référence de N’djili et notre rapport de stage se présente de la manière suivante :
I. PRESENTATION DE L’HOPITAL GENERAL DE REFERENCE DE N’DJILI
I.1. Situation géographique
I.2. Historique de l’Hôpital
I.3. Organisation architecturale
II. Présentation du service de kinésithérapie
II.1. Situation de référence
II.2. Historique du service
II.3. Présentation des matériels
II.4. Présentation des personnels
II.5. Organigramme
II.6. Fonctionnement
III. Activités des stagiaires
III.1. Période de stage
III.2. Activités des stagiaires
IV. Les cas observés et cas suivis et traités
IV.1. Cas observés
IV.2. Cas suivis et traités
Critiques et suggestions
Conclusion
I. PRESENTATION DE L’HOPITAL GENERAL DE REFERENCE DE N’DJILI
I.1. Situation géographique
L’HGR N’djili est situé dans la commune de N’djili au quartier 7 et limité par :
- Au Nord : L’institut Technique Industriel de N’djili, l’Institut Commercial de N’djili et le quartier 3.
- Au Sud : le quartier 7 ainsi que la route qui mène vers CECOMAF.
- A l’Est : l’Hôpital de l’Amitié Sino-congolaise et la paroisse Sainte Thérèse de N’djili.
- A l’Ouest : Par le Lycée Sainte Germaine, la Maison commerciale de N’djili, la Poste et le Parquet de Grande Instance de N’djili.
I.2. Historique de l’HGR N’djili
En 1952, l’HGR N’djili à l’époque n’était qu’un dispensaire dépendant de l’Hôpital Général de Léopoldville où l’on ne dispensait que les soins de santé primaire.
Le but poursuivi à l’époque fut de doter le dispensaire d’une maternité et d’un service de protection maternelle et infantile de la population se trouvant dans les anciennes zones urbaines de N’djili, Masina et Kimbanseke.
En 1963, l’OMS a été permise de construire le bâtiment qui existe et se mettant en accord avec le gouvernement congolais. Et le bâtiment portât le nom de « Maman Mobutu de N’djili ».
En 1975, après que la mission de supervision lui fut retirée suite au manque de son exécution auprès des centres de santé de l’intérieur du pays, on le baptisa « Centre de Médecine communautaire de N’djili ».
En 1977, on confia la gestion du centre à l’ISTM/Kinshasa par la lettre n°0015/UNAZA/R/76 du Recteur de l’UNAZA, sur décision du Comité Central.
En 1978, sur décision du comité de gestion de l’ISTM, le centre devient l’Hôpital et redevient l’Hôpital « Maman Mobutu de N’djili ».
Le 17 mai 1997, suite à la révolution de l’AFDL, l’hôpital change encore de nom, enfin devient « Hôpital Général de Référence de N’djili » jusqu’à nos jours.
I.3. ORGANISATION ARCHITECTURALE
L’HGR de N’djili comprend trois bâtiments et les annexes pour une capacité d’accueil de 150 lits budgétaires dont 128 réels.
L’hôpital de référence de N’djili est construit en style pavillonnaire soit 3 pavillons abritant différents services et/ou unités.
- Le pavillon I est composé de services de la réception, de mouvement et statistique, de médecine interne, les soins intensifs, les urgences adultes et enfants, le laboratoire (banque du sang), la radiologie, la kinésithérapie et la buanderie ;
- Le pavillon 2 comprend la salle d’accouchement, le bureau des anesthésies, le bureau des infirmières, le bureau de l’infirmier chef du bloc, le bureau des archives, le bureau de ECG, le bloc opératoire, la pédiatrie, la dentisterie, la direction de l’hôpital, l’ORL, la Nutrition, le vestiaire des médecins, le patrimoine, la coordination des stages, la pharmacie ainsi que les finances englobant la comptabilité, la facturation, le budget contrôle et la caisse centrale ;
- Le pavillon 3 réunissant les unités suivantes : la chirurgie, la gynéco-obstétrique, la maternité, les techniques (entretien et électricité), le dépôt pharmaceutique, la naisse désirable, la CPN.
- Les annexes sont constituées de la morgue, la salle syndicale, le bureau de garde et de sécurité, la salle de conférences et les installations hygiéniques ;
- Superficie : l’hôpital a une superficie de 4891,43m2 et est construit sur une plaine de 80¨d’altitude et la température varie de 26°C en saison de pluies et 23,3°C en saison sèche.
II. PRESENTATION DE SERVICE DE KINESITHERAPIE
II.1. Situation de référence
Le service de Kinésithérapie au sein de l’HGR N’djili se trouve au 1er pavillon à droite lorsque vous entrez dans l’hôpital à la 4ème porte.
II.2. Historique du service
Le service de kinésithérapie de l’HGR N’djili a été créé en 1976. En premier temps, LUNTADILA et MUBONGO qui sont des kinésithérapeutes de la 1ère promotion de la section de kinésithérapie de l’ISTM/Kinshasa, ont eu à faire leur grande part malgré la difficulté du commencement.
Une année plus tard, la section de kinésithérapie affecta deux nouvelles unités constituées par les kinésithérapeutes OBANDA KOLU ELIMO et LUNDOLUKA NDONDELE qui présentement sont des formateurs en qualité de chefs de travaux au sein de la section de kinésithérapie.
Quelques années plus tard, le kinésithérapeute MUSUNDA qui fut affecté à l’hôpital de N’djili quitta le service pour la section d’où il fut rappelé pour occuper le poste de chef de section adjoint chargé de la recherche.
II.3. Présentation des matériels
Au sein de ce service, on y trouve
N° |
Nombre |
Matériels |
Etat |
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 |
1 3 2 2 2 2 1 2 1 1 1 1 1 1 1 1 1 3 2 2 2 1 12 4 2 |
Vélo ergométrique Lits de massage Mètre ruban Lampes à infra rouge Tapis de Bobath Espaliers Vibromasseur Chaises roulantes Pèse personne Tapis roulant Déambulateur Table de consultation Planche de posture pour enfant Goniomètre Appareil d’aérosolthérapie Lampe à rayon ultra violet Bâche pour exercices (hémiplégies) Tabourets en bois Paravent Sceaux Bassins Banc de réception Chaises en plastique Chaises en métal Rideau |
Bon Bon Bon Bon Bon Assez bon Bon Bon Bon Mauvais Bon Bon Bon Bon Bon Bon Bon Bon Bon Bon Bon Bon Bon Bon Bon |
II.4. Présentation des personnels
Le service de kinésithérapie compte douze kinésithérapeutes, tous formés à l’ISTM/Kinshasa, dont trois licenciés et neuf gradués. Il est dirigé par le kinésithérapeute Michel BIDI TONDO (licencié), comme chef de service, assisté par onze collaborateurs. Il s’agit de :
- Kinésithérapeute Alfred EPUNDA KATAMU (licencié)
- Kinésithérapeute Olive MUNZIAMI NKIE (graduée)
- Kinésithérapeute Annie KENDO KOZIERA (graduée)
- Kinésithérapeute Moseka INGELE MONGELE (Graduée)
- Kinésithérapeute Véronique NTUMBA BADIABIABU (graduée)
- Kinésithérapeute Georgine BAMENI LUSAKUENO (graduée)
- Kinésithérapeute Clarisse NZUZI MANANGA (Graduée)
- Kinésithérapeute Déborah BAMBALE YAFUNGA (graduée)
- Kinésithérapeute Elysée WADIMANYA NZENGU (Graduée).
- Kinésithérapie Noëlle KUNSEVI NTANGU (licenciée)
II.6. Fonctionnement
Le service de kinésithérapie ouvre ses portes de 7h30’ à 16hoo’ du lundi au samedi. Les malades qui arrivent au service sont de deux sortes.
- Les nouveaux reçus consultent le kinésithérapeute qui les reçoit, remplissent les formalités et sont pris en charge.
- Les anciens déposent leurs cartes de rendez-vous et sont reçus un à un selon l’ordre d’arrivée.
- Les ambulants sont reçus au service et les hospitalisés qui ne peuvent pas se déplacer sont soignés dans leurs chambres.
Il y a des kinésithérapeutes qui travaillent les jours pairs et d’autres les jours impairs.
III. ACTIVITES DES STAGIAIRES
III.1. Période de stage
Nous avons effectué notre stage de 2ème graduat en kinésithérapie au sein du service de kinésithérapie de l’HGR de N’djili du 09/10/2017 au 09/11/2017.
III.2. Activités
Les stagiaires arrivent le matin, signent sur leurs fiches pour marquer leurs présences et l’heure d’arrivée. Ensuite, ils se mettent à suivre l’exposé programmé du jour et posent des questions dont leurs réponses sont sources d’information et d’études pour notre domaine.
Et enfin, l’encadreur kinésithérapeute Alfred EPUNDA KATAMU prendra la parole pour répondre à certaines de nos questions que l’expositeur n’a pas pu répondre et conclure l’exposé.
Après cela, les stagiaires se mettent au travail en soignant les malades et en mettant l’ordre dans le service.
Ils sont aussi autorisés et obligés à prendre note et à poser des questions sur les pathologies des malades et au bien-fondé de traitement dont ils sont soumis.
A 12hoo’, il y a pause pour manger, se détendre et se reposer pendant 30 minutes.
Vers 15hoo’, les stagiaires mettent fin à toute activité pour s’apprêter et rentrer chez soi en signant encore la fiche pour marquer l’heure du départ.
Tout au long de notre stage, le kinésithérapeute Alfred EPUNDA donnait à chaque stagiaire un sujet à exposer qu’il devra présenter. Et il permettait aux stagiaires de le voir même en particulier au bureau de consultation en cas d’une préoccupation quelconque.
IV. LES CAS OBSERVES ET CAS SUIVIS ET TRAITES
IV.1. Cas observés
Tout au long de notre séjour, nous avions observé plusieurs cas, entre autres :
- Bronchite
- Cervicarthrose
- Enfant IMC
- Fracture
· Du genou
· De l’humérus
- Gonarthrose
- Hémiparésie
- Hémiplégie
- Lombarthrose
- Paralysie obstétricale du plexus brachial
- Sciatique
- Scoliose
- Spondylarthrose
- Torticolis
- Etc.
IV.2. Cas suivis
1er cas :
1. Identité du patient
- Nom : K
- Post-nom : M
- Prénom : B
- Sexe : M
- Age : 41 ans
- Etat-civil : Marié
- Profession : Enseignant
- Adresse : Av. Zeka n°41, Q/Muli, C/Kimbanseke
2. Anamnèse
Le patient est dérangé par des douleurs lombaires et tout autour de la ceinture pelvienne depuis deux mois. Soigné par les anti- inflammatoires, mais sans succès. C’est ainsi qu’il est venu au service de kinésithérapie pour une meilleure prise en charge le 29/09/2017.
3. Etat actuel/bilans
· Bilan morphostatique
- Taille : 1,80m
- Poids : 72kg
- Attitude scoliotique
· Bilan sensitif
- Douleurs lombaires à la flexion active et la rotation bilatérale du tronc
- La sensibilité superficielle et profonde sont présentes.
· Bilan musculaire
Rétraction des muscles dorsaux en concavité et rétraction légère des abdominaux.
· Bilan articulaire
- Limitation du mouvement de la flexion de la hanche
- Test doigts au sol : 48 cm (positif)
- Test de Lasèque : membre inférieur droit (cuisse) (positif)
· Bilan fonctionnel
- Difficulté de tourner au lit
- Difficulté de marcher à longue distance
- Difficulté de monter les escaliers
- Difficulté de soulever une lourde charge.
Donc, limitation dans certaines activités quotidiennes.
· Examens paracliniques
La radiographie a diagnostiqué la spondylarthrose lombaire.
4. Diagnostic
Il s’agit de la spondylarthrose lombaire qui veut dire l’arthrose des articulations intervertébrales, précisément à la colonne lombaire.
5. Directives de traitement
- Thermothérapie : irradiation par la lampe infra rouge placée à 30 cm de la région lombaire pendant 15 minutes pour lutter contre la douleur avec ses effets antalgiques et détente musculaire.
- Massage pour son effet antalgique, relâchement musculaire.
- Mobilisations passives et activo-passives pour récupérer la mobilité et la force musculaire.
- Exercices fonctionnels
- Exercices de Klapp pour la tonification des muscles abdominaux et de la sangle lambo-pelvienne. (Dos du chat).
6. Observations
Lors de notre arrivée, le patient avait déjà suivi 3 séances de traitement. Après 12 séances, nous avons évalué notre patient et avons remarqué qu’il y avait évolution suite à :
- La diminution des douleurs lors de la mobilisation de la colonne lombaire.
- Test de Lasèque négatif
- Test doigts au sol 9cm
Vu que la douleur persistait bien qu’elle est minime, nous avons continué avec le traitement.
2ème cas
1. Identité
- Nom : K
- Post-nom : M
- Prénom : D
- Sexe : M
- Age : 19 ans
- Etat-civil : célibataire
- Profession : Elève
- Adresse : Av. Mangu n°9, Q.5, C/N’djili
2. Anamnèse
Le patient jouait au football, c’est ainsi qu’il a connu un choc. La radiographie a confirmé la fracture du genou. Il a été soumis par le traitement chirurgical auquel on a immobilisé le genou par les fixateurs. Après le démontage, il s’est rendu au service de kinésithérapie pour la rééducation fonctionnelle. Le 11/10/2017.
3. Etat actuel/Bilans
· Bilan morphostatique
- Taille : 1,57m
- Poids : 49kg
- Déformation du membre inférieur droit, surtout le genou.
· Bilan sensitif
- La sensibilité est conservée dans tout le membre inférieur droit.
- Douleur à la mobilisation du genou droit.
· Bilan musculaire
- Amyotrophie de la cuisse droite
- Tuméfaction du genou et jambe droite
M.I.D M.I.G
- cuisse : 40cm - Cuisse : 47 cm
- Genou : 38 cm - Genou : 36 cm
- Jambe : 35 cm - Jambe : 27cm
- Cheville : 23cm b - cheville : 22 cm
- Pied : 23 cm - Pied : 26 cm
· Bilan articulaire
- Limitation en flexion et extension du genou droit : F : 0° en actif et 30° en passif
- Le M.I.D est en extension complète
· Bilan fonctionnel
- Difficulté de fléchir son genou droit
- Difficulté de s’accroupir
- Marche sans aide
- Marche le M.I.D en hyper extension
4. Diagnostic
Séquelles de la fracture du genou droit qui veut dire complications qui persistent après une fracture..
5. Directives de traitement
- Posture en mécanothérapie ou manuelle pour récupérer les mouvements du genou.
- Mobilisation douce pour récupérer toujours les mouvements du genou.
- Thermothérapie pour les effets antalgiques
- Massage pour lutter contre l’amyotrophie.
6. Observations
Après 10 séances, nous avons constaté une évolution suite à :
- La diminution de la douleur lors de la mobilisation et posture.
- La diminution de l’amyotrophie de la cuisse et absence de la tuméfaction du genou et de la jambe.
M.I.D M.I.G
- cuisse : 44cm - Cuisse : 48 cm
- Genou : 36 cm - Genou : 36 cm
- Jambe : 27 cm - Jambe : 27cm
- Cheville : 22cm - cheville : 22 cm
- Pied : 26 cm - Pied : 26 cm
- La récupération partielle de l’articulation du genou.
· Flexion en actif : 30°
· Flexion en passif : 60°
Vu cela, le patient continue son traitement jusqu’au changement total et la récupération totale de ses fonctions. Nous avons laissé le patient en cours de traitement.
Critiques et suggestions
Tout au long de notre stage, nous avons remarqué qu’à l’HGR N’djili, les kinésithérapeutes sont en collaboration. Ils administrent des soins de qualité à leurs malades.
Le service de Kinésithérapie de l’HGR N’djili n’a pas assez d’espaces suffisant comme il doit l’être selon les critères de la kinésithérapie alors qu’il devrait être exemplaire du fait qu’il est au sein de l’hôpital de l’ISTM.
Faute à cela, le service ne peut pas recevoir un grand nombre de patients ni de stagiaires. On y trouve même des matériels gardés dans leurs embalages qu’on utilise pas faute de l’espace. C’est pourquoi, les autorités de l’HGR N’djili et du service doivent songer à agrandir l’espace du service. Cela permettra d’augmenter la qualité des soins et l’installation de différents matériels dans un milieu spacieux.
CONCLUSION
Ce stage a été trop bénéfique pour nous et surtout que nous avons eu la chance de trouver un bon encadreur Alfred EPUNDA KATAMU.
Tout cela, nous a permis encore de confirmer que la kinésithérapie joue un rôle très important en matière de rééducation et mérite sa place dans le domaine multidisciplinaire de santé publique.
TABLE DES MATIERES
I. PRESENTATION DE L’HOPITAL GENERAL DE REFERENCE DE N’DJILI
I.2. Historique de l’HGR N’djili
I.3. ORGANISATION ARCHITECTURALE
II. PRESENTATION DE SERVICE DE KINESITHERAPIE
II.3. Présentation des matériels
II.4. Présentation de personnel
IV. LES CAS OBSERVES ET SUIVIS