Bonjour, nous sommes le 13/02/2025 et il est 15 h 12.





UNITE AFRICAINE (‘Konga-Bantu Bafiikae)

INDEPENDANCE DU NEGRE

Remis et reprises des chefs des Etats

(le Démocrympisme)

 

Par

 Baron kaaku KADIMI KA DEHOTE

 Prince de Likasi

 

 

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Méditations

 

                        Si je meurs demain, c’est qu’un Blanc aura armé la main d’un Noir

Lumumba, de nationalité africaine, mwaeina ‘Konga

 

Je ferai régner la paix dans le pays ; quand vous vous coucherez, rien ne viendra troubler

votre sommeil. Je ferai disparaître du pays les animaux nuisibles, et l’épée ne traversera pas votre territoire.

Lévitique 26, 6

 

tu établiras à ta tête le roi que l'Eternel ton Dieu choisira. Tu prendras un roi du milieu de tes frères, tu ne pourras pas te donner un roi étranger qui ne soit pas ton frère

Dt 17, 15

 

 

Les terres ne se vendront pas de façon définitive, car c'est à moi que les pays appartiennent et vous êtes chez moi comme des étrangers et des immigrés

Lev 25, 23

 

 

A mes frères et sœurs de la planète qui aiment partager nos ressources naturelles dans l 'amour

 

Quand tu es félicité par le colon, c’est que tu es mauvais pour ton peuple. Quand ils disent que tu es mauvais, c’est que tu es bon pour ton peuple. Le jour où ils diront que je suis bon c’est que je vous ai trahi

Sekou Touré

 

A mon enfant

                                             Fais de l’exercice physique pour toi-même,

Fais du sport pour ta chère patrie au nom de Jésus-Christ

Tout sport est un exercice physique, mais tout exercice physique n’est pas sport. L'exercice physique est le minimum du sport. Le sport est éphémère, 16-36 ans

,

                         Les justes posséderont le pays et y demeureront à jamais

Psaume 37, 29

 

Heureux le peuple qui s’amuse : chanter, danser, se mesurer

Amour nous a créés pour vivre dans le bonheur

 

Si vous voulez que les gens s’entendent, faites-les jouer aux jeux d’ensemble (Saint-Exupéry)

 

Au monde tout entier en général, à l'organisation des nations unies et au peuple en particulier.

 

Préface

 

 L’auteur a déjà écrit quelques essais (la vie c’est du sport aux éditions publibook,  le professeur d’arts sportifs, démocrympisme à l’école, encore en chantier aux éditionsmabiki…). Il est le modérateur de l’union chrétienne pour la liberté, le travail et l’allocentrisme. Sa politique se base sur la paix et l’amour. Il demande à Dieu, au nom de Jésus-Christ, le Prince de la paix, la paix dans la région belligérante des Grands Lacs d’Afrique. Le Seigneur lui a donné la nation africaine. Il s’est chargé de servir Dieu en promouvant le sport. Pour l’auteur, le sport est un moyen pour atteindre le respect de tous et l’amour les uns des autres.

 Le Dieu Mashiya crée “Ditunga dya ‘Kongabantubafiikaebakalaenga ( pays, nation impériale afrikae) ditunga dinenaedidishikaminae dya ‘Konga” ou ‘KONGA. Le ‘konga est probablement la première langue de l’humanité. Il signifie, remise ensemble des 55 « pays » séparés depuis 134 ans par certains blancs mal intentionnés. Nous leur pardonnons parce qu’ils ont fait la même chose chez eux. Montrons aux investisseurs la fraternité avec tout le genre humain (pas de haine ni xénophobie). Soyons prudents.

 Il est naturel qu’un africain parle le ‘konga, sa langue. Les dialectes parlés officieusement dans les Etats-Unis de ‘Konga ne sont pas interdits. Diversité des langues parlées c’est de l’anarchie.                    

La diaspora nègre  

 Devait paraître le 19 décembre 2016  

Preface

 

 

 

 The autor has already written a few tries (la vie c’est du sport, éditions publibook; le professeur d’arts sportifs, démocrympisme à l’école aux éditionsmabiki, encore en chantier…). He is the moderator of the Christian union for freedom, work and allocentrism. His politic is about peace and love. He asks to God, in the name of Jesus-Christ, the prince of peace, peace in the belligerent Great Lakes region of Africa. The Lord gave him the nation and he‘s in charge to serve God by promoting sport. For the autor, sport is the way that can be use to teach the population respect and love of each other.

The empire is called by Mashiya “Ditunga dya ‘Kongabantubafiikaebakalaenga (African imperial family) -dinenaedidishikaminae dya ‘Konga” or ‘KONGA (greatautonomous state of ‘Konga). From the verb kukonga in ‘konga language wich is probably the first language of the humanity. It means: “together the 55 separate countries” 134 years ago by the white people. Let’s be careful. It’s natural that an africaman speaks the ‘konga language. Dialects in the United States of ‘Konga are not prohibited. Diversity of languages is anarchy.

                                                      Sister in Christ Malumalu Gsanga (translater)

        Ghalawamwanda

 Mufundi wukadi mufundae mikwabu mikanda (la Vie c’est du sport ku édition publibook wa Paris, le professeur d’arts sportifs nei le démocrympisme à l’école ku éditions mabiki wa Belgique). Wudi mutuukiji wa maalu a Mashiya‘Zambi bwa bukalenga, mudimu ne bulela. Tshidiidi tshyenda tshidi ku ditalala nei dinanga. Wudi wulomba kudi ‘Zambi di-unvwangana nei ditalala mu ‘Kongawankatshi. Muloh wakamuhesha ditunga nei muhanzu wa dilengeja maalu a dehote bwa kufila kanemu nei dinanga ku muntu ne muntu.

 Bukalaenga bwa Mulohwe budi « Ditunga Dinenae Didishikaminae dya ‘Kongabantubafiikaebakalaenga » (Baeina ‘Konga-bafiikae) mu tshikosu ‘Konga (malaoba manenae a ‘Konga). Bifuma ku mu-akuwadîyi kukonga, mu tshilubatshifundae ; mu-akulu wa kunhala kubuntu. Bwena kwamba  matunga 55 maabuluja kwahitshi bidimu 134  kudi batooka. Tubaleeja bulela bwa ditunga. Tudimukayi.

 ‘Binhe mufiika yonsow aakula ‘konga. Mi-akulu mikwabu ya ku misokow kayena mikandikibwa. Mi-akulu mishilangane ‘tshiyole.

 

   Kabeya-Kagemesha Zaza _Kadima-‘Zamba a Bilonda (mu-andamugi)

 

Apologie de la rédaction

 

  Notre livre est un tissu des suggestions à l’Assemblée Générale et au Conseil de Sécurité (ONU) faites          à notre peuple, à l’union africaine (dans l’unité africaine) et à la communauté internationale. Il s’intitule : UNITE AFRICAINE ou LA TRIBU impériale‘KONGA-Bantu BAFIIKAE

Indépendance du nègre ou Les pionniers de la planète, la révolution ‘kongae, -kasayienne, -nègre… (-de 18 ans non-admis).

LES PIONNIERS DE L’AFRIKAE (Bakishi ba bafikae, -ba dibulungu). Kongabantubafiikaebakalaenga ou nation, vient du verbe kukonga qui signifie rassembler les gens civilisés et libres. Dieu, tel qu’il a inspiré la Bible et notre livre, rassemble et nous voulons la paix dans la région belligérante des Grands Lacs d’Afrique au nom de Mashiya, le Prince de la paix. J’en suis le serviteur volontaire, responsable d’un peuple chrétien (ceux qui ont choisi la vie et qui mettent en pratique la Bible ou le langage du Christ). Les pays ainsi unifiés vivront dans l’unité linguistique « le ‘konga », ma langue. La - que l’homme a parlée aux toutes premières années de son histoire (Gn 11,1). Vos ancêtres l’ont parlée. Comme mes enfants et mes petits-enfants, vous n’y avez pas été initiés. Nous aurons ainsi un critère valable pour justifier notre recensement : carte d’identité, -de banque, passeport… Antoine de Saint-Exupéry a dit «si vous voulez que les gens s’entendent, faites-les jouer aux jeux d’ensemble». Nous proposons le «démocrympisme». C’est le nom que nous donnons à notre politique sportive : Démocrite (-460) et olympisme. Nous comptons promouvoir le sport en général et l’athlétisme en particulier. Le totalitarisme : nous sommes les meilleurs de la planète, nous pouvons le démontrer, mettez-nous à l’épreuve (liberté, travail, allocentrisme). Nous ne sommes pas unis par le sort (Congo, France, Amérique) Sarkozy vient de Hongrie, Platini d’Italie, Obama de Kenya,  mais nous, bakwakalonji, souverains africains, nous sommes chez nous depuis la création. ‘Konga Yowh (Dieu…) Ma priorité est la jeunesse. L’enseignement scolaire sera obligatoire, gratuit et sans redoublement de classe : 7-18 ans : préparation aux études, l’humanité, maturité ; 18-20 ans : service militaire obligatoire. La communication se donnera en ‘konga, anglais , allemand, espagnol, mandarin et français dans les écoles consulaires. L’université et les études supérieures sont facultatives et payantes. Le préscolaire, crèche et école maternelle seront payantes et obligatoires. Actualités : que Kabila, Kagame, Museveni et Ngurinzize considèrent cette intervention comme un coup d’Etat chrétien, une démission en ma faveur. Sans vote, je négocierai, pour 2x5 ans ou (2016-2026) avec l’homme le plus populaire de la conférence nationale souveraine et des scrutins de novembre 2011 que je nomme   « Lu-abagamakalenga » « Kanzakanfumu », « Gfumu wa bulongi » ou chef du gouvernement, le chancelier Tshisekedi wa Mulumba (UDPS). S’il se désiste, je négocierai avec un autre politicien qui parle ma langue (son fils Tshisekedi-Tshilombw). Nous vivrons très bien sans président. Plaise au Ciel de me donner l’autorité de régner sur la ‘KONGA (le livre se vend à… de 30 à 500€ le livre pour soutenir et encourager l’auteur… à volonté par le nom de Mashiya, le Prince de la paix). Que sa volonté soit faite !

   Chercheur en sciences du sport, en ethnocentrisme et en lexicographie du ‘konga (tshiluba écrit).           

Avant-propos

 

Kazolo, dilumbulwila, baku-ela mutshi, wa-uhanda : udimaga gkayeba wemwina (proverbe longtemps antérieur à Socrate : « connais-toi, toi-même, juge-toi, toi-même »). L'auteur nous est présenté sous trois casquettes : il est à la fois prince de Likasi ou serviteur du peuple en négociation avec le chef du gouvernement, responsable ou serviteur du sport en général et de l’athlétisme en particulier et serviteur de Dieu. Les bons lecteurs aiment la diversité. « Le Livre », lui-même, encore appelé la Sainte Bible, compte 66 livres.

  L’auteur ne manque pas d’ambition, de talent ni de passion. Il ne tolèrera pas qu’un galopin morveux pénètre sur son territoire avec des bottes de jardiner pour nous gérer notre or, diamant et autres…et nous apprendre à vivre.  

  Son travail consiste à proposer, conseiller et négocier avec les politiciens. Le miroir lui dit que Dieu l’a élu, en mars 1991, serviteur de son royaume dans le sport national, citoyen libre. La démocratie lui permet de nous exposer son opinion, sa colère sur le manque de paix dans son royaume. Si vous ne croyez pas en Jésus, la démocratie vous prie de nous laisser faire. Ce que vous n’auriez pas lu avant est le fruit de l’inspiration reçue de Mashiya, son Dieu. L’ouvrage a, pour enjeu, l’amour et l’entente cordiale dans la région des Grands Lacs d’Afrique. Il cherche l’ETAT AUTONOME DE LA ‘KONGAWANKATSHI : rassemblement (kuKONGA) ou rassembler et surtout  la paix dans la région des Grands Lacs d'Afrique. Le peuple ou roi revendique le pouvoir en criant avec lui : MON ROYAUME, LA ‘KONGAWANKATSHI, capitale de la planète Terre. Nous parlons ‘konga, mais nous ne savons pas l’écrire. Le ‘konga est la langue de ses ancêtres, ancêtres des baluba ses oncles. Il va nous apprendre à écrire nos noms et les mots. L’administrateur et le missionnaire belges nous ont appris à écrire selon leur entendement. A l’école, la jeunesse parlera sa langue (le konga), celle de Shakespeare (l’anglais) et celle de Molière (le français) ; trois langues populaires et culturelles. L’auteur nous apprendra le DEMOCRYMPISME : didi-angisha : se féliciter soi-même… Le sport va nous unir. Nous ferons non pas des équipes nationales mais des clubs nationaux. Mon père d’auteur n’aime ni dominer, ni être dominé. Il veut régner sur la ‘Konga : puisse qu’il se veut empereur des nègres, de son peuple. Il le sert par le sport national.

 Peuple ! Le contenu est du roi que Dieu a choisi pour nous. Le Christ nous a ordonné d'aimer nos ennemis, leur esquisser le sourire comme une mère à son bébé…

                                                                                       

‘Titae Kabeya-Dîba Kaladimunjila a Bilonda (fils de l’auteur)                                            

                                                                                            

 

 

 

Introduction

 GDI MWAEINA ‘KONGA, en excellent français : je suis ‘kongae (serviteur de la patrie dans le domaine de…). Ma langue est le ‘konga. Le roi c’est celui (peuple) qui parle le ‘konga. ‘Konga ditunga dyangi : ma patrie (impôts, don de Dieu). Je parle ma langue, notre langue, je m’éverturai à la connaître pour ma postérité. Les ministres ou gouvernement, la police, l’armée, la sureté, unis par le sport … travaillent pour le citoyen (mwaeinankonga).

 Le Sport, au sens original, est un amusement et il le restera. Il est devenu un terme très compliqué à définir ; car chacun « tire la couverture de son côté » (divertissement, détente, distraction, activité ludique ou jeu codifié, dépourvu ou dépouillé de danger et de violence, loisir, défi dans l’amusement, science, éducation par le mouvement, par l'action, objet de paix, souhait du pape par le sport, l’auteur…). En sport, l'être humain cherche à évaluer ses capacités naturelles à travers l'exercice physique. Le sport national est un organe d'Etat (affaire culturelle par excellence) qui contribue à la Démocratie. C’est la culture du mouvement pour le développement psychosomatique de l’homme. Il s'oppose à toute intervention politique ou commerciale, à la discrimination religieuse, raciale, tribale, régionale et exclusion de toute sorte...  

 

 Le sport, ne nous y trompons pas, n'est pas naturel à l'homme. Le sport n'est pas et ne sera jamais une affaire de priorité dans la société (sauf à l’école). Le sport n'est pas et ne sera jamais une affaire gouvernementale (de tout le monde...). Dieu donne des talents à tous, ne pas les exploiter est un péché. Le sport n’est pas une détente, mais l’éducation par le mouvement. Il « éduque » le respect de l’autre, du matériel, du public… Le sport est l’apanage de la jeunesse (16-36 ans). Comme moyen politique, le sport nous unit et contribue puissamment à notre connaissance les uns les autres... Comme domaine libre de toute politique, tout le monde, même le gouvernement, peut en tirer profit: lien avec le Chef de l'Etat, voire la politique étrangère... Le sport, pour un parti, c'est répondre à la question: "Qui est meilleur que moi" ? Le deuxième parti relève le défi, le troisième arbitre et décerne le prix. Le sport sert à rendre gloire à Dieu, voir qui a le mieux exploité ses talents. La manifestation sportive est un festival des talents (les personnes normales : capables d’exploiter leurs talents). Elle se réalise à l’honneur de Mashiya, le Prince de la paix (Es 9, 5).

 Le sport, de son nom ontologique, DEHOTE/BUFUNGI vient du verbe KUFUUNA, qui signifie défier, vanter ses mérites avant le combat, prêter serment qu’on est venu pour gagner loyalement. Cela vient de la première langue de l'humanité: le Tshaeina buloba, Tshiloba (tshikwakalonji) ancêtre du tshiluba, aujourd’hui tshaeinankonga, Tshiloba + tshiluba = ‘konga. Parlons ‘konga, tshikonga ou ‘KONGA [nkòngy-a, nkòny-a], tshiluba tshifunde : tshiluba écrit, la langue ‘kongae, des kongae, du verbe KUKONGA, ‘KONGABANTUBAFIIKAEBAKALAENGA (les bantou, nègres, peuple de Dieu). Collecter, unir, rassembler les pays belligérants de la région des Grands Lacs d'Afrique ou Bulongi Bunenae Bwa ‘Kongawankatshi (Afrique médiane) : géant Etat d’un pays géant indépendant, la ‘Konga (apocope de ‘Kongabantubafiikaebakalaenga ou rassemblement des nègres civilisés et libres, baena Mulenga) O yaye tudi baena Mûuntu (l’Eternel). Voyez la couverture (kongawankatshi, kongawanhokolw, wanfuki ou ‘Konga du centre, d’origine) le prince ou ‘Titae Kadima ‘Zamba Kadimi ka dehote (base du peuple) et les drapeaux tracés par un graphiste de Kinshasa, Kaddy, fils aîné de l’auteur. Il n’y a plus de bulaouba (congolais, terriens), de bulundji (burundais), de bulwanda (rwandais) ni de bukanda (ugandais), nous sommes tous des « baeinankonga, Baeina Bilonda+ « 3provinces », africains, paradis sur terre », tous s’appellent « mwanetu » (frère, citoyen). La Kongawankatshi constitue, en Afrique Centrale, un nouvel Etat à part entière et entièrement à part : 4 anciennes nations unifiées ou 23 régions de ‘Kongawankatshi. Nos produits seront made in ‘Konga. Une nouvelle nation est née aux Nations-Unies (matunga masanga). L’histoire de la ‘KONGA commence aujourd’hui « Tusangilayi, tukolae » : « l’unité fait la force » comme disaient nos ancêtres avant les belges : « l’union fait la force ». Notre unité africaine fait plus de force que l’union fait la force que disent les belges. L’union africaine (les présidents) est une invention des blancs pour nous dominer.

   La politique du sport national est le miroir du bon fonctionnement de la politique gouvernementale. La politique sportive n’a pas le droit de surcharger la tâche du gouvernement : combler l’estomac de l’enfant et celui de ses parents. L’Etat s’occupe de l’économie du royaume. La politique sportive c’est vivre ensemble dans le respect et l’amour. On donne, en sport, des frais de fonctionnement aux artistes afin qu’ils nous fassent mieux rêver, et aux organisateurs pour les mêmes raisons... Si l’engagement est individuel, le sport est toujours collectif: le football, l’athlétisme, la natation, le judo (catégories), la gymnastique... sont, chez nous, des sports collectifs ; la compétence individuelle renforce l’équipe. Voici la politique du sport ‘kongae (mufiikae wa gbangilu, fondamental neger, nègre ontologique) au seuil du troisième millénaire.              

 Toute ressemblance avec une autre politique n’est que fortuite. Le sport est un art (connaissances innées)... une culture (connaissances acquises à l’école ou en société). Le sport national est le miroir de la  c i v i l i s a t i o n  et de la culture d’une nation, il ne dépend pas de l’économie. LES FESTIVALS DE LA PLANETE, DU SPORT PACIFIQUE ET LE TROPHEE INTERNATIONAL DU PAPE au nom de Mashiya, le Prince de la paix, sont des sujets de notre évaluation...

Le sport est du ministère des affaires sociales (sport de masse) avant d’être du ministère des affaires culturelles (sport d’élite). Le sport est une fête, un combat loyal et non la guerre (à la guerre il y a mort d’homme)… Le sport n’est rien d’autre que l’exercice physique poussé le plus loin qu’on peut par l’entraînement (dinanukija). Le sport est le festival des talents distribués par MASHIYA.

 Par le sport, nous parlons le même langage sur la planète : les judokas du monde entier savent ce qu’est « uchi mata »… Le sport requiert du fair-play : gestion de la chose publique. Le sport est fait pour se montrer meilleur du mouvement pour la paix sur la planète. Ceux qui le font pour l’argent vont jusqu’à se doper.

 Le sport est un combat sans casse ni effusion de sang. Le sport est gratuit (aide SOCIALE).  L’exercice physique (fitness) peut être payant.

 Les sciences du sport donnent, par extension, le sport amateur, le sport carcéral, de compensation, pour handicapés, militaire, de la police, récréatif…

 

 

 

NOTES LIMINAIRES

1.  Définition

Le DEMOCRYMPISME (dehote dya dibungulu, sport de la planète) est une politique nationale d'entreprise sportive qui rassemble les partenaires désireux de gagner une place dans la société : l’unité du peuple dans l’excellence (Démocrite** philosophe atomiste grec : tout corps est composé de particules indivisibles et immuables. et olympisme : jusqu’au-boutisme) et se faire plaisir au service du sport national dans:

- la paix: loisirs sains, loyaux et bien codifiés...

- la fraternité: le tutoiement, le rêve, l'honnêteté...

- la tolérance: à chacun sa compétence… (1Co 10, 24).

Cette politique, on ne peut plus puissante, de jouir de sa liberté, est un moyen ou politique sportive où le citoyen s’exige et exige l’excellence. Elle exige plus que le jusqu'au-boutisme, le totalitarisme dans l’amour pour un développement durable (abolir la légèreté et la médiocrité). Tout le monde est en compétition: du sportif au comité national du sport pacifique. La ville veut qu'un jour, le sport national soit célébré chez elle. Chaque organisation se dit: nous sommes les meilleurs de la planète, nous pouvons le démontrer, mettez-nous à l'épreuve : liberté, travail, allocentrisme.

 Le DEMOCRYMPISME est une politique du sport planétaire ou Organisation Non Gouvernementale; kwenza nei dijinga dya ditshimuna: agir avec la volonté de vaincre, aller à la compétition sans aucune forme de complexe (école Mashiya des amis du sport africain) je cherche des adeptes, un site… Il laisse ouverte sa porte, même à la politique gouvernementale. Il se refuse, toutefois, de s'en mêler. Nous n'aimons pas de discours, nous n'en ferions que pour proposer ou remercier... Le DEMOCRYMPISME veille à l’application de la LOI. A part sa politique de discrimination positive (être bon) il se voudra sans exclusion. Il ne demande au gouvernement que le respect envers ce qu’il fait: des encouragements, des autorisations... Nous souhaitons que le sport survive en dépit des fluctuations gouvernementales... Le peuple évolue constamment au superlatif en sport en général et en athlétisme en particulier, comme j’ai fait de Kolwezi au temps du Zaïre.

 Le DEMOCRYMPISME est la politique du sport national : dans « DITUNGA DINENAEDIDIKADILAE DYA ‘KONGA ou ‘KONGA » :   l’ETAT GEANT-autonome –royal, -fédéré, -libre, -démocratique, -de droit, -indépendant, - (dans Etats-Unis, Royaumes-Unis…de  ‘KONGA. Il forme des BADI-ANGISHAI (baenae ‘Konga bamenemene, qui s’aiment, vrais ‘kongae) : qui se félicitent. Peuple dont le mot de passe est WATSHIMUNA (qui vaincra : le sport est toujours offensif). La ‘Konga est l’origine de toute l’humanité en général et de tous les nègres en particulier.

 La Bible connaît les rois et non les présidents. Préparons le Royaume de Dieu en ‘Konga (état de droit, de bonne gouvernance et de souveraineté) ; ‘kong’: rassemblement, en tshiloba ou tshiluba, peuple de Dieu, (les Bakwa-Kalonji qui, après le départ du Christ, ont rejoint leurs frères installés avant Jésus-Christ : basangana). L’histoire, peut-être légende, des baluba commencent avec « Sanga lubangu », « Ilunga Mbidi »…

 

 En effet, nous étions, au XV°siècle, sous l’occupation portugaise (les capucins catholiques). Les rois portugais se sont succédés jusqu’aux alentours du XVII°siècle (Gtumba Mbemba, investi roi à 13 ans a pris le nom de Don Alvarez IV) * (*) Olivier de Bouveignes, Les anciens rois de Congo, 21-515, 1948… Au XX°siècle nous avons connu le catholicisme belge. Le DEMOCRYMPISME vient du peuple. Un individu (groupe d’individus) se sens et se montre au service du peuple, il convainc le peuple, avec évidence, qu’il est la personne qu’il faut à la place qu’il faut, sportif ou dirigeant (un VOLONTAIRE). Le candidat qui donne ses disponibilités, présente ses services à la nation. S’ils sont plusieurs, la place se gagne au premier occupant. N’est-ce pas plus précis que le taylorisme, plus objectif que la démocratie? Le Démocrympiste, qui rime bien avec artiste, est celui qui convainc le peuple qu’il est le meilleur de la  planète: la puissance des mots s’avère en accord avec la puissance des actes. C’est, du “Dehote Dinene” ou du “Haut Sport”. C’est la rénovation du sport ‘kongae ; entreprise ou doctrine de l’auteur sur le sport national qui exploite nos talents, à chacun de nous de démontrer qu’il est le meilleur de la planète : baenankonga, (rois, bantu bakonga, kongabantu), mwaeina ‘konga qui parle le ‘konga ou tshaeina ‘konga. Ce qui vaut la peine d'être fait, vaut la peine d'être bien fait (Michel Bottu).

2. Devises

"Bien faire et laisser dire": le joueur joue, l'enseignant enseigne, l'entraîneur entraîne, le juge juge, le dirigeant dirige, le fournisseur fournit, le soigneur soigne, le masseur masse, l'entrepreneur entreprend et surtout entretient, le modérateur suggère, l'organisateur organise, le manguier donne la mangue, le supporter  supporte… la défaite et tire des leçons, le reporter retransmet objectivement... « Aimez-vous les uns les autres » (et les boeufs seront bien gardés). Le tout se résume en:

C comme Compétition, Compétence, Codification, Coordination musculaire... et Cérébrale, Culture...

P comme Performance, Perfectionnement, Pérennité, Progrès, Programme, Programmation, Pratique, Promotion...

A comme Amour, Art, Argent, au sens positif: Assurance, licence, équipements techniques et vestimentaires, transport, hébergement, restauration, voyages, transfert...  

3. But

Engager, aux compétitions planétaires, plus un MENS SANA IN CORPORE SANO, de Juvénal, mais mieux et moderne, un MENS FERVIDA IN CORPORE LACERTOSO (livre de P. DE COUBERTIN à la bibliothèque de l’université-Mainz): une âme fervente dans un corps entraîné, épanoui (écoles kongae de Sport). Des sportifs imbus de fureur de vaincre (envie de se battre: de mouiller le maillot et de sécher l'adversaire) que nous n’avons pas vue de notre fédération à la Coupe du monde de football association, en 1974 en Allemagne.

Faire des Etats-Unis ‘kongae, la nation la plus forte de la planète en sport: de l'athlétisme au volley-ball, en passant par l'haltérophilie.

"Entonner, plus d'une fois, l'hymne sacré de notre solidarité" (sur la plus haute marche du podium à deux places).

"Saluer, fièrement, l'emblème d'or de notre souveraineté". Célébrer, en une ville de notre immense terre, du sport mondial (adultes, universitaire et scolaire). En un mot : le RESPECT. Le sport est une vraie école de respect.

4. Division

Le DEMOCRYMPISME partage le territoire en vingt-trois régions ou ligues sportives (retour au naturel que nous avons tenté de chasser, lors des premiers jeux congolais, en 1967).  

1) Fédérations sportives de Kinshasa, de Kikwit, de Matadi...

2) Fédérations sportives de Mbandaka, de Bumba, de Gbadolite...

3) Fédérations sportives de Kisangani, de Yangambi, de Bunia...

4) Fédérations sportives de Bukavu, de Goma, de Kindu...

5) Fédérations sportives de Mbujimayi (Gbujimâyi), de Kananga, de Lusambw...

6) Fédérations sportives de Lubumbashi, de Likasi, de Kalemie...

7) Fédérations sportives de Kanhala, de Kigali, de Bujumbura…

 

A. STRATEGIE

 

1. CONGRES NATIONAL DU SPORT ‘KONGAE

Hormis les interdictions émanant des instances internationales, il est interdit d'interdire (mai 68 en France). Sinon c'est ce que nous appelons : " violence verbale " ou dictature (ne pas pouvoir s'exprimer). La démocratie c'est gérer les conflits, les régler par une minorité qui décide pour vous (parlement et chefs traditionels). Vous avez aussi quelque chose à dire… à faire pour le bien des Etats ‘kongae.

Fondé en 1997 à Köln ou Cologne, le DEMOCRYMPISME propose un CONGRES NATIONAL, l'équivalent de l'Assemblée Nationale en politique gouvernementale ou ordinaire, sous le thème : POLITIQUE SPORTIVE DE ‘KONGA.

 

2. CONSORTIUM (PARTENAIRES) du DEMOCRYMPISME

- Poste

- Télécommunication

- Agences de voyages

- Agences Commerciales

- Agence Nationale des Entreprises - Banque Centrale ou Banque de la ‘Konga (Banka wa ‘Konga)

- Union des Enseignants sportifs

- Croix-rouge

- Régidéso…

 

3. PERSONNEL

Pouvoir public : Chef de quartier, Bourgmestre, Premier Bourgmestre (Hôtel de Ville), Gouverneur, Ministres des Affaires pédagogiques, de l’Intérieur, de la Culture, le Chancelier (chef du gouvernement)...

Pouvoir sportif : le sportif (l’unité la plus importante de la politique sportive nationale), la fédération sportive urbaine (collège exécutif dynamique et future fédération nationale).

 Les amis du sport (sportifs et supporters) rassemblent une somme de k100 000 à verser, pour engagement et un mandat de quatre saisons, au Conseil Culturel du Sport National. Celui qui prendra la responsabilité du coordinateur,   Homme de siège de la fédération sportive « mwaenankwasa, tshishikaminu tshya dehote». Il sera reconduit en cas de victoire et démissionnera (avec son entraîneur) en cas d’échec. L'entraîneur national touchera la moitié de sa prime avant un match et l'autre moitié après la victoire. Le Comité Urbain du Sport Pacifique (futur Comité National du Sport Pacifique), le Directeur Administratif (Comité d’Organisation des sports ‘Kongae) et le promoteur de la fédération nationale ont, pour administrateurs, les ministères des affaires sociales, culture, intérieur, information…

Directeur Financier, Directeur Sportif et leurs secrétaires généraux seront Membres d’Honneur...

 

4. ACADEMIE DU DEMOCRYMPISME ou ACADEMIE DU SPORT (Siège technique, Charte Papale) ou Ecole Mashiya des amis (sciences) du sport…   KADIMI-KA-BUFUNGI. Mon frère disait : toi avec ton sport il faut d’abord manger ; je lui dis : nous, en sport, au lieu de commencer par le commencement, nous commençons par la fin : pour enseigner le sport nous commençons par la compétition ; pour enseigner la propulsion du boulet (le poids) ou du lancer du marteau, nous commençons par la fin (le lâcher, la propulsion). Mon royaume est vaste : quand on sème le maïs au nord, on récolte au sud, on élève le lapin, la poule, la chèvre etc. Tout cela viendra avec le sport. Cette institution se propose de former les formateurs... (Je me charge moi-même de former les entraîneurs d’athlétisme). Elle comprendra, hormis les stages des athlètes,

1) l’année des animateurs sportifs ou tronc commun de préparation des entraîneurs

2)  l’année des entraîneurs spécialisés

3) l’année de stage, en athlétisme, ce stage peut s’effectuer en vingt jours ouvrables.

 

5. CONSEIL REGIONAL

(Siège social ou du sport de masse)

Le Conseil d'Animation Sportive (Département plénipotentiaire des sports ou chez les allemands, « ministre des sports » et membres...) ou Conseil d’Administration Sportive. Notre royaume appartient à la Zone 4 d'Afrique. Nous le divisons en 23 poules de sélection (mot presque oublié du vocabulaire sportif de la fédération) ou sous-zones ou régions où les unités sont les villes... Chaque Conseil constitue le Département Sportif de sa concession (un département qui n'aura jamais de problème de détournement de fonds). Il se met en accord avec les entreprises qui forment le Consortium du DEMOCRYMPISME. Ces opérateurs économiques se réunissent une fois l'an; et deux mois avant le Sport Papal. Ils proclament, en Congrès, les Sièges des festivals planétaires. Nos Départements du Sport (régionaux) ont l’avantage de résister aux intempestifs remaniements ministériels des gouvernements. Ils sont permanents, bien en fonds et s'évertuent à gagner la sympathie de plusieurs organismes régionaux.

Rôle principal

Les Conseillers animent, motivent, suscitent et négocient avec les Organisateurs des compétitions, contribuent à l'implantation d'infrastructures sportives, rétribuent et facilitent tout contact relationnel, concilient les intérêts des différents partenaires de la communauté sportive.

Ils sont potentiels garants de la LOI. Ils ne dirigent pas.

SUPERVISION- CONTRÔLE- ARBITRAGE

 

6. COMITE PAPAL REGIONAL 

(Siège de sélection ou sport d'Elite)

Il organise les compétitions de DEMOCRYMPISME entre les fédérations des Ligues régionales.

Le Comité Papal Régional de DEMOCRYMPISME gagnant deviendra Comité National des sports papaux (nombre de médailles… d’or). L'acronyme à donner au Sport du Pape est à décider au Congrès National (‘KNG, par exemple). Le mandat est de quatre ans ou Démocratiade (la reconduite est possible en cas de victoire). Les drapeaux (papal et national) flotteront sur le toit du Siège... Le CEPK (Comité Etatique Papal de  ‘Konga) ainsi plébiscité sera membre de l'ACEPA (Association des Comités Etatiques Papaux Africains) et du CIP (Comité International Papal) pour une Démocratiade.

Des sessions extraordinaires seront prises en cas des Festivals de la planète, des Universiades, des Festivals d'Afrique, des Trophées d'Afrique (‘Konga)...

COMMISSIONS (Comités Directeurs et Membres)

Commission de contrôle, commission de presse, commission technique de stade, commission technique de route, commission médicale, commission des règlements sportifs, commission juridique, commission des arbitres, commission pour l'étude du sport national, membre Honoraire, membre d'honneur, membres...

 

7. FEDERATIONS URBAINES

(des clubs ou communes à la ville, future fédération nationale).

La ville constitue la cellule du sport national. Tous en un, nous serons plus forts et les finances seront mieux utilisées.

1) Fédération sportive des Princes ou Elites (Ligues nationales I, II, III...) +de 15ans (hommes et femmes)

2) Fédération des Instituts Supérieurs et Universitaires du Sport ‘Kongae ou FISUSK (étudiants et étudiantes) 17 - 27ans. FISU (Fédération Internationale du Sport Universitaire)

3) Fédération des Juniors (écoles, centres sociaux) 16-18 ans

4) Fédération des Cadets (adolescents) 13-15 ans

5) Fédération des Militaires et autres agents de la paix

6) Fédération des Masters

Chacune de ces fédérations appartient à la fédération nationale et internationale correspondante (Festivals de la planète...). Par exemple: l'athlétisme appartient à l'IAAF, en français: Association Internationale des Fédérations d'Athlétisme. Comme néologisme : « Fédération planétaire d’athlétisme ». Chaque ville, comme chaque région possède donc sa confédération sportive.

                       

8. LE SPORTIF

(à partir de 16ans)

Est sportif, l'athlète qui a atteint sa maturité, qui s'entraîne avant de descendre sur “l'étalage”.

Il dit tout haut qu'il est le meilleur de la planète et tout bas que le meilleur c'est l'autre. Il triomphe (bat) sans faire de mal à l’adversaire. Le sportif est un "self made man". Il a reçu ses talents de Dieu et a mis à l'état réel ce qui était à l'état latent. Le sportif dont le total de points est le plus élevé (compétitions, trophées) est champion de la saison... On ne forme pas un sportif. L'entraîneur le découvre et lui apprend à exploiter ses talents: il lui apprend l'entraînement et la compétition. Le sportif est son propre ennemi à l’entraînement et son propre admirateur à la compétition. A gagner sans triomphalisme ni fausse modestie, mais avec sérénité (pareil en cas de défaite).

 

9. L’EQUIPE NATIONALE

L'équipe ainsi formée sera appelée WOKAHI WATSHIMUNA (animal qui n’existe qu’en ‘Kongawankatshi, le bonobo a perdu notre aval pour ses gestes trop originaux) se référer plus loin à la prononciation du « h ». On dit, à tort ou à raison OKAPI  VAINQUEUR ; ou MASHIYA, de « mashi», le sang de la rédemption, le vainqueur du royaume satanique et de la mort (qui a inspiré le DEMOCRYMPISME, Jésus   lui-même - le roi des rois - est appelé agneau), on tolèrera Simba ou Lion de la tribu de Juda (...trop de mauvais souvenirs : battue à une Coupe d'Afrique par l’ex-Rwanda, etc.). BAEINA MULENGA ou BAENA IZAELELAE (vainqueurs avec Dieu). Nous ferons plutôt des clubs nationaux. Nous organiserons des stages, études, voyages dans des pays forts. Par exemple, le rugby en New-Zeland, le basket-ball aux USA, le football en Allemagne, la gymnastique en Chine, les sprinters en Jamaïque…

 

10. PRENONS NOS PRENOMS

Le sportif et ses encadreurs étant les ambassadeurs culturels de notre pays portent leurs noms ontologiques (de ses origines culturelles ou ancestrales et non ceux des étrangers colonisateurs, pardon… nos prédateurs). Kinshasa était Léopoldville (capitale des temps coloniaux et dictatoriaux)… Courage ! Ne nous arrêtons pas en chemin ; pourquoi ne pas changer Pierre en Dibwae. Pierre est, dans la Bible le surnom de Simon. Corneille est le nom de famille de l’auteur français de « le Cid » : Pierre Corneille. Laissons les étrangers blancs avec leurs prénoms. Pendant 52ans que nous avons vécu sous l’esclavage, nos maîtres, la communauté internationale, nous ont imposé leurs prénoms. Nous étions fiers de porter leurs prénoms. Ils nous ont fait croire que leurs prénoms étaient des prénoms chrétiens. L’administrateur belge avait des difficultés à prononcer nos prénoms, il disait : « sors de mon bureau, tu t’appelles André ». L’indigène sort tout fier et dit aux autres : eh oui, appelez-moi comme le patron : Andele, c’est mon nom d’évolué, dit-il. Mon saint patron me réserve une place au ciel si je l’invoque. Les blancs voulaient que nous soyons comme eux. Ne vous fatiguez pas, vous ne deviendrez jamais blancs au ciel. Un autre, chez le missionnaire (prêtre) catholique se fait donner une ablution sur la tête sous les paroles : ton nom de baptême (chrétien) est Jean-Claude. Au lieu de dire  nom catholique (belge ou blanc mort). Le baptême d’ablution ou d’immersion n’existe pas, car baptiser c’est immerger dans l’eau. On devient saint. Le saint biblique est vivant, le saint catholique… Les blancs (catholique, arme très puissante de la colonisation et du colonialisme) nous collaient des noms comme ils donnaient aux bêtes et aux poupées. Le ciel ne serait-il peuplé que des français ? – (Jn 3, 13). Quand j’étais enfant, je me révoltais quand on m’appelait Kabeya, je préférais qu’on m’appelle Placide ou Cido. Les belges nous donnaient leurs prénoms pour nous apprivoiser, nous abrutir, nous ravir notre personnalité. C’est perdre peu ou prou sa culture, sa liberté. Quelle honte de s’appeler Hubert, de nos jours : un complexe d’infériorité devant le blanc.  Abraham, Moïse, Samuel, David… n’étaient pas chrétien, Abraham n’était même pas israëlite (juif); il parlait, comme Nowa, le tshiloba, c’est une probabilité (la probabilité est scientifique, nous l’avons vu en math)…

Je suis chrétien. Les noms chrétiens n’existent pas. Karl-max  a dit : « La religion (catholique en l'occurrence) est l’opium du peuple » : entendez, l’endormissement. Mon livre : « La vie c’est du sport », publié aux éditions publibook, à Paris, était initialement intitulé : « Le black catholique est-il chrétien ou crétin ? » (Réponse dans 1Cor. 13, 11-13 ; 1Cor 14, 20, 38). Le catholique n’est pas crét… chrétien (âge mental : 8 ans). Il rend un culte à Marie. Ce personnage mythique n’est pas plein de grâce (Jn 1, 14). « Je vous salue Marie pleine de grâce» n’est pas biblique. Si prier c’est communiquer avec Dieu, le catholique s’adresse à qui ? C’est Dieu qui a mis au monde Jésus (Jn 3, 16). Celui-ci est au ciel : fils de Dieu et non fils de Marie (qui n’est pas biblique mais sur le crucifix). Nous pensions, quand nous étions esclaves, que les missionnaires catholiques étaient des hommes de Dieu. Quand nous avons ouvert les yeux nous avons reconnu qu’ils n’étaient que les agents de la colonisation ou de la domination.

  La religion catholique (religion des blancs pour nous abrutir et nous dominer) est faite pour, les naïfs, les conservateurs, qui appellent prostitution de l’esprit, la recherche de Dieu (1Chr 28, 9)* (*) Mon frère a dit à mon fils : nous, catholiques, avons fait du bien à ton père, voilà combien il nous est ingrat. J’ai rétorqué : quand j’ai connu la vérité j’ai quitté l’envoûtement que je n’ai pas choisi... « Saint » : pécheur pardonné, vivant, libre, trempé dans l’eau et qui s’adresse à Dieu en passant par Jésus-Christ.   

   Ô Mikomba, Dieu de mes ancêtres, je te prie de veiller sur les nègres catholiques. Pardonne-leur. Remets-les dans ta voie au nom de Mashiya, le Prince de la paix. Qu’ils adorent Jésus, fils de Dieu, fils de David. Qu’il en soit ainsi ! Qu’il te plaise ainsi, Seigneur !

  Prenons nos vrais prénoms africains (nègres) reçus de Dieu « je te connais par ton nom (Ex 33, 17 ; Es 45, 4 ; Lc 10, 20) ». Les noms que Jésus répertorie dans son livre à « l’évènement du Jourdain » : dîna dyabukalaenga, dyahambelu, dya kunhala  (d’évolué, nom extérieur, de souveraineté, first name, prénom avec kalamiki : trait d’union : Tshimanga-Mukadi, Tshibemba-Mweinalonji _ Katenda) et dîna dyadîku, dyamunda, dyandekeelu, dya taawu muledi (nom de famille, d’intimité, intérieur, last name, nom du géniteur ; dîna dyamazanji, dyabakishi : de fantaisie, postnoms, surnoms, sobriquets, populaires : Kabeljaw.

 Ruben, Joseph… ne sont pas, chez-nous, des prénoms mais des postnoms, surnoms ou sobriquets officieux pour les intimes. A ne pas figurer dans les pièces d’identité. Dîna, initialement dijina ou dyeba est, dans la culture des bakwakalonji, la personne. Connais-toi, toi-même (Socrate). C’est le premier attribut de la Culture. Nous ne voulons pas nous jeter dans les travers des noirs des Etats-Unis d’Amérique et des Caraïbes qui ont, des siècles en siècles, perdu leur identité. Chez-nous, les bakwakalonji, on ne badine pas avec le « dijina », sa personne, sa liberté, sa fierté d’être un être humain, son indépendance, son identification, son autosuggestion, son identité…   

 Le prénom est souvent suivi d’un surnom (bukalanga nei bukalenga): ‘Titae Kabeya-Dîba,‘Titae Kadima-‘Zamba Kaginda, Kabeya-Munshimwamutshi,  ‘Titae Kadima-‘Zamba ‘Shinga a Bilonda, ‘Titae Kabeya-Dîba_Kaginda, ‘Titae Kaginda-Kagoka Kabaala a Bilonda* (*) Le prénom est composé chez les hommes (kalamiki ou trait d’union : dya bukalanga nei dya bukalenga) suivi du nom de famille (le géniteur, les « gtite » de bakwa-Mukendi… et simple suivi de wa chez les femmes : Tshibola wa Kantambwa… On reconnait le catholique noir par son postnom étranger. Ne prenez pas un prénom étranger. La Bible dit : Dieu nous donnera un nouveau nom (Es. 62, 2). Il a donné à Abram, Abraham. A Jacob, Israël.

 La culture, c’est se connaitre avant de connaître autrui. (*) Droit de connaître le nom du policier qui te verbalise ou te pousse à la corruption. Les administrateurs ne toléreront pas des noms d’origines étrangères. Un de mes pères a gardé ses noms jusqu’à sa mort (88 ans) : ‘Titae Mukendi-Muganzu Katshînta a Bilonda. Il avait horreur des catholiques : « bakunjimija » : ils vont me perdre, disait-il. Il était fort scandalisé de voir une statue d’un soi-disant Jésus… blanc (crucifix). Jésus, le dernier Adam (la vie), est probablement noir comme le premier Adam (la mort) et moi, disait-il. Ses ancêtres ont vécu avec le Seigneur. Celui-ci a été tué par les romains, nos maîtres, et les juifs blancs…  

 Les missionnaires catholiques disaient : les bakwakalondji sont des basendji (païens, primitifs, sauvages, vicieux et rebelles). Tout ce qui était négatif (sorcellerie, viol, vol surtout…) était l’apanage du mukwakalonji (mukalo). Les « bakalo » ont apporté la circoncision en Afrique.  

  Appelez-vous comme vous voulez, mais sur la carte d’identité et le passeport, mettez les appellations de vos origines anthropologiques, cultuelles et culturelles, reconnu par la police. Ne perdons pas notre droit de l’homme, d’aînesse* (*) Adam (noir) a donné le nom à Eve (blanche probablement). Chassons ce complexe d’infériorité de prendre des prénoms étrangers ramassés dans des livres ou au cinéma (noms de fantaisie, François signifie habitant de France en vieux français,  Jacob signifie voleur… ; Fridolin : surnom du soldat allemand pendant la guerre mondiale…). Laissons les belges copier chez les français. Ne singeons pas les étrangers. Une maman appelait sa fille « ANDOLO ». Sur la carte d’identité j’ai lu Adolphine. Un de nos pères s’appelait ALANFEELA qui pour lui signifiait Raphael. Comme s’il n’y avait pas de prénoms d’origine ‘kongae. Celui qui ne portait pas le prénom des blancs était considéré comme un non-civilisé. Pour les flatter, nous disions : Monsieur…prénom.

 En effet,  Kengo s’appelle en réalité Léon Lobic. N’aie pas peur mon ami Léon, nous n’avons rien contre l’étranger (nous le sommes nous-mêmes sur cette terre), sauf s’il se montrait allié des blancs ou bandit, il reçoit, alors, l’ordre de quitter le territoire. Au XX° siècle nous avons perdu les prénoms étrangers par dictature, agissons à présent, par vigilance, par maîtrise de soi, par fierté, par personnalité, par autosuggestion. En effet, nous avons, lors de l’autenticité de Mobutu, perdu une occasion en or de nous prendre en charge de Tshitshi contre l’oppresseur blanc. Le jour où nos frères catholiques se réveilleront, nous vaincrons. Se convertir c’est laisser tomber tout ce qui appartient au diable (les noms catholiques, culte de Marie…) et confesser Mashiya.

 Nous avons vécu 52 ans avant la décolonisation (le 30 juin 1960) avec des Louis, Michel, Didier… et pendant 52 ans après, avec trois Joseph… passons 52 ans avec moi à nous méfier des méchants-étrangers… Grâce à Lumumba, nous ne nous appelons pas Michel Vercauteren… comme les noirs des Caraïbes et des Etats-Unis d’Amérique, qui ont perdu leur identité. Le prophète des nations dit qu’ils sont pauvres parce qu’ils se disent américains. A-t-on jamais entendu un français s’appeler Kabemba ? Ou un japonais s’appeler René ? Quelle arriération mentale ! Manque de culture ! Soyons sérieux, soyons souverain, soyons indépendants… Bannissons tout ce qui évoque la colonisation… « Mêna a buhika, a batookae bafwae » : les noms d’esclavage, des défunts blancs (d’envoûtement, d’emprunt). Quand je demande aux noirs catholiques : qu’est-ce que vous venez faire au pays des blancs ? –ils restent très embarrassés. Moi, c’est pour les connaître, « apprendre leurs manières de vaincre la vie » et  déclarer ma liberté, notre indépendance africaine. Les USA et les belges n’ont aucun souvenir de leurs colonisateurs… Devrions-nous nous souvenir des coups de fouet que nos pères et nos grands-pères ont reçus sur les fesses nues ? Gardez votre sobriquet, petit nom familier, jusqu’à 6 ans. Ces prénoms étrangers* (*) Certaines personnes étaient tellement possessives qu’elles s’arrogeaient comme prénom « Toussaint »… tusee, pour les intimes n’existaient pas chez nous quand nous étions dans l’Etat indépendant du Congo (avant 1908). C’est le belge qui nous a appris à oublier nos prénoms (pas de complexe dans mon  empire)…

 Celui qui s’appelle François, Henriette, John… est esclave de la communauté internationale, du catholique…. Notre pays n’est pas le pactole de la communauté internationale. « Vous avez été racheté à un grand prix : ne devenez pas esclaves des hommes » (1Cor 7, 23). Nos pasteurs catho-chrétiens semblent ignorer ce passage. Les blancs sont sans culture, laissons-les copier chez-nous… Nous sommes antérieurs à eux. Soyons fiers. Ils nous ont appris à croire et non à raisonner. Je ne vous incite pas à la haine contre les blancs. Copier les colonialismes blancs : pantalon, chemise (à mettre au champ, pêche, élevage…), wc, brosse à dents…oui ; les singer ? -Non : leurs prénoms, la cravate, nœud papillon, perruque, élection présidentielle, opposant, le catholicisme (ablution, première communion, messe de requiem, mariage en robe blanche, alliance, au lieu de faire la noce au jour où l’on verse la dot, Jésus, fils de Dieu, et non fils de Marie, qui n’est pas biblique…), poisson d’avril, saint valentin, élection des miss, au lieu du concours de mode, Noël, anniversaires, hallowin, vulgariser la sexualité à la télévision sous le pseudonyme d’éducation sexuelle… Soyons fiers de ne plus singer les colonisateurs belges. Ne perdons pas notre culture. Parlons officiellement notre langue et de notre culture NEGRE. La colonisation est lointaine. Abrogeons les noms d’esclave. Nos prénoms sont magnifiques. BLACK’S POWER. BLACK’S BEAUTYFUL. A bas, au diable l’aliénation, la colonisation ou l’esclavage. Prenons nos prénoms africains, de notre liberté : -a baufikae, - a bakishi (baena Mûuntu, esprits originaux, anthropologiques, ontologiques…). D’indépendance du  nègre… Prenons nos prénoms…

 

B. TACTIQUE : championnats nationaux (Etat), Coupe nationale et SPORTS  DEMOCRYMPISTES en l'honneur de YAEIOSHWAMASHIYAMULAABAMANGI (Jésus-Christ).

1. De l'athlète à l'équipe nationale.

L'athlète talentueux s'intègre dans un club (de l'école, du quartier, de la commune, d'un centre social ou sportif, d'une université ou grande école, d'un corps militaire, de police, de sapeurs pompiers...). Il se fait sélectionner pour l'équipe nationale.

2. FESTIVAL national : chaque année de la Démocratiade (où l’on passe de la fédération urbaine à la fédération nationale), la ville sélectionne ses meilleurs talents (même ceux des environs...). Elle s'engage aux compétitions interfédérales de la Ligue Nationale de son sport. La meilleure ville (meilleur athlète) est sacrée championne (champion) de la saison sportive. Elle prend la responsabilité nationale si les points sont ajoutés avantageusement aux sports de l'année.

3. Le Trophée de la Démocratiade : deux mois avant les Sports Papaux. L'année Démocrympiste est l'année de bilan.

Les sélectionneurs alignent leurs meilleurs atouts : en termes scientifiques : les joueurs doués de coordination motrice, de concentration et d'attention... Le Comité National du DEMOCRYMPISME couvre les compétitions sélectives pour le Sport du pape ou (et) de la Démocratiade suivante. Le Comité Régional du DEMOCRYMPISME qui totalise le plus grand nombre de points de la Démocratiade arrache le Trophée d’argent et prend, pour 4ans, les " rênes " du Comité National du DEMOCRYMPISME (camp sportif, stage, compétitions à l'étranger...) ; de même pour les fédérations nationales. Voir plus loin dans les écoles ‘kongae de sports.

 

 C. OPERATION

1. TROPHEE DU DEMOCRYMPISME (chaque année, les juniors ou jusqu’à 18 ans, en août, les élites, + de 18 ans en septembre). Les SPORTS PACIFIQUES, célébrés tous les 4 ans, juxtaposent les Jeux Olympiques et d’autres manifestations sportives planétaires (universiades, juniors, clubs champions). Je trouve les J.O trop discriminatoires : ce n’est pas la culture nègre (rubans, hockey…).   

2. FESTIVAL DES ARTS SPORTIFS sanctionné par un trophée d’argent.

Le comité sportif gagnant prendra la responsabilité nationale pour 4 ans. Pour le CPSPD (comité planétaire du sport pacifique du démocrympisme) (CIO) : comité international olympique). Les compétitions planétaires ou festival planétaire des arts du sport pacifique du démocrympisme se dérouleront à Lusambw et d’autres villes de ‘Konga, le berceau de l’humanité : Kadimi-ka-Bufungi (à l’Académie du sport, dehote, pas de place pour les médiocres, sans tricherie, penchant des blancs* (*) un blanc a dopé, au stanozolol, Ben Johnson pour battre Carl Lewis au 100m). DEHOTE DYA BULUNDA BWA ‘KONGA (DBK) : SPORT de l’amitié de ‘Konga. Le site sera celui des Sports africains (des nègres, puis de la planète), les championnats des clubs des sports collectifs (1, basket-ball, 2, football, 3, handball, 4, rugby, 5, volley-ball, 6, water-polo) et du SPORT (pacifique du démocrympisme, du pape) DE LA PAIX SUR LA PLANETE, DEHOTE DYA DITALAJA HA DIBULUNGU à l’honneur de Mashiya, le prince de la paix sur la planète et Dieu de l’humanité. Nous faisons, de la ‘Konga, berceau de l’humanité, le centre planétaire du sport papal du démocrympisme, dirigé par le C.P.S.P.D, la Fédération internationale du sport universitaire et la Fédération planétaire du sport de la jeunesse, 13-18 ans (ancien J.O. de la jeunesse). Son serment est : « Nous jurons que nous venons au sport en combattants loyaux ; que le tricheur gagne et soit jugé par le tribunal arbitral des tricheurs au nom de Mashiya. Qu’il te plaise ainsi Seigneur! ». Le sport du pape préfère la qualité à la quantité. Les nations volontaires vont organiser les cérémonies d’ouverture et de clôture. Les sports pacifiques du démocrympisme (top 12) se dérouleront en ‘Konga pour son développement tous azimuts.

Dieu est grand et bon. Si vous lui demandez au nom de Mashiya, il vous donne. Vous lui demandez l’abondance, il donne l’abondance. J’ai demandé d’être à vie, à la tête de l’athlétisme planétaire, il m’a oint pape chrétien par le sport (je suis oint et toujours besoin d’une huile fraiche). Le pape catholique  jaloux, a soulevé des conflits. Je lui ai dit : moi, pape chrétien, je suis l’apôtre de la paix sur la planète par le sport, et vous ? De quoi êtes-vous pape ? Je me suis mis à vomir. Le pape catholique m’a quitté, honteux et confus. Est-il homme de Dieu (Ap. 13, 18). La ‘Konga est devenu le Centre Planétaire du Sport Pacifique. Les conditions se trouvent à égalité pour les statistiques, les chroniques etc.

 Dans les ambassades, figureront la photo du chef de l’Etat entre le drapeau Etatique et planétaire (représentant Mashiya) : les anneaux pacifiques blancs en réfraction représentant les 10  Etats-Unis de la planète, séparés de l’épée de l’Esprit en or (des combats loyaux) sur le fond bleu du système solaire (Mt.10, 34 ; Jn 13, 34 ; Ep.6, 17). Deux langues sont parlées ; le ‘konga et l’anglais.

 

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Drapeau du Démocrympisme (de la paix par le sport)

 

Les Etats-Unis de la planète T

Tout en habitant le continent (nation ou malaoba masanga a ‘Konga), d’autres peuplades sont maghrébins, nous les adoptons comme africains, comme des 1) USI Etats-Unis Islamiques (arabes : langue : l’arabe, hébreux, Liban, Afghanistan… Jadis, les arabes ne supportaient pas les nègres à la mècque) ; que la guerre s’arrête en Syrie !… Nous connaissons déjà les 2) USA Etats-Unis d’Amérique du nord : langue : l’anglais (région est, centre et ouest) ; les 3) USCd Etats-Unis du Canada (e-c-o) : langue : l’anglais ; les 4) USK Etats-Unis de ‘KONGABANTUBAFIIKAEBAKALAENGA, (des nègres, langue : le ‘konga), Empire Bafikae (Afrikae); ‘Konga-Kamulangu, des royaumes-unis de nègres, gouvernables : la ‘Konga. Confédération nègre : bakwa-Kalonji, bakwa-Luntu, baeina-Kalambayi, bakwansulu… Les « pays africains » est caduque et impropre, dites les Etats autonomes d’Afrikae (terres, gouvernements, royaumes, régions, fédérations…) un pays, une nation, partition de 52 Etats, unité nationale, empire nègre, ‘Kongae 5) USE Etats-Unis d’Europe (e-c-o) : langue : l’allemand ; les 6) USU Etats-Unis united kindom ou Royaume Uni, , empire britanique : langue : l’anglais ; les 7) USCr  Etats-Unis des Caraïbes (Cuba, Jamaïque, Haïti…) : langue : l’anglais; les 8) USL Etat-Unis d’Amérique latine et centrale : langue : l’espagnol (Eshagola) ; les 9) USO Etats-Unis d’Océanie : langue : l’anglais; les 10) USM Etats-Unis d’Asie (les mongoloÏdes, « bridés », yellow, jaunes e-c-o) : langue : le mandarin. Nous formerons, en Kongawankatshi, le plus (riche) bel  Etat du monde (Dt 15, 6), capitale de la planète en général et d’Afrique en particulier (US ou Union Sportive. US ou United States). Mashiya m’inspire ainsi 10 unités nationales, 10 nations planétaires du démocrympisme, 10 US pour donner la paix sur la planète.     Ne dites plus : « je vais aux Etats-Unis » mais dites : quels Etats-Unis de la planète ? Ne dites plus 5 continents mais 10 US du monde, 10 nations pour l’O.N.U.…

 

 

Au protocole de la remise des prix (médaille d’or) le drapeau du Démocrympisme sera au top niveau. L’hymne national du vainqueur ou lauréat planétaire, sera entonné au drapeau du niveau intermédiaire et celui du vice-lauréat, plus bas. Un chèque de K1000000, sera octroyé au second comme le gagnant, l’étudiant K100000 et le jeune K10000. Au festival  planétaire, les 16 meilleurs disputent les éliminatoires, les top 12 reçoivent K1000, puis les 6, puis les 3…

 

Avril

Qualifications locales cadets, juniors, universitaires... Mixte chez les cadets, séparés, chez les autres, sélections régionales.

Mai

Qualifications locales agents de la paix et seniors. 

Juin

Qualifications régionales des agents de la paix et séniors. SELECTIONS pour le festival d’août

 

Mi-juillet,   DITSHIMUNA (tropphée) ‘Kongae d’athlétisme

 

Août 

(Début)

Finales juniors, cadets.  FESTIVAL PLANETAIRE

(Fin)

Finales universitaires

Septembre (début)

Finales des agents de la paix

Septembre (fin)

Finales seniors (élites). Malwishangana -a ‘Konga mu dehotedyandunduwa dikasa, dilwishangana, di-owela, … (championnats de ‘Konga en football, athlétisme, natation, …). Nous mettrons par écrit en janvier 2013 le déroulement des jeux du Démocrympisme.

Que tous les démocrympistes se mettent au travail dès à présent.

Fait à Kinshasa le 25/août/2011

Par Baron kaku KADIMI KADEHOTE (petit serviteur, cultivateur de sport).

 

(Tapez sur google kabeya dîba radio okapi)  Adressez-moi votre prix (30-500€) et un ordre de virement, votre adresse postale, téléphone, si vous choisissez l’agence de transfert d’argent, vous recevrez le livre dédicacé. Je propose la sortie de mon livre le 25/12/16 (12/25/16). Que dispose le Seigneur ?

En acronyme KADIMIKADEHOTE (lopin de sport, qui ose lancer le défi à la planète, qui amène le sport ‘kongae au rang le plus élevé de la planète).

Promoteur, Chef d’entreprise, de l’ONG Démocrympisme (Ecole Mashiya des Amis du Sport)

Professeur de sport (licencié des sciences du sport, spécialité athlétisme)

Prince de Likasi (mwana wa tshidika wa mu Likasi)

Prophète de la tranquillité nationale (Mc 6, 4 ; Jn 4, 44)

 

FESTIVAL (bisankasanka, ditshimuna) PLANETAIRE DES ARTS DU SPORT PACIFIQUE PAIX-FRATERNITE-TOLERANCE-JOIE-SOLIDARITE-HUMANITE-(‘KONGA-ANGLAIS).

16/8 17/8 18/8 19/8 20/8 21/8 22/8 23/81

 

 

1/8

17/8

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31/8

1

ATHLETISME

 

 

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2

BASKET-BALL

 

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3

BOXE PRO  

 

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  4

CYCLISME piste

FOOTBALL

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6

GYMNASTIQUE

 

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7

HANDBALL

 

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8

HALTEROPHILIE

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9

JUDO

 

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LUTTE

 

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NATATION

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12

TENNIS COURT

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TENNIS TABLE

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RUGBY 15

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15

VOLLEY-BALL

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WATER-POLO

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F : femmes (top 12/épreuve ou 16) du 1500m au marathon … Top 16 ; F 16h,

H: hommes (top 12/épreuve ou 16) du 1500m au marathon… Top 16 ; H 20h

Rencontres en tournois triangulaires : qualifications (top 12), ¼ de finale, ½ finales, finale (trois équipes en compétition et non deux). C’est ainsi que nous projetons nourrir notre tourisme.

Festivals du démocrympisme planétaire ; année cadets-juniors (13-18 ans); année étudiants (17-27); clubs champions, année seniors aux sports pacifiques.

3. PHASES FINALES & prix

Dans les sports collectifs, l’équipe gagnante bénéficie d’un trophée d’argent.

Dans les sports individuels comme l’athlétisme, seul le gagnant bénéficie d’un prix* (médaille d’or et trophée  d’argent. Le deuxième, comme il n’a pas démérité touche le même chèque que le gagnant). *Ceux qui courent dans le stade courent tous, mais un seul remporte le prix; courez de manière à le remporter. (1Corinthiens 9, 24).

 

 4. TROISIEME MI-TEMPS

La “troisième mi-temps” est vivement souhaitée et à rendre normale (120 minutes peuvent suffire) pour marquer la fin de la fête. Vainqueurs et vaincus se rafraîchissent. Organiser des entrées payantes en week-end aux compétitions (entraînement)... De la recette du jour, répartir selon les législateurs entre (comme suit) :

Commission des arbitres (officiels). La loi veillera à rémunérer l’arbitre de football autant que l’officiel d’athlétisme. A convenir...

Gagnants : le vainqueur du football (le marqueur de plus de buts) touchera autant que celui du 100m, disque etc. A convenir…

Dégradation des infrastructures. A convenir...

Organisateurs (+10% pour l’ONG du sport)

L'entraîneur de l'équipe gagnante va en stage avec son équipe nationale + les meilleurs des autres régions... ainsi naîtront notre professionnalisme et nos équipes (club) nationales, pour une durée de septembre à août. Le Ministre de la Culture, via la commune, rétribue les équipes nationales (les médaillés d'or en athlétisme) de l'année (quelque chose pour vivre de leur art; voir plus loin).

 

D. TARIFICATION

-Affiliation du sportif (dirigeant) : voir la loi à établir

1) Fédération des Ligues

2) Fédération des Etudiants

3) Fédération des Juniors

4) Fédération des Cadets

5) Fédération des Militaires

6) Fédération des Masses (masters)

-Frais divers

1) Licence de l'athlète au club

2) Assurance

3) Cotisation des fédérations aux Comités Directeurs. (Voir la loi)

4) Frais d'engagement aux compétitions (à la ville qui organise, période de payement: octobre, novembre, décembre)

E. SOURCES DE REVENUS

- Dons du Conseil d'Animation sportive (opérateurs économiques)

- Dons des pouvoirs publics (Communes, Hôtel de Ville...)

- Droits de retransmission des sports du DEMOCRYMPISME ou de la

Coupe de la Démocratiade (mass media : TV, radio, journaux...)

- Sponsors éventuels ou autres opérateurs économiques...

- Fournisseurs étrangers et autres...

- Marketing

- Licensing

- Vente des billets d'entrée aux organisations sportives

- Membres et supporters...

- Membres du DEMOCRYMPISME (carte de membre).

Une fédération qui fait la manche est une fédération normale.

F. LE CLUB (de la commune à la ville)

Le comité se compose de membres  volontaires :

- Chef du siège, Donneur qui fait le manager (logistique, assurance, licence (s) etc.)

-Secrétaire général

-Secrétaire adjoint

-Trésorier

-Entraîneur ou coach (sous contrat, il est le seul qui est rémunéré par le comité et qui décide : munanukiji)

-Conseiller administratif

-Conseiller financier

-Conseiller juridique

-Conseiller diététicien (le club offre des agapes après entraînement). Eliminer les faibles.

-Médecin sportif (énergie, travail, traumatisme…)

La bible dit : Tout arbre qui ne produit pas de bons fruits est coupé et jeté au feu (Matthieu 7, 19)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Chapître I

 

134 ans de recherche de changement

 

Les blancs nous ont séparés, divisés il y a exactement 134 ans (26 février 1885, morcellement, à Berlin, de l’Afrique par nos « parrains », les allemands). En 1888, ils ont écrit la charte de l’impérialisme. Nous blancs, nous sommes les plus forts de la Terre. Nous sommes même plus puissants que leur Dieu. Nous les divisons pour mieux règner sur eux et nous enrichir.

 En sport, la cravate ou le nœud papillon (invendus en ‘Konga) n'est pas de rigueur. Le colonisateur a fait croire au nègre que c’est de la civilisation. Il y a moyen de se faire beau en s’habillant à l’africaine (aux jours des fêtes : mariage, indépendance, naissance et naissances des jumeaux…). Il n'y a pas de PDG, pas de hiérarchie devant le Seigneur Mashiya. Nous n’avons que 134 années d’existence. Préparons l’avenir de nos enfants et de nos arrières-petits-enfants… : chacun est chef de sa compétence reconnue par la LOI (Congrès). La fourmi n’a ni chef, ni inspecteur, ni supérieur (Pr. 6, 7). Nous n'admettons pas de propos tels que : "A cause de celui-là, nous avons perdu. Tel a volé les deniers publics. Ote-toi de là que je m'y mette"... Vous qui aimez des émotions fortes, construisez deux fois plus d'infrastructures sportives que d'hôpitaux (n+1). Payez votre place afin que le sportif vive, qu'il ait des possibilités de participer aux compétitions planétaires. "Ne tirez pas sur le pianiste". Transformez-vous de spectateurs en clients. Les sportifs vous offriront du spéctacle à vous fatiguer autant qu'eux-mêmes. Ils vous feront dire wow! Fantastique!...tu as vu le dernier but! (dans un match de football, 6 à 5 et 105 à 111 en basket-ball...). Un match qui se solde par 0 à 0 pendant 90 minutes n'est pas un match du DEMOCRYMPISME, c'est un match perdu. Un 4à4 au football est un vrai match nul. Le spectateur se demande où Dieu a caché le vainqueur (les talents), deux afro-jamaïquains: Usain Bolt, le recordman de la planète sur 100m (8sec99) ou Johan Blake, le challenger du record? 

 Les enseignants, animateurs sportifs... ne mentiront pas à leurs apprenants, comme le dégénéré et non-sportif évêque de Pennsylvanie en 1904 avant les Jeux Olympiques de Saint Louis, qui a dit: "l'essentiel n'est pas de gagner, mais de participer" (maxime de consolation). Ce n'est pas un esprit sportif, c'est de la vieillesse. Sinon, à quoi serviraient les entraînements ?... Je dirais : l’essentiel est de gagner et pas de participer. Que celui qui s’est bien entraîné ait la chance de gagner… Le sport et l’entraînement sont, pour notre évêque, des vains mots. Nous lui pardonnons son ignorance. L’enfant va à l’école pour « apprendre » le sport, mais il va au club pour « gagner » aux compétitions. Nous ne connaissons pas de loisir avec les choses du sport.  L'important dans la vie, n'est point le triomphe mais le combat ou l'essentiel n'est pas d'avoir vaincu mais d'avoir bien combattu (Pierre de COUBERTIN). Il faut que le CPSP (comité planétaire du sport papal) dise « SPORTS DU PAPE (chrétien), PACIFIQUES, PLANETAIRES »  et non Jeux Olympiques. Quand on perd aux jeux, peu importe. Mais perdre aux sports on dit : « Biwadishinda, wamaga tshya kushindishi » (*) si tu perds, sache pour quel motif afin de ne plus rechuter.

L'entraîneur national, comme tout autre dirigeant est celui qui aura conduit son sportif ou son équipe au plus haut rang du classement national, impérial, voire planétaire. Le meilleur en politique de notre sport Etatique  est celui qui sait d’abord "balayer devant sa porte" (association).

Tout notre mouvement du DEMOCRYMPISME, toute notre politique sportive a, pour centre d'intérêt, le sportif. C'est pourquoi nous l'avons ménagé pour le dernier. Le sportif a le droit de présenter... par élection, son représentant. C’est le seul qui, selon le CPSP et CIO, peut être élu (syndicat). Le sportif qui évolue à l'étranger ne sera à mesure de rejoindre nos équipes Etatiques que s'il (elle) est compté (e) parmi nos meilleurs chasseurs de scores : 3buts, au moins, au football... Le but c'est...des buts.

   Aucune fonction ne sera entreprise par voie de nomination, ni par voie de désignation, ni par voie de vote, d'élection (la France a raté Jospin à cause des votes)... mais par voie de mérite, de compétition, de compétence, de savoir-faire ou de savoir-faire-faire: convaincre le peuple. Savoir démissionner au cas où le peuple vous déconsidère. A bas les anti-valeurs ! Les temps changent, la mémoire demeure !

 Mashiya, le prince de la paix, l’agneau ressuscité pour la liberté, Dieu de l’humanité, m'a créé professeur de sport, des sciences naturelles et du tshiloba, la langue de la terre. Ne vous fatiguez pas à dire : un tel n’est pas congolais, car vous ne l’êtes pas vous-mêmes. Si vous êtes nègre, vous êtes enfants du pays. Je ne suis pas congolais : esclave de l’étranger (ne parle pas ‘konga) mais nègre, panafricain, ‘kongae, muntu wa baeina Mûuntu (vivant de l’Eternel), empereur et père de l’indépendance de la ‘Konga ; de baeina ‘Konga, des nègres, bafiikae, afrikae, ‘kongae ; des bakwa-Kalonji, bakwa Mukendi (Caen), ba ‘TITAE (les nobles africains, les pionniers de la planète T, les représentants des bakishi : êtres parfaits, invisibles, immortels du nègre, FORCES POSITIVES DU PEUPLE, DE LA BASE SOUVERAINE créées par Mashiya à son image et à sa ressemblance sous l’égide de l’Esprit-Saint, les anges gardiens (1,Jn4,18 ; Mt5, 48 ; Ps 91, 11) , tout nègre est citoyen africain, tout nègre est ton frère : même ‘Tambwae-‘Beki, Kakamee  (Thabo-Mbeki, Kagame), Baena Bilonda, Baena Kabeya, Baena Kaginda-Kagoka _(Wa)Kabaala, en un mot, mulouba-kasayien. J’habite un Etat, une unité, une région, une terre, une fédération, un royaume… Nos ancêtres ignoraient… Je ne connais plus de président, de république… Quelqun a parlé d’une charte « cette charte est inspirée par l’idée que l’Afrique doit pouvoir s’exprimer de façon unitaire ». Vive la renaissance africaine ! De père Mashiya  et de la mère Bafiikae (Afriikae).

 Notre tradition s’étend d’âge en âge dans toute l’Afrique (di-alabala). L’émigration lente, après des siècles d’esclavage, a commencé depuis des millénaires. Depuis notre ancêtre commun Kabaala (Cham, dans la Bible). Au fur et à mesure que les peuples s’éloignaient du Kasayi, ils parlaient d’autres dialectes. Nous sommes vos frères  venus non pour vous recoloniser mais pour nous joindre à, vous (Namibia ou Bakwa ‘Daoba, Algérie ou Bakwa  Dishi) dans l’exode. Les Etats nègres de l’ouest africain ont connu « l’Empire Kong », dont j’ai vu un  documentaire télévisé (baeinabulongibwankonga…wankatshi). Notre feu artiste-musicien,  auteur de  « indépendance cha cha »  Kabaselae-Tshamala a chanté, avec son groupe African jazz : « Afrika mokili mobimba » (Afrikae tout une nation, la planète, monde entier ;            Ps 115, 16). Menons une lutte pacifique contre la domination blanche. Evitons les luttes fratricides, linguistiques. Le blanc ne considère pas vos nationalités. Il met, comme bon lui semble, le rwandais à la place du congolais… Il a créé « l’union africaine » : le congolais, le camerounais, l’ivoirien, le ghanéen, le pygmée, le rwandais-tutsi… Nous sommes avant tout africains. Nous créons l’UNITE AFRICAINE. L’Afrique est une famille, comme dit la NEGRITUDE de Senghor. L’Afrique est une très grande famille, TRIBU impériale ‘Konga-Bantu Bafiika. L’Afrique est à nous et non aux occidentaux et autres éfrangers. Nous commençons une autre vie dans l’UNITE AFRICAINE et la liberté. Nous ne sommes pas des nègres mais des aigles, empire nègre. Les Bakwa-Kalonji-Bakwa-Mukendi-Baeina Malaoba (les ‘TITAE ou nobles africains) constituent  la première famille de l’humanité (la probabilité est scientifique, nous l’avons vu en mathématique). Le tiret-bas_que vous verrez ici signifie « wa » qui s’écrit en toute lettre chez la femme. G=NY                                                                              

  Nous reconnaissons (tshiseba tshya ‘tambwa: peau et sceptre de royauté). 1 Afrique du sud (Baeina Manda. ‘TITAE  Mga TSHIUNZA-‘HOYI A KABULA). 2. Algérie (Bakwa Dishi ; ‘TITAE KAYEMBAE-‘HAYA A BILONDA). 3. Angola (Baeina Kalala ; ‘TITAE  Mga KAGINDA-_KALUBI A BILONDA) 4. Arabie sahrawi (Baeina Kayembae ; (‘TITAE KADIMA-‘ZAMBA _KADIMA-‘ZAMBA MUKULU A BILONDA) 5. Bénin (Baeina Kagana; ‘TITAE ‘KWAGA-MUKOLA A BILONDA). 6. Botswana (Bakwa Bowa; ‘TITAE KALUBI-_TSHEJA A BILONDA). 7. Burkina Faso (Bakwa Maloba ; ‘TITAE TSHANGALA-MATAYI A BILONDA). 8. Burundi (Bakwanga/’Kongawankatshi; ‘TITAE KAZONGW-‘BUYAMBA A KABULA). 9. Cameroun (Bakwodila; ‘TITAE TSHENDA-BALONGA A TSHENDA). 10. Cap-vert (Bakwa Kashile; ‘TITAE KALOMBW-MUSUSU A TSHENDA). 11. République Centrafricaine (Bakwa Hoyi; ‘TITAE GANDU-KAKULU A MALUMBA) 12. Comores (Baeina Konji ; ‘TITAE ‘BUYAMBA-KONDOKO A MALUMBA ). 13. République du Congo (Baeina Mukendi; ‘TITAE BUKASA-KADILU A LWAMWELA). (7). République Démocratique du Congo (Baluba-Kasayi Bakwa MufiikaeMukendi, bantitae, baeina Bilonda (berceau de l’humanité) Baeina Bilonda‘Kongawankatshi; ‘TITAE KADIMA-‘ZAMBA_KADIMI KA DEHOTE A BILONDA. 14. Côte d’Ivoire (Bakwa Gzevu, ‘TITAE MWAMBA-KADIMA A LWAMWELA) 15. Djibuti (Bna Kabeya-Gkongolw ; ‘TITAE MWAMBA-DIBAYA _KADIMA-‘ZAMBA A BILONDA). 16. Egypte (Bakwa Gtembwae ; ‘TITAE TSHAMALA-KALENGAYI A BILONDA). Se sont les premiers émigrants de la Kongawankatshi. Lors de la chute définitive de l’Egypte et sa prise par les grecs, Aristote continuait à dire des égyptiens qu’ils étaient « extrêmement noirs » (Bafikae fitutuu). (Cheikh Anta Diop dans « Antériorité des civilisations nègres p36) ». 17. Erythrée (Bna Gembaneitshibwabwa ; ‘TITAE ‘ KALENGAYI-KASAM A BILONDA). 18. Ethiopie (Baeina Tshiswaka ; ‘TITAE KADIMA-‘ZAMBA _MUKENDI-MUKINAYI A BILONDA) du grec Aethiopus qui signifie visages brûlés, éthiopiens). 19. Gabon (Bakwa-Maselae ; ‘TITAE ‘HOYI-MU-AMBI A KABULA). 20. Gambie (Baeina Kaseki ; ‘TITAE MUKENDI-KANZOLW A KALENDA) 21. Ghana (Baeina Kalambayi ; ‘TITAE ‘DYATA-MUKENDI_MUKENDI-MUKINAYI A BILONDA). 22. Guinée (Bakwa Gdumbi ; ‘TITAE KALONZO-MBUYI A KALENDA). 23. Guinée Bissau (Baeina-Ghyana ; ‘TITAE ‘HOYI-KABATSHI A KALENDA). 24. Guinée Equatoriale (Baena Tubeya ; ‘TITAE LWABEYA-TSHITAALA A KANSAHWILA).  25. Kenya (Bakwa Mwembya ; ‘TITAE TSHIUNZA-_TSHiUNZA*(_=wa chez la femme) A KANSAHWILA). 26. Lesotho (Baeina Dimbelengae ; ‘TITAE MUKENDI-KAVWANDULA A ‘KONGOLW). 27. Liberia (Bakwa Tshinenae ; ‘TITAE ‘HOYI-KAMUTSHILENGEI A TSHINHUMA)   28. Libye (Baeina Kasansa ; ‘TITAE KABONGW-SEKABO A TSHINHUMA) La Lybie était la Barbarie (Berbère) « African Presence in Early Europe » Ivan van Sertima p150.  29. Madagascar (Baeina Tshinanu ; ‘TITAE KABEYA-LUKENGU A KABIMBA) 30 Malawi (Baeina Matamba ; ‘TITAE MUKENDI-NKANA A KABIMBA). 31. Mali (Bakwa-Mulumba ; ‘TITAE ‘TUMBA-LUMBALA _KABEYA-DIBA DYAMWANDA A BILONDA). 32. Maurice (Baeina Gtanda ; ‘TITAE TSHIBANGU-_BANTITAE A  TSHENDA). 33. Mauritanie (Baeina-Kagiki ; ‘TITAE MUZUNGU-TSHENDA A TSHENDA). Maures : noirs correspondait au Maroc, à l’Algérie et à la Tunisie… Le Maghreb était noir (victoire des romains sur les carthaginois, Hannibal), Egypte et Mauritanie. 34. Maroc (Bakwa Gbiye-Odya ; ‘TITAE TSHENDA-_TSHENDA A LWAMWELA). 35. Mozambique (Baeina Tshimanga ; ‘TITAE KALONJI-_KALONJI  A TSHINHUMA). 36. Namibie (Bakwa-Gdaoba ; ‘TITAE TSHIZUBU-KAHYAMBA A TSHINHUMA). 37. Niger (Baena Maandà ; ‘TITAE KALAMBAYI-KABEYA A KABIMBA). 38. Nigeria (Baeina Kahuya ; ‘TITAE KAYEMBAE-KABEYA A KABIMBA). (7). Ouganda, (Baeina Mukuna/’Kongawankatshi) ; ‘TITAE Mga KAGINDA-_KALUBI A BILONDA). (7). Rwanda, (Baeina Tshitoolw/’Kongawankatshi ; ‘TITAE MUKENDI-MUKINAYI _KABEYA-DIBA DYAMWANDA A BILONDA). 39. Sao Tomé-et-Principe (Baeina Mulamba ; ‘TITAE KAZADI-WAMWATSHENDA A TSHENDA). 40. Sénégal (Baeina Gsona ; ‘TITAE KABEYA-LUKENGU A TSHENDA). 41. Seychelles (Baeina Tshibanda ; ‘TITAE KALOMBW-GANDU  A MALUMBA). 41. Sierra Leone (Baeina Tshimuna ; ‘TITAE KALONJI-KADIMA A MALUMBA). 43. Somalie (Baeina Gbaala ; ‘TITAE KALALA-KASONGA A LWAMWELA). 44. Soudan (Baeina-Ghuka ; ‘TITAE ‘HOYI-KADIMA A KALENDA). 45. Soudan du sud (Bakwa Lonji ; ‘TITAE KALONJI-GHOYI-TSHIMANGA A KALENDA). 46. Swaziland (Bakwa–Gsulu ; ‘TITAE ‘BUYAMBA-TSHIUNZA A KANSAHWILA). 47. Tanzanie (Bakwa-Tshimanga ; ‘TITAE KABANGA-TSHIUNZA A KANSAHWILA). 48. Tchad (Bakwa-Kandae ; ‘TITAE TSHIUNZA-KALUMBI A ‘KONGOLW). 49. Togo (Bakwa-Gtombolow ; ‘TITAE TSHIMANGA-MUKENDI A ‘KONGOLW). 50. Tunisie (Bakwa-‘Sunhi ; ‘TITAE ‘HOYI-KALONJI A TSHINHUMA ). 51. Zambie (Bakwa-Tshisamba ; ‘TITAE KAZADI-KABEYA A KABIMBA). 52. Zimbabwe (Baeina Gshimba ; ‘TITAE KABEYA-KAGEMESHA_MUKENDI-MUKINAYI A BILONDA). Soient offictellement 52 Etats-membres du pouvoir régalien (royaumes, fédérations, terres, régions…) de la ‘Konga (commission économique pour l’Afrique). 52 vice-rois, 52 représentants du peuple ou roi, responsable de chacun son Etat : pauvreté, esclavage... 55 ‘kongae de souche,  élus par Mashiya, le Dieu de l’homme. 55 types de nègres (baluba). 55 chefs d’Etats autonomes et démocratiques à l’africaine (permanents), pas à la française (mandatés). 55 chrétiens (plongés dans l’eau au nom de Mashiya, sinon veuillez céder la place à un autre mukwa-Mukendi intègre, en règle). 55 parlementaires d’Afrique. 55 candidats aux intérêts des Etats et à la formation militaire en Amérique (magistrature, commandants suprêmes des forces armées et de la police). 55 bakishi ou les derniers de la spiritualité de nos ancêtres, ou encore êtres idéaux, purs comme le premier Adam avant le péché et le dernier Adam instaurés par Mashiya, le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs, le seul Dieu de l’humanité. 52 royaumes d’une même famille de Bakwa-Mukendi, les nobles dans l’UNITE ‘KONGAE, BAEINA MALAOBA, unité fraternelle, fédérations sportives, des indigènes. 52 derniers de la patrie. 52 « César » constitutionnels de même langue, du même langage, culture, culte, drapeau d’UNITE AFRICAINE. 52 pionniers de la planète (bakishi ba dibungulu ou indigènes garants de la souveraineté). 52 chefs d’Etats. Ils sont partis de ‘Kongawankatshi des Baeina Bilonda (Afrique médiane). Dieu nous a créés riches dans « Malaoba-Masanga a ‘Konga » USK. Ce que les blancs appellent tribalisme, nous l’appelons UNITE AFRICAINE. L’africain qui parle de tribalisme, doit se taire ou s’évertuer à être le meilleur de la planète dans son domaine. Un nègre n’est pas étranger en Afrique. En six mois de temps, nous pouvons apprendre une langue. Mes statistiques affichent les kasayiens plus nombreux que les autres ethnies… Mis ensemble, nous ferons peur aux multinationales. Nous convions les nègres de la diaspora (d’Amérique, des Caraïbes) d’investir en ’Konga.

 Installer les offices des étrangers pour marquer le territoire nègre. Mashiya, notre Dieu, a convaincu les kasayiens à se répandre dans toute l’Afrique. Du nord au sud, de l’est à l’ouest, nous aurons la même langue, les mêmes pièces d’identité (le même passeport, la même carte d’identité, la même monnaie, la même langue, le ‘konga…) Le nègre est étranger (immigré) en Europe, pas réfugié car issu d’une terre d’asile vivant par indivis.

  Qui est « Mulohwewabafikae» : l’Empereur des nègres ou chef suprême de tous ces états souverains? La grâce de Mashiya m’a fait ce que je suis : Chef des Etats autonomes des Bafikae (Afrikae : nègres) ; Gtite Mukulu, Mukulu wa bantite : chef des Etats confédérés d’Afrique réunifiée. Demandez à Mashiya, le prince de la paix. Cherchez la paix avec toute la planète (Mt 6, 14-15 ; Hb 12, 14 ; Rm 12, 18). Mashiya disperse le peuple de Dieu en ‘Konga (les kasayiens sont les seuls nègres qui connaissent leurs origines : les juifs nègres). Je suis mwanawatshidikawabakishi ou prince de Likasi ou futur empereur de ‘Konga (Bafììka, Afrika). Je propose, le 12/25/2018 à Lusambw (avec les 52 ‘titae ou nobles, chefs d’Etats traditionnels : banfumu ba bakishi ba bulongi: les chefs des pionniers, rois, serviteurs, citoyens) la démission de tous les présidents africains (chefs d’Etats remplacés par les ‘TITAE pour la solidarité), au nom de Mashiya. Je propose qu’à partir de cette date on  parle que ‘konga et anglais (français) en Afrique et ‘konga à l’O.N.U. Cette date est, chez les blancs, Noel (coutume de fêter la nativité du Christ). Mascarade non biblique où Marie joue comme actrice principale pour le « travail » qu’elle aurait accompli. Nous, nous commémorons notre délivrance. La mort de Mashiya nous a rendu l’INDEPENDANCE DU NEGRE. Oublions le passé. Faisons-nous nouvelles créatures. Développons tous les Etats à la manière des baeina Manda. Les Bakwa ‘Biye-Odya ont déjà donné le ton de royauté. Que cette date marque la fin de l’esclavage et la naissance de l’histoire de l’AFRIQUE. Que les nègres de partout prennent les noms africains.                                   

 En ‘Kongawankatshi, des nègres tuent d’autres nègres. Est-ce ça être ‘Kongabantubafiikaebakalaenga (rassemblement des nègres civilisés et lndépendants, « leja bulela » : montre la fraternité) ? Il nous est, cependant, facile de distinguer un étranger de nous (la peau et la mentalité). Quelles sont les causes de toutes ces hostilités ??? Des nègres qui chassent d’autres nègres, sans armes, de chez eux en ‘Konga. « Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés » Bulela, Bulêla (fraternité, vérité, bulelèlà). FAITES LA PAIX ET NON LA HAINE. Mashiya est puissant (le lion de la tribu de Juda) et à la fois doux (il donne la paix). Les armes sont faites pour tuer l’ennemi, pas son frère. Croyez un africain qui vous parle d’Afrique (‘Konga). Le nègre est l’homme original de l’humanité ; la race pure, -humaine. Le kasayien est le type même du nègre. Appelé hébreux dans la Bible, il est le peuple de Dieu. C’est un honneur d’être nègre. Ne dit-on pas que l’Afrique est le berceau de l’humanité ? Ne dites plus Afrique subsaharienne, mais Afrique (Bafiika) tout court (nègre). Faites appel aux investisseurs et partenaires. La justice élève la nation, la corruption est la honte des peuples (Pr. 14, 34). Le racisme c’est la haine (mépris) du nègre.

 Cheddar Man : le premier homme britanique, âgé de 10000 ans est noir de peau. L’homme blanc a apparu longtemps après. Dieu est des nègres avant d’être de tous. Les chercheurs cherchent encore, sur internet… Plaise à Mashiya, le Prince de la paix, de me donner un empire au peuple intègre, libre (indépendant). Que la planète soit convaincue que je suis mulohwewabafikae. J’appelle autosuggestion ce que les pessimistes disent racisme. Voilà 134 ans que nous vivons en pactole des multinationales. « L’Afrique écrira sa propre histoire et elle sera, au nord et au sud du Sahara, une histoire de gloire et de dignité. Moi je sais que mon pays, qui souffre tant, saura défendre son indépendance et sa liberté »  Tasumbu Tawosa dit Lumumba.

 Nous avons vécu 134 ans sans démocratie. Voilà 134 ans que nous vous avons laissé tergiverser. 134 ans que le diable a régné en maître. Ma modeste intervention marque la fin des troubles diaboliques de 134 ans sous la victoire du Christ dont le retour est proche. La démocratie requière (en Angleterre) les idéaux ou cinq partis : les travaillistes ou socialistes, les écologistes qui aiment la nature, les indépendantistes, les libéraux et les conservateurs. Le multipartisme de Mobutu n’est rien d’autre que de l’anarchie. Qui sert le peuple, sert Dieu.

   Les allemands disent « Arbeit macht frei » : le travail rend (fait) libre. Avec votre argent vous pouvez promouvoir le sport. Pour une véritable transparence, tout sera diffusé à l'intention du public. Nous devons sauvegarder notre patrimoine culturel qu'est le SPORT IMPERIAL. Si la philosophie est le sport du cerveau, le sport est la philosophie par l'action. Si l'on parle du tact en philosophie, on parle de la tactique en sport, son frère jumeau. La plus grande spécificité en sport est sa franchise, son objectivité se manifeste mieux qu’à l’élection de miss ou d’élection présidentielle. Pourquoi l'unité nationale ne viendrait-elle pas de cette objectivité? Les Commissions spécialisées fustigeront les faibles et les voleurs qui ont toujours un penchant au dopage et à la corruption (di-onesha). Puisse notre Sport triompher là où le gouvernement tergiverse. Celui-ci  n'a qu'à copier  nos  méthodes.

  Vox populi, vox Dei! (dans la démocratie romaine, la voix du peuple est la voix de Dieu, le peuple peut se tromper, il ne s’en prendrait qu’à lui-même). ‘Kong’Yowh ! Yowh ! (slogan de rassemblement, d'unité, de présence devant   YeHoWaH, l’Etre Suprême) ; s’écrit aussi YAOWH. Nous l’invoquons au salut au drapeau, à la Patrie (image de la nation).

 Voilà 134 ans que le blanc nous domine ; à présent c’est le tour du Roi des rois, le Prince de la paix sur la planète qui l’a vaincu. Parler ‘konga n’est pas de la dictature mais la droiture, le vrai CHANGEMENT. L’attente de Jésus-Christ nous donne une vie nouvelle (fini la dictature, vive le sourire, plus de zones d’ombre). Le pouvoir n’est pas entre les mains du kasayien mais le SERVICE.

 

 

 

 

Chapître II

Notre drapeau  (de l’UNITE AFRICAINE)

(Yahweh-Nissi, le porte étendard, porte bannière): ‘Konga wetu (‘konga, ma langue, ‘Konga ditunga dyangi, mon royaume, mon empire la ‘Konga), nous le saluons à la première heure de la semaine. Nous demanderons à Dieu de bénir notre travail afin que nous lui payions notre dîme à la fin du mois.

 Du côté de la hampe, une bande « bleu turquoise » (capitale de la planète) portant quatre anneaux d’or entrelacés en croix représentant les quatre Etats belligérants mis ensemble. Une grande croix latine de bois, symbole du chrétien, irréprochable, l’épée, la prière (Jr 12, 12 ; Mt 10, 34-39 ; Ep 6, 17),  représentant le sang carbonaté (nos péchés) de l’Agneau divin et les martyrs des dictatures, occupe le milieu d’un fond blanc parlementaire de paix, (symbolisant la sainteté), d’unité linguistique et l’unité de tous les chrétiens de ‘Konga, notre nation. La croix latine est le signe de laïcité chrétienne: respect et tolérance de l'autre, l'obéissance à la constitution, à l’amour.  L'amour n'est pas un souhait mais un commandement de Dieu Mashiya : ne jamais faire de mal à personne (faire du bien, Col 4, 6). La vie de chrétienté, la pratique de sport requièrent la tolérance de ceux qui aiment d’autres croyances. Un passage de la constitution dit : la nation est laïque (en singeant des gens sans culture). Je propose qu’elle soie chrétienne, mais tout le monde est toléré : musulman, catholique, athée, etc. L’article 1, alinéa 8 de la constitution (RDC) est à réduire à une seule langue : le ‘konga… Le laïc aveugle est plus riche que l’Etat, se met au-dessus de la loi, corrompt, tue, met en prison... ; pour le chrétien : « Tu ne tueras point » (le langage du Christ : amour, paix). Nous sommes le seul pays chrétien sur la planète. Nous faisons la Profession de foi, pas par religion ou tradition. Nous allons vers le Royaume des cieux, les autres savent-ils où ils vont ? Pourquoi ils sont en vie !? Que celui qui a des reproches à donner contre le chrétien (la Bible) me jette la première pierre. Le chrétien (le kongae, porteur de lumière) n’est pas corruptible. Entre l’argent et la paix (la liberté), le choix est clair. Mashiya, le Prince de la paix, Dieu de l’homme, est incorruptible. Je connais des pays catholiques : la Belgique, des pays musulmans : l’Afghanistan, des pays bouddhistes : la Chine, le pays chrétien : la ‘Konga, ‘Konga wa baeina Mulaaba : Assemblée des chrétiens où l'Etat passe avant l'Eglise. Paul a dit : en Christ, il n’y a ni juif ni grec (1Cor 12, 13 ; Ex 20, 4 ; Lc. 1, 28 ; Jn. 1, 14 ; 1Tim2, 5 ; Hé 7,25 ; Mt 22, 32 ; Mt 3,16-17 ; Ep 4, 5 ;  Lc18,12 ; Mat 28, 19 ; Dt 28, 1-14 ; So, 3, 9-10, Mc 16, 16; Ac 2, 38; Ec 9, 5; 1P1, 15: Col 2, 12; Lev 19, 2 ; 2P1) ; Ps 143, 144 ; 1Th 4 16-17. Les dignitaires du roi (parlementaires et chefs culturels, traditionnels) s’habilleront, en tenue de cérémonie : de « zambala » blancs comme les dits west africains. La police, agent de la paix, s’habillera de blanc, comme l’armée du salut.

Que l’Organisation des Nations-Unies (l’Union Africaine, la Communauté Internationale), agrée la naissance de la nouvelle nation, l’Afrique. 

Les arabes disaient quelque chose comme KAFRIKA aux nègres qui disaient non à l’islam. Les kasayiens entendaient « mukafi » qui signifiait : va te faire foutre (te faire brûler dans l’enfer de l’équateur) Soph. 3, 10.

Quand Mashiya va le permettre, les 55 vice-rois vont pavoiser avec le nouveau drapeau impérial. Renforcés par l’USArmy, Ils vont déclarer leur indépendance nègre des multinationales. Notre MUBAKO (Musumba wa Basalayi ba Konga : armée ‘Kongae) combattra Boko Haram avant de devenir une grande puissance.

 

 

 

LE GEANT DES ETATS-UNIS PLANETAIRES

Notre continent noir, -empire, -nation, -pays, -combat, -amour, -unité, -peuple…

 

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Makàlù a ‘Konga : ci-dessous, le drapeau du peuple ‘kongae, de l’UNITE AFRICAINE (couleurs panafricaines de la  ‘KONGA) : lubìdibidi (bleu, couleur de Buloba,  la planète) kalabi (jaune, or, notre richesse) nei mukunzuluke (rouge-bordeau, le sang de Mashiya, ha bitooka (blanc).

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Gbendelae wa Baena ‘Konga, baena Mulengae (drapeau des rois ‘kongae : habitants de la ‘Konga)

Gdi mwena ‘Konga, gdi mukalenga wa ‘Konga (je suis roi, propriétaire, originaire, homme libre de la ‘Konga)

Celui qui aime la ‘Konga s’évertue à parler la langue ‘kongae.

Pensez à vos enfants, vos petits-enfants, vos arrière-petits-enfants.

 Les couleurs des ressortissants, états-unis (royaumes unis) de ‘Konga

Nous aimons celui qui aime la ‘Konga sans intérêts. Qui salue le drapeau de la paix, de l’unité

Si tous les gars de la planète pouvaient se donner la paix

Yehowah Nissi : le porte-étendard, drapeau, bannière aux quatre anneaux d’or entrelacés en croix, protège nous ! Marche devant ton peuple.

Nos couleurs en sport seront : short blanc parlementaire, zèbré ou en peau de léopard, maillot tricolore.

Chapître III

Notre hymne national, impérial (africain : des nègres)

Une seule nation : la ‘Konga ; une seule langue : le ‘Konga ; un seul langage : le Christ, Mashiya.

Kasala ka Ditunga DineneDidishikaminae dya ‘Konga-Kamulangu (ka bakishi)

Nous ne sommes pas unis par le sort comme le Congo, la France, l’Amérique, mais par Yowh lui-même.

      Slogan d’ouverture : ‘Konga Yowh ?! Yowh ! ‘Konga Yah ! Ya ! (diminutifs de Yehowa et apocope de Yaeioshwamashiyamulaaba ; la ‘Konga appartient à Dieu : ALLELUIA) ‘Konga wetu- awe ! ee ; ‘Konga wetu- awo ! woo… vive l’Afrique, que vivent les africains. La main la plus proche du cœur sur le cœur, l’autre sur la première (le bras le long du corps chez les agents de la paix ou main droite à la coiffure, paume de main visible) front dressé. Hymne national (Ps. 82, 8).

Mulenga YeHoWaH waatuheshi bukalenga. Wakatu-ambila angatayi ditunga dinenedidishikaminae dya ‘Konga. Nuditungunujayi. Nudilamayi. Badi kwabendae kuulu kwa mutshi, hinganayi bonsu tuvukulae gshima nei mugingi wa mangi nei kalejikelanjilu. Kwetu kwatoku !

Malaoba makumi-atanu nei abidi masanga, tu-imbe dîyi dimwae, mu-akulu umwae, ditunga dimwae : ‘Konga. Tudingikayi mêna a bataawu nei bangkambwa balalae. Twayi tshanga tshya mwa Mulohow. Butumbi gbwebe, butumbi gbwebe butumbi gbwebe Yehowa wa misumba. Butumbi gbwebe, butumbi gbwebe, butumbi gbwebe Yehowa wa misumba. Baeinae ‘Konga elaayi goma wa katumbi, tutaayi goma wa ditumbi.  

Utuhingajile disanka bu matuku awakatufwisha bundu. Mu bidimu bitwakamona dyakabi. Mudimu webe umweneke kudi bantu beebae, butumbi bwebae kudi bana baabou. Dinanga dya Mukalenga Gzambi wetu dikale kutudi. Ujadike mudimu wa biyanza biyetu ee, ujadike mudimu wa biyanza biyetu mu dîna dya Yaeioshwa MashiyaMulaaba. EHYOWAH.  Didiswila! Mudimu! Bulela! ‘KongaKamulanguwakamulangu ee kamulangu Kamulangu ditunga bunene Kamulangu !

     Kabòbò kandekelu : (‘Konga) Ditunga dîyi ?! dîyi dimwe ! (bis) Dîyi kayi ?! Dinanga ! (nom donné à Dieu). Dîyi dikola ! Dinanga (bis) Munu umwae! Kabatu bawuhanda bihesa, wudi wusukula mukana kadi kwisu to ! Leeja bulela bwa ditunga !

Kayi Kayee ! ee ! Kayi kabidi-ee! Ee! batubengelee ! baafwa! Twetu hegi-ee! Muulu! (mikundulwila : nos mères émettaient les sirènes vocales, les you you, avant les arabes) (*) fin des hostilités, quand nous vivions, captifs, chez les Egyptiens : Kao Kao ou divinité égyptienne de la guerre, morte quand elle a été jetée à l’eau cheval et cavalier, en mer Rouge. Balugyana Kolayi, kolayi kabidi ! kwatayi ku minvunvu ! ‘Sona yidi nei bituukatuuka !  Gzambi abenesha didishikamigi dya ‘Konga.

Hymne (national) des Etats Indépendants, -Autonomes, -Démocratiques, L’Etat Souverain de ‘Konga (de Rassemblement, d’unité, de Droit civique et de Droit de l’homme,  LIBRE), les Etats autonomes, Etats fédérés, Etats-unis de ‘Konga, Union nationale, Etats royaux, Etats de développement durable, Royaumes-uni de ‘Konga… Indépendance (du) nègre & la planète. Les pionniers de l’Afrikae

*Le Bon Yahvé nous donne la liberté. Il nous dit : possédez l’Etat géant autonome (royal, indépendant) de ‘Konga. Cultivez-le, gardez-le. Ceux qui sont à l’étranger, retournez et mangeons ensemble le «shima » [gshima, nshima] (pâte alimentaire africain semblable à la purée de pomme de terre, la polenta italienne ou corse) et de la viande avec de la graisse et des feuilles de manioc aux aubergines. Le bonheur est à nous !

52 Etats-Unis, chantons d’une voix, une même langue, une nation : le  ‘Konga. Portons les patronymes de nos ancêtres endormis (qui hibernent). Esquissez un pas de danse pour le Seigneur. A toi la sanctification, à toi la sanctification, à toi la sanctification Dieu des armées. Peuple kongae battez les tam-tams aux sons aigus et graves. Toutes les nations t’appartiennent.

Réjouis-nous autant de jours que tu nous as humiliés. Autant d’années que nous avons vu le malheur. Que ton œuvre apparaisse à tes serviteurs et la splendeur sur leurs enfants. Que la tendresse du Seigneur, notre Dieu, soit sur nous ! Affermis l’ouvrage de nos mains, oui, affermis l’ouvrage de nos mains, au nom de Jésus-Christ.  Qu’il en soit ainsi ! Liberté ! Travail ! Allocentrisme ! ‘Konga Kamulangu, quelle nation grandiose! Exprime la solidarité du pays !

 Slogan de clôture : Nation une ?! Une voix ! (bis) Quelle voix ?! L’amour ! (Amour). Plus fort ! l’Amour ! (bis) Un doigt est indivisible, il nettoie les dents, mais pas le visage (soyons unis). Ceux qui nous combattaient sont morts, où  avons-nous pavillon haut ? Au Ciel ! Fortifiez-vous, fortifiez-vous plus encore, les gars ! Cramponez-vous bien ! Le chaume a un arrachement aisé ! Que Dieu bénisse l’indépendance de l’Afrique.  

*The Lord gives us freedom and says : possess the big united states of Konga. Cultivate it and keep it. Those who are outside, come back and let us eat together the nshima and meat also the grease leaves with aubergines. Happiness is ours!

52 United-States of Konga, let’s sing in one voice, one language, one nation: the ‘Konga. Let’s carry the surnames of ours asleep ancestors. Sqetch a little dance for the Lord; glory, glory, glory be to the Lord king of the armies; all kind of drums. All the nations are yours.

Makes us glad for as many days as you have afflicted us, for as many years as we have seen troubles. May your deeds be shown to your servants, your splendor to the children. May the favor of the Lord our God rest upon us; establish the work of our hands for us-yes establish the work of our hands (Ps 90, 15-17) Amen! Freedom-work- allocentrism (solidarity) Kamulangu! What a great nation! Solidarity !

 

Toutes les nations de la planète diront ce slogan après leur hymne national. L’hymne s’entonnera au sport du pape et les drapeaux du vainqueur et de son suivant se hisseront dans le ciel. Elles diront ainsi (sans comprendre) quelques mots de la première langue de l'humanité. (Une nation! une voix! (bis) l'Amour! Dans sa liberté, chacun dira: diheshangana (libéralité) ; ditalala! (paix), dîku! (foyer, famille), disanka! (joie), di-unvwangana! (entente), naka! (nu, liberté), tshanana! (pas de problème), didilumbulwila (juge toi toi-même), mwoyio (bonjour, cordialité), bumwe! (unité), buuntu! (humanité), bulela! (fraternité abnégation) buwetu! (allocentrisme) dishilangana! (tolérance, différence), ditangilangana !(visite), ditwangana ! (réunion), disekelelangana ! (salutation), divulangana ! (se multiplier par le mariage), divulukangana ! (grégarisme ), di-ambulwishangana! (Es. 35, 4) ou dikwatishangana! (entr'aide ou solidarité), dimagangana! (connaissance mutuelle), di-abagangana! (altruisme).... Munu umwe kabatu bawuhanda bihesa (un doigt est indivisible, restons unis !)… Adaptez vos airs sur mes paroles…

 L’appel à la composition est lancé à tout citoyen. Le peuple sélectionnera dans un concours inter-Etats. J’exhorte tous les ‘kongae, Kabangu et Kalambayi de nous concocter une musique convaincante, mélodieuse et séculaire. L’hymne national interpelle nos ‘kongae de la diaspora de venir travailler particulièrement dans l’enseignement et la police (communes, office des étrangers, banques…).

 

                                                                                                     KADIMI  II

                                                                                         Chef des états-unis (grand Etat fédératif) de ‘Konga : Empereur

                                                                                                                                                                                                                 DIFUUNA

Gbakosu tsheleka kunhala kwa TAAWU nei Ditunga Dinene Didishikaminae Dya ‘Konga, Kulonda TSHIMAMWENDAWAMEYIYADITUNGA ni kudilwila mu dîna dya Yaeishwamashiyamulaaba. EEYOHWAH.

SERMENT

Je jure devant le Père éternel et l’immense nation kongae souveraine, suivre la Constitution nationale et défendre mon pays au nom de Jésus-Christ. Qu’il en soit ainsi !

 

A 20 ans commenceront les études supérieures et universitaires pour les uns, la carrière militaire et autres carrières pour les autres (nous aurons des soldats capables de lire une boussole…). Les meilleurs étudiants (70%, au pays ou à l'étranger) bénéficieront d'une bourse d'études. Trois langues seront obligatoires, de la crèche-maternelle à l'université: le ‘konga, le français et l'anglais en cycle préparatoire. Nous apprendrons tout en  ‘konga : buluba bwadehote (sport), -bwamatumba (géographie), -bwakale (histoire, di-ashila, gvulukiji), -bwamakumi (mathématiques), falansee (français), inglish (anglais), … Les deux dernières langues sont parlées en culture ou sport international (Sports Papaux ou pacifiques, Festivals des arts sportifs de la planète, Universiades…).

 

 Nul n'a été créé pour vivre pauvre. Dieu a donné à chacun – même à ceux qui ne l'aiment pas - des talents pour Le servir et servir la Nation.

Pour la gloire du sport et l'honneur de nos Equipes Nationales!...

Pour la réussite du DEMOCRYMPISME! ‘KONGA YOHWH !

"Je suis le meilleur de la Planète (nous sommes les meilleurs de la Terre)

Je peux le démontrer (nous pouvons le démontrer)

Mettez-moi à l'épreuve (mettez-nous à l'épreuve)"!

 

J'ai posé la question au ministre français de sport (ceux qui ont inventé la bêtise du ministère de sport au gouvernement. Ils ont réfléchi, ça n’existe plus) : "en quoi consiste votre rôle, vous vous occupez du sport de masse ou d'élite? "... Il s'est vu très embarrassé. Je viens de trouver du travail pour lui : payer les champions de l'année: 46 en athlétisme, 22 en football, 14 en handball, 12 en basket-ball, 12 en volley-ball, 1 par catégorie en sports de combat (Boxe, Lutte, Judo hommes: -60kg, -66kg, -73kg, -81kg; femmes: -48kg, -57kg, -63kg, -70kg, Haltérophilie...).

Le Ministère de la Culture et des Arts récompensera les médaillés des Sports papaux et autres compétitions planétaires et le Ministère de l'intérieur soutiendra... Le ministère de l’agriculture s’occupe de tout le monde, toute la planète doit se nourrir, le ministère de l’énergie s’occupe de toute la planète, on doit s’éclairer, ministères de l’Intérieur, des affaires étrangères, de la santé et autres… Ce sont des ministères gouvernementaux. Le sport s’occupe d’une minorité du peuple (ceux qui ont des talents et qui s’entraînent pour participer à des compétitions). Non, le Ministère des sports n’a pas de raison d’être au gouvernement, ou que le peuple me le confie sous le nom de Conseil Culturel du Sport National (ONG, école Mashiya des amis du sport).

Donnez-moi beaucoup d’argent (1k par habitant) afin que je puisse vous servir mieux : voyages, stages des sportifs, construction des infrastructures et leur entretien, mot inexistant dans nos dialectes. Mon père m’a dit quelque chose comme di-akaja, dilamakaja, dilama : garder opérationnel, toujours à neuf! KUNANUKIJA (mudilu, mashigi, mubidi…).

 Je surprendrais plus d’un si la loi acceptait ma proposition. J’ai pratiqué et enseigné les sports dont je parle ci-dessus. 

 Dieu nous a créé pour :

LIBERTE-TRAVAIL-ALLOCENTRISME ou slogan du DEMOCRYMPISME. Liberté, le peuple est roi. Travail : la bible dit : qui ne travaille pas, ne mange pas ; l’homme gagnera son pain à la sueur de son front. Allocentrisme par opposition à l’égocentrisme c’est penser à autrui, à tout le monde, la planète.

Le DEMOCRYMPISME est une hybridation de démocratie et d'olympisme ; de la démocratie : qui a quelque chose à dire (à faire) pour le bien de l’Etat ? De l'OLYMPISME de DE COUBERTIN, qui cherche l’excellence, au DEMOCRYMPISME de KADIMI (KAbeya-DIba MInzangi) qui cherche le plus-que-parfait (record de la planète).

La DEMOCRATIE est grecque (démoniaque, discorde), le DEMOCRYMPISME est ‘kongae (chrétien, paix, le Christ s’est déclaré fils de Dieu et Roi des Juifs).

De la démocratie naissent les présidents, la république... tout cela est dirigé par Satan qui crée la tricherie et toute mésentente...

 Un ex-président français disait: les nègres ne sont pas mûrs pour la Démocratie. Nous sommes capables de mieux que cela! La démocratie est dépassée. Actuellement c'est le DEMOCRYMPISME: politique sportive adaptée à l'art de vivre ensemble, dans le respect et une concurrence fraternelle et loyale. Pardon, Pain, Paix. Ceux qui vivent sont ceux qui luttent (Victor Hugo). Le combattant dit: luttons pour vivre ensemble. Que personne ne cherche son propre intérêt, mais celui d'autrui (1Cor. 10; 24). Chaque ville veut se montrer miroir de la nation.

   Remettons-nous en tête nos sentiments du 28 novembre 2011. J’ai entendu, au mois d’août, des membres de PPRD dire, après leur congrès : nous allons bien à leur congrès, mais nous savons intérieurement pour qui nous allons voter (Tshisekedi)…

 Léon lobic, tu étais toi-même candidat aux élections. Il est certain que tu n’as pas voté pour le candidat n°3 ; Prends ton courage à deux mains –ainsi parle l’Eternel- agis. Défends la nation qui t’a adopté. Oublie que Kabila est ton oncle. Il n’y a pas de honte d’être ‘kongae d’origine polonaise. La Bible dit : Simon fils de Jonas, Jean, fils de Zébédée, tel, fils de tel et non fils de tel et de telle. Je passe sous silence Béthuel, fils de Nachor et de Milca (Gn 24, 47)…

Le mandat de Kanambe, qui  dit s’appeler Jozef Kabila, a prit fin le 6 décembre 2011. La constitution dit : en l’absence du président, le président du sénat prend les choses en main. Nous avons un président illégitime légal et un président légitime illégal. Le chef de l’Etat n’est pas Kabila,  mais c’est mon fils, moi, votre prince de Likasi, votre prophète de la tranquillité, conseiller culturel en sport national, responsable des clubs nationaux. Ne m’appelez pas PDG, maître, patron, mais muneme Kadimikabufungi (dehote): baron, serviteur inutile (Lc 17, 10) et dévoué au sport en général et athlétisme en particulier de son empire, citoyen, esclave important, initiateur, richissime, vice-roi du peuple. Mon roi est… MWAEINAKONGA (peuple). Je suis le garant de la souveraineté, de la démocratie et du droit de l’homme (au-dessus de moi il y a Mashiya, le roi des rois, avocat des avocats, représenté par la constitution).

 

 

 

Chapître IV

 

Notre peuple,

 

LE PEUPLE ‘KONGAE ARRACHE LE POUVOIR.

 

 Uni par le sport ou respect et par l’Amour pour le démocrympisme. Rassemblement des frères et sœurs nègres. Parler notre langue, le ‘konga, n’est pas de la dictature mais plutôt de la droiture, l’unité, des Etats de droit (volonté de tout un peuple des BAFIIKAE, bakalaenga : bafika ou nègres civilisés et bafiike ou libres intègre). Quand on entend le lingala on ne dit rien mais quand on entend le ‘konga on dit tribalisme au lieu de dire UNITE AFRICAINE. Notre philosophie est noble. Naitubinga : nous aurons raison. Tshimamwendawabukalenga-tshikulu (Siège du Sénat) Tshisekedi _Mulumba. A inhumer à Kabeya-Kamwanga. Comme chaque citoyen du peuple de Dieu biblique (Pr 16, 12-13 ; Lc 22, 28-30 ; Gn 17, 6 ; Ps 2, 2 ; Dn 2, 21) est appelé « shefu » (homme, femme ou enfant),  Jésus, le roi des rois, est au-dessus de tous. Naitukokesha : un nègre a dit : « yes we can », oui, nous pouvons (nous réussirons). Le fils  aîné de l’auteur, le « MukwaMukendi-mwaeinaBilonda »’TITAE KADIMA-‘ZAMBA_KADIMI KA DEHOTE A BILONDA, conseillé par ‘titae Kabeya-Kagemesha Zaza _Kadima-‘Zamba a Bilonda, veille sur la sécurité sociale. il est vice-roi de la ‘Kongawankatshi, MWANAWATSHIDIKAWABUNFUMU, ‘TITAE WA BAKISHI BANKONGAWANKATSHI. Il est (prince de l’Etat comme son fils du même nom sur la couverture), chef de l’Etat, du royaume, - de la fédération, -traditionnel et des régions (malaoba) : chefs culturels, pour ne pas dire coutumiers ; ceux-ci nous ont livrés à Kabila. Baeina malaoba, bakulu ba buluba bwa bakishi, du peuple, le roi, ambassadeur du peuple, représentant des pionniers et vivants (bakishi ou adorateurs, esprit patriotique, autochtone, responsable, princier, existentiel, ontologique, originel, essentiel, aborigène…). « Le peuple d’abord » disait le grand Tshisekedi, c’est le roi. Le président (république) n’est pas, comme chez les français, le chef de l’Etat ; celui-ci est permanent, tandis que l’autre, comme le chef de gouvernement a un mandat. ‘Titae Kadima-‘Zamba_Kadimi ka dehote  est Chef de l’Etat autonome de ‘Kongawankatshi/Bilonda, de droit civique, garant de la souveraineté de l’Etat des Grands Lacs. Chef d’un peuple libre, paisible et transcendantal comme Mandela. Il paie ses impôts et perçoit les impôts des contribuables. Il est aidé par les « Baeinaebukalaenga » : chefs de cité, « tshimenga » (chefs provinciaux ou ex-gouverneurs de Kabila, maire, bourgmestre dont le pionnier est Mukendi ou Caïn, Gn 4, 16). Il est responsable de l’organisation des élections chancelières tous les sept ans. Je suis’TITAEmukulu, mukuluwabantitae, mulohwewabafikae : empereur d’Afrikae, « César chrétien », baron : muneme, mweinamudimu : serviteur-esclave qui a besoin de beaucoup de sous pour vous servir. A investir empereur par les 55 nouveaux Chefs d’Etats membres d’Afrique, (sceptre, Hb1, 8 ;  Ps. 72), le 12/25/2018, jour de la remise et reprise civilisées des chefs d’Etats (échange des drapeaux : l’ancien drapeau étatique contre le nouveau drapeau national : DI-ASHILA DYA’KONGA : Histoire des Etats-unis d’Afrique). Nous partageons le « ‘buji wa bakishi, wa bantitae (des pionniers) ». Le peuple revendique et s’empare du pouvoir ou désobéissance civique. Je ne suis pas père de la nation (dictature : vend son pays par corruption). Mais je suis « muneme KADIMI KA DEHOTE », petit cultivateur de sport, volontaire, important, garant de la souveraineté, de la démocratie et du droit de l’homme. Je suis représentant et responsable (mwenaebufungi) de la nation, gardien extérieur. Qui mets chacun dans la responsabilité de ses compétances.                                                                                              Naitu-obesha –tshimuna : nous gagnerons. L’Etat ‘kongae est la compétence du citoyen (du peuple, du roi : mukishi wa bakishi) à gérer les affaires non-gouvernementales sur le territoire ‘kongae. L’Etat donne des formations gratuites de gestion aux villageois. Il fait payer moins de taxes sur leurs travaux… L’Empereur se réunit avec les 55 vice-rois tous les 25 du mois à Lusambw, la capitale d’Afrique, pour manger le « ‘zoluwabakishi wa bantitae» et traîter les affaires nationales (rapports des Etats, sous direction collégiale : sans président). Renforcer ainsi la mentalité ou dimension de spiritualité, de maturité. Dya tshiswamunenae 25, chaque ‘TITAE fête chez lui au palais du peuple (‘zubuwabakishi) et perçoit k1 par habitant. Ils sont responsables des peuples souverains primaires et du code minier (former beaucoup d’ingénieurs de mines, des géologues…) ; chefs d’Etats en remplacement des présidents africains. L’unité africaine prend la place de l’union africaine. Une tribu, un père : Mashiya, une mère : Mwa-Mukendi EwuBilonda-Mutooka wa Bafiika (Afrika), une monnaie, un culte, une culture, une armée, une police, une carte d’identité, un passeport, une langue (‘konga), un seul Seigneur, Mashiya. On est chrétien ou laïc. Nous n’avons pas « des pays », pas de président, pas de république, mais des Etats, terres, régions, fédérations, royaumes (majimba)… Nous sommes un seul pays, un seul peuple, une seule nation, les Etats-Unis de ‘Konga..  « ETATS-UNIS DE ‘KONGA , ce que l’éminent professeur Mubenga Mwaeinenzalae (Théophile Obenga) dit « ETAT FEDERAL D’AFRIQUE »..Arrêtons de vivre sur le modèle français (république, président…)

 

 Les bakwa-Kalonji sont dans la police (internationale aussi) et l’administration pour lutter contre la corruption (respect du droit de l’homme). Personne ne sera identifié sous Joseph, Mohamed… (des prénoms abrutissant les nègres ; ce que j’appelle confondre la liberté et le libertinage).  Quand un citoyen commet une bourbe (vol, luxure…), le « mukalo » s’exclame : kenja ! ki buluba kayi abu : regardez-moi ça, quelle attitude perverse ! Au diable la pauvreté ! Celui qui dit : je fais cela pour mes enfants quand je mourai n’a pas d’allocentrisme. Il doit dire pour mon peuple, souverain primaire. La constitution est en voie de modification.

 Un trophée gagné au sport est à présenter au chef du peuple (de l'Assemblée), délégué du souverain. Souverain veut dire : au-dessus de nous, peuple, il n’y a que MASHIYA (sans intermédiaire). Ne l’entendez pas comme Mobutu ou Kabila : maître absolu, metteur en prison, tueur... Tous sous la loi ! Je suis au service du peuple par le sport. Je ne donne pas d’ordres, JE PROPOSE. Je ne prends pas le pouvoir, je SERS le pouvoir du peuple, par l’autorité reçue du Christ. Je suis l’empereur que Dieu n’a jamais créé (Trump). Dans chacun des 52 Etats et régions (malaoba), j’ai un « mufundangagi » ou procureur qui m’aide à faire la justice. Si vous m’appelez Kabeya, je dirai oui. Les anciens disaient : « Mukalenga wa bantu, bantu ba mukalenga, bukalenga gbwinhe kubudya nei bantu » : (le roi des habitants, les habitants du roi ; il est bon que le roi partage avec ses sujets)... Moi je dis : « Mukalaenga wa bakalaenga, bakalaenga ba mukalaenga (bourgmestre) ». Je suivrai une théorie militaire en Israël pour être votre gardien extérieur : gsentedi wa hambelu. Tshisekedi le père dit « le peuple d’abord » Gouvernement*ou gouverneur (*) j’ai lu en quelqu’endroit : gouvernement Kabila, quelle horreur ! Un chef d’Etat n’a pas de gouvernement. En 2011, le peuple a choisi Tshisekedi : vox populi, vox Dei. Il est Chancelier (Kanzler), comme on appelle le chef du gouvernement en Allemangne et en Autriche. Son rôle, à présent, est d’ouvrir les yeux  au peuple de se prendre en charge (le soulèvement royal). Nous élirons son fils mu Lu-ishi dya dikumi niitanu ‘kama makumi-abidi ne dikumi ne tshitemba (le 02/17/2019) au stade dont les places sont comptées. Le scrutin sera instantané. Mashiya aura donné au peuple (les opposants)  la souveraineté. L’évènement est arrivé  le 1/10/2019. Nous ne parlons plus des présidents depuis le 19/12/2016. Nous parlons de la remise et reprise civilisées des présidents en Afrique au profit des chefs des Etats. L'ancien chef d'Etat Kabila est remplacé par le nouveau vice-roi (le roi est le PEUPLE) 'Titae Kadima 'Zamba _Kadimi ka Dehote a Bilonda, vice-roi de 'Kongawankatski/Baeina Bilonda (ex RDC, ex Uganda, ex Rwanda et ex Burundi). Il va travailler avec le philosophe Gbanda-Zambo ko atumba son conseiller. Le peuple chrétien pardonne à Kabila, lui offre une Bible (Hb 10, 30) et le laisser entre les mains de Mashiya.  Le "Kanza ka 'fumu ou chancelier ou chef du gouvernement prêtera serment en 'konga, la langue du nègre et Kamerhe va interprêter en français.

Après mûre réflexion, nous, peuple : famille impériale ‘Konga-Bafiikae, annulons les élections présidentielles du 30 décembre 2018. Si Tshisekedi-Tshilombw se désiste en ne donnant pas au peuple le pouvoir, nous négocions avec le frère Tshangi-Kabamba  Mwadyanvita, né à Gandanjika comme ‘Tungamulongw, Mwaenabulongw, Kanza ka ‘fumu (chancelier, chef du gouvernement en ‘Kongawankatshi-Bilonda, l’homme du CHANGEMENT). L’auteur l’a entendu à son projet de société télévisé. Il prêtra serment pour sept ans renouvelable une fois,  le 2/16/2019 à Lusambw en ‘konga, anglais et français. Nous vivrons sous le régime chancelier. Nous ne voulons pas qu’on nous appelle peuple en voie de développement. Il n’y a pas de sentiments dans nos Etats mais des intérêts (économiques, industriels, donnant-donnant…). VIGILANCE !  PEUPLE ‘KONGAE Notre diaspora ‘kongae va, avec le Kaabadi ka Baeina ‘Konga (tribunal africain) va nous mettre Kabila (et la Kabilie) à sa place. Il n’est pas notre ennemi mais un citoyen comme un autre. Il va nous construire des écoles, des stades, des hôpitaux…Il va nous remettre les 25                                            milliards, environ, pour Honnorer (dignement) nos morts.  Il fera remis et reprise avec le vice-roi de Baeina Bilonda (ex RDC).

Je  voyais Tshisekedi_Mulumba, Gungi wa Mâyi wa Munkamba, homologue de Helmut Kohl en mars 1991 (quand Dieu m’a fait la promesse) pour un mandat de 5 ans : 2016-2021, renouvelable 2021-2026. Toujours en 1991, ma mère, Mwa-Kabeya Gbuyi wa Tshimanga-Mukadi, de son vivant, disait : le père, c’est l’homme qu’il nous faut. Il a fondé le MPR (Mouvement Populaire de la Révolution) avec Mobutu, mais il en est sorti pour nous ouvrir les yeux sur la démocratie. Comme Paul qui persécutait les chrétiens et qui est devenu l’apôtre des païens. Ce que les anglais appellent premier ministre, d’autres… secrétaire général, je crois. Tshisekedi _Mulumba est le personnage le plus populaire de la ‘Kongawankatshi depuis 1991. Gbagbo voulu par le peuple ou Kanza-ka-‘fumu à Bakwa ‘Zevu (ex-Côte d’Ivoire), comme Odinga, élu du peuple, chez les Bakwa Mwembya (ex-Kenya) parlera ‘konga. Joseph, israélite,  est devenu premier ministre en Egypte sans vote (Gn 41, 41). Elio di Rupo, italien, est Chef du gouvernement belge, sans vote ; Castro de Cuba est un autre exemple... L’empereur est élu par Dieu (Rom. 13). Nul n’est au-dessus de l’autre, chaque citoyen s’appelle « mukalenga » : libre, digne de respect, paye ses impôts comme tout le monde. Tout le monde est sous le coup de la CONSTITUTION* (*) tshimamwenda wa mêyi ya ditunga, qui est appelée, sous Kabila : charte de l’occupation. Elle est à modifier. Etant chrétien dans un pays chrétien, je déconseille certaines perversions : je souhaite une bonne gestion de la chose publique basée sur la Bible ; pas d’assassinat, pas d’arrestations arbitraires, pas de vol, pas de viol, pas de prostitution, pas d’adultère, pas de pornographie, pas de chômage, pas de locataire, pas de prisonnier sans jugement, pas de pension ; à part le vin, pas d’alcool, pas d’ivrognerie, pas de tapages nocturnes, pas de bagarres, pas de violence, pas de terrorisme (CPI), pas de luttes linguistiques, pas de bénévolat (ne pas confondre avec la charité ; on a le droit de réclamer son salaire : une grand’mère qui garde un bébé mérite une récompense), pas de favoritisme,, pas de paternalisme (nous défrayons toute aide reçue), pas de faim (les réfectoires s’ouvrent de 15h à 16h), pas de thésaurisation, pas de capitalisme, pas de riches, pas de pauvres, pas de prénoms des blancs, pas de bidonville, pas de pauvreté, pas de mendicité, pas de haillon, pas de misère, pas de réfugié à l’extérieur, pas de plagiat, pas de piraterie, pas de chars pour intimider le peuple, pas de détournement de fonds, pas de corruption, pas de mafia, pas d’impunité, pas d’exclusion, pas de présidentiel, pas d’opposition, pas de transition, pas de partis politiques, pas de majorité présidentielle, pas de dictature, pas de république, pas d’iniquité, pas d’ignominie, pas de francophonie (Mushikiwabo), pas de religion dans l’horaire de cours, nous étions esclaves, pas de catholicisme, pas d’islamisme, pas de brahnamisme, pas de jéhovisme, ce ne sont pas des croyances nègres, mais de nos oppresseurs, les blancs ; pas de guerres de religion, pas de jeux de hasard, pas d’échange de salive en public, pas de divorce, sauf… (Mt 19, 9), pas d’enfants abandonnés, pas de kifumpa (ballon en chiffons, meilleur moyen pour ne jamais gagner au sport de la planète), pas d’anarchie, pas d’élection de miss (respect du corps de la nègresse), pas de port d’arme, même pas par le « musheshae » (police, ghulushi : garants de la paix et non force de l’ordre), sauf l’armée pour défendre le peuple, maître du pouvoir, pas de monarchie absolue mais tempérée ou Constitutionnelle… mais l’Amour. Tshisekedi kena mwa kudya bukalenga kayi mutulambula,  twêtu bakwa-Mukendi, ba bantite mu dîna dya Mashiya. (*) Tshisekedi nous doit un tribut, nous les  ayants droit ancestraux au nom du Christ. Je me voyais négocier, après le mandat de Tshisekedi, avec celui qui parle ma langue (‘konga), puis un autre ‘kongae… Il apprendra le konga. Un point de la constitution va les mettre en garde : à la moindre félonnerie, ils écoperont de 52 ans de prison, de travail national. Qui corrompt ou se fait corrompre est un danger à notre société (reclusion à perpétuité). Si Dieu le veut, ma priorité est la jeunesse : l’instruction et le sport. 

  Je demande à Dieu de régner sur la ‘Konga en vous servant bien dans les arts (martiaux, picturaux, dramatiques, sportifs, la jeunesse…). Nous allons nous amuser. Nous vivrons, comme chez nos ancêtres : sans président, sans opposants (avec Tshangi, l’homme du changement tant attendu). Ne singeons pas les blancs.   

  En ‘Konga, comme dans la bible, on prend la nationalité du père. Monsieur Léon Lobic, d’origine polonaise ou son remplaçant (qu’il apprenne la langue ‘kongae), met en place une nouvelle juridiction (cour suprême de la justice). Celle-ci est composée de personnes intègres : dépourvues de médiocrité et de légèreté (mettre en valeur les connaissances acquises à l’université, de préférence une cour constitutionnelle). Ou plutôt nous supprimons le ministère de la justice, car Jésus est seul juge. John Numbi a tué Chebeya. Nous lui avons intenté un procès. Au lieu de l’entendre comme accusé, nos juges l’ont entendu comme témoin. Les faits sont clairs : la veuve nous a dit qu’elle a vu son mari aller répondre à la convocation du commandant de police, puis elle n’a plus revu son chéri que mort. Qui est responsable de ce décès ? … Mashiya, le lion de la tribu de Juda, pour les riches et pour les pauvres établira la paix.

 

 Fustigeons les trois bandits (malfaiteurs dangereux, dans mon dictionnaire). Les avocats viendront avec leurs procès-verbaux… C’est Jésus qui, par la bouche du peuple, juge l’étranger Evariste Boshab (Bushi-abu), pour avoir accepté la candidature de l’étranger Kanambe (il dira sa vraie identité au tribunal), l’étranger et pasteur Ngoyi Mulunda pour avoir travesti les élections présidentielles (2011) et législatives et l’étranger « Joseph Kabila Kanambe » pour avoir joué au dictateur, non assistance à personnes en danger à l’est du pays et haute trahison nationale. Ceux qui ont travaillé à la solde de la communauté internationale, de l’union européenne. Ce sont de mauvaises personnes qui se trouvaient au mauvais endroit, au mauvais moment. Pardonnons-leur, nous sommes chrétiens. A Dieu la vengeance. Nous avons appris, en pédagogie, qui aime bien châtie bien (Héb. 12, 6). Infligeons les con-golais qui ont oublié la récompense que Tshisekedi a promise (je revendique la récompense) à quiconque lui ramèra le bandit pieds et poingts liés. Fustigeons ceux qui ont dit : élection en 2016, Sisa bidimbu, Raïs, Kabila fils, président, son excellence, Kabila Kabange, au lieu de Kanambe. Disons mieux : l’individu qui a corrigé le hasard. Fustigeon le PPRD, la majorité présidentielle qui tue et  laisse tuer son Etat, les autres bandits ou vrais méchants… La liste de ceux qui n’aiment pas la paix, qui manquent l’esprit sportif (le respect) n’est pas exhaustive : Mende, Atundu, Gizenga, Mashini, Singa-udju, Ngoiemulunda, Gbusagyamwisi, Fkl Tshamala, F Kalombo, Bababaswe, Mugalu, Kasamba (pas Kassamba), Luhaka, Madimba, Kamitatu, Mashala, R. Tshibanda, F. Muamba (Mwamba selon la bonne orthographe ou Mu-amba), Katebi, Kalev, R. Kazadi, Mukoko, KK Mulumba, Lobich, Minaku,  Vundwawe, Kamerhe, Kambay, Badibangi, Mozito, Matata et son gouvernement (l’ancien et le nouveau), ANR, Sekana, Lumbala, Kyungu, Katumbi, Monsengwo et ses évêques, Mukuna, Goyikasanji, les autres gouverneurs, J. Numbi, Makenga, Esobe, Saï saï, Kundabatware, Museveni, G.M. Malik Kijeje, Wetchi, Damas, Moustapha, Obed Bivengati, Masunzu Pacifique, Charigonda, Col Birori, Gamani, Mungura, Rugavi. L.G. Olenga, L.G. Etumba. G.M. Amisi. G.M. Mbala G. Br. Yav J.C., Delph. Kayimbi, Zoé et Janette "Kabila", Karenzi, D. Rugwiza, S. Nyarhuanda* (*) recherches de Gwanda Nzambo ko Atumba, Bizima Kahara, J. Nakabuka, M. Nyarugabo, Bisengimana, Tamba, Kisombe, Ruberwa, Kabarebe, Nyarwanda, Rubwiza, Mwasuzu, Mbalamuses, Kagyama, Malumalu,  Kimbuta, Kabasele Tsh., Malutshi, Metela, Vunabandi, JPMutamba et les autres ambassadeurs, sénat, parlement,  députés, gouvernement, cour suprême de la justice, police, Ka-gamé, son M23 et tous les soldats (rdc, uganda, rwanda et burundi), Kofi, Werra, JBGhyana, Wemba, Kalambayi, Tshalamwana, Amisi, Omari, Banza, Kabulo et les autres journalistes, les léopards pour trahison et rigolade pendant que nous pleurions nos morts de l’est, ainsi que ceux qui ont dit : oui oui chef Kabila, écrase-nous, Dieu le permet. Ils aiment plus l’argent que leur liberté. Servir Kabila c’est servir le diable. Ils savent où se trouvent Chebeya, Bazana, Tungulu, Sadala, Lukusa, Katumba, Muloto, Mamadou… Ce n’est pas un emprisonnement correctionnel, mais amigo-fraternel. Nous les soumettons aux travaux d’intérêt national. En rétention (dans la ville de leur choix à commencer par Lusambw). Après s’être servis, ils serviront le peuple. Ils financeront la construction des autoroutes, de belles piscines, des universités, des écoles (dikola dya Kabila : école de Kabila etc.), des églises subventionnées, de beaux stades avec pistes en matière synthétique et autres infrastructures sportives avec gradins* (*) Dans son premier discours, « Joseph Kabila » a promis, au peuple, la construction des stades. De quoi se plaindrait-il à présent ?…de belles prisons (téléphones, internet, leur appartement ou futur local du geôlier, classe de konga…) qui porteront leurs noms. Ils nous ont perdu beaucoup de temps et de l’argent. La prison ferme sera le séjour de mauvais citoyens, assassins, clandestins, destructeurs de distributeurs de billets de banque… surtout pour les récalcitrants. Les représailles sont faites par notre police. Le jour où ils seront intégrés (parleront ‘konga), ils demanderont,  personnellement, (individuellement) la naturalisation.

   Si nous disons « Kabila dégage » nous lui arrachons un éclat de rire. Il a hérité de la situation critique du moment. Il n’est que l’arbre qui cache la forêt (Belgique, France, Angleterre, Allemagne, USA, Canada, Afrique du sud…). C’est plutôt la communauté internationale qu’il faut convaincre et vaincre. Elle est née longtemps après nous. C’est une réapparition d’Eve qui a commencé le raisonnement, venu du diable : domination, vol, viol, porno…  

    Les chinois, avec nos architectes, nous construiront un grand aéroport à Tshihuka (une savane près de Tshilengei) et la nouvelle « gsesa », capitale à

 

 

(Lusambw de Lumumba et de mon père, ville du monde : université, les ambassades, centre sportif national et planétaire (international), buildings, si le sol le permet, métros, ‘JM nansha ‘Jila ya Mwinshi, trams, bus, taksi…). C’est, de la nation, le premier centre extra coutumier (1909), berceau de la Force Publique. C’est la capitale du Kasayi, de Baena Bilonda et de la ‘Konga (de l’Afrique). Léopoldville, puis Kinshasa capitale coloniale, d’envoûtement, d’esclavage et des dictatures est née en 1925 (importation du lingala au détriment du kikongo et du tshiluba). La statue de Lumumba, notre statue de la Liberté, a été érigée à Kinshasa par Mobutu pour se moquer du peuple sera transférée à Lusambow. Likasi sera la capitale provisoire, car les travaux prendront près de 6 ans. Suivons de bons exemples sur la planète : l’Allemagne parle allemand, les Etats-unis d’Amérique se sont mis d’accord pour parler anglais. En France : les alsaciens parlent français, à l’est. Les flamands, au nord, les normands, les bretons, à l’ouest, les basques, au sud, les corses parlent français. Les français d’outre-mer parlent français. Les dialectes ne sont pas oubliés. En Espagne, les basques, les catalans, les castillans, les andalous, les madrilènes parlent espagnol. Les chinois, les allemands… ont une unité linguistique, pourquoi pas chez nous, les premiers sur la terre (nombril de la planète Terre)?  

 Aux Etats-Unis d’Amérique on parle espagnol, anglais, venu des anglais. L’anglais vient du français et de l’allemand, l’allemand des Goths, le français du latin et du grec… Ils sont tous étrangers chez eux ; mais moi, nous, nous sommes chez nous depuis la création. Le ‘konga est la seule langue de la terre, les autres que nous entendons ne sont que des dialectes commencés après la tour de Babel. Evitons des supputations oiseuses. L’étranger (Kabila, la communauté internationale…) n’a pas à nous pousser à voter en 2016… L’étranger est une sorte d’esclave, il doit travailler pour notre économie.

 Au temps des belges et de Mobutu, nous avions, à tort, quatre langues dites nationales. Quel  leurre, quel mythe ! Le lingala est langue zaïroise (*) le lingalaphone se considérait plus zaïrois que moi).  Une femme disait à mon fils : tu es congolais et tu ne parles pas lingala, je ne te comprends pas. Mon fils lui répond : je ne suis ni congolais ni zaïrois, mais ‘kongae. Comme mon père, je n’ai jamais été zaïrois dans mon âme. Oublions le Zaïre et le Congo, Congo-Belge… que l’ex rwandais Kagame méprise. Nous mettrons sur pied le centre culturel ‘kongae. Le lingala est un dialecte de Kinshasa et de Mambenga (mélange du tshiluba et du français). Il a été forgé par les « yankee » de la Force Publique venus du sud de la République Centrafricaine (Bangui) et du Congo (Brazzaville) dont la langue officielle est le français. Il s’apprend dans la rue et au marché. C’était le dialecte du troc (plus tard… talo boni ? Combien ?). Les lingalaphones, réfugiés, commerçants, étaient attirés par la monnaie forte du belgisch congo. Mungala signifie membre d’une communauté lingalaphone, pas d’une tribu, riverain mercantile au fleuve Congo, de Boyoma à Malebo. Le mongo, le konda, le ngwandi, le mbuza et même le muluba parlent le lingala, même « rex rwandais et re congorais parre re ringara ». Le kinyarwanda-comme le kirundi  - est aussi un dialecte de la ‘Konga. Nos frères rwandais viennent du Nil (Ethiopie). Le zaïrois était celui qui, comme Mobutu, parlait le « frangala ». Nous avons parlé lingala par coercition, parlons notre langue, le ‘konga, par patriotisme. Soyons en fiers. Le kikongo, dialecte du nord de l’Angola, du sud-Congo. Les manianga, bandibu, bayombe, bantandu… parlent kikongo. Le kiswahili (tshisawidi), dialecte de l’est du pays (babangubangu, bakusu, bahemba…), viennent de l’extérieur. Le swahili de Lubumbashi et de la province du Katanga, vient du kasayi et de l’invasion arabe de l’est Africain (Tanzanie, Kenya) et du Kasayi (tshisawidi). Mukolu devenu mukulu, du Kenya mguu, bukadi, de ugali ; tshisawidi  (swahili). «Mishiende kuntu » : réponse à la question « uyaya kwenza tshigi kuntu-aku ? » .Que vas-tu faire à cet endroit ? -Je ne vais nulle part… Ces trois dialectes principaux s’apprennent dans la rue. Le tshilouba ou ‘konga s’apprend en famille (la première et plus belle langue de la planète Terre, Gn 11, 1). Nous n’entendrons jamais : le lingala, le kikongo, le swahili…  quelle belle langue ! Parce que ce sont des dialectes. Un vrai mungala, mukongo, muswahili, musanga (muyeke, muramba…), munyarwanda (mututsi, muhutu…) n’existe pas. Qui est étranger ??? –celui qui ne parle pas notre langue, le ‘konga. La langue de KADIMIKADEHOTE ou langue de nos ancêtres est notre langue nationale, impériale. Il nous apprend à l’écrire.

  Apprenons le ‘konga en famille, à l’école, à la poste (hostae), à la police, à l’armée, à la sécurité, à la société civile, à la commune, à la banque, au marché, au tribunal, dans la presse écrite, à la radio à la télévision, au cinéma (Cosby show, Prince du Bel-air, Arnold et Willy, un Prince à New-York, dessins animés… parlant konga)… A la prière c’est facultatif : Dieu entend toutes les langues. Les allemands apprennent l’allemand à l’école, les français, les anglais, les espagnols etc. font de même…. Mon père disait : « le tshilouba…ah ! Quelle belle langue !…riche. Vos arrières-grands-pères faisaient de même. Avouez que vous n’avez jamais entendu de pareils propos dans les trois dialectes principaux… Le tshiluba, familiale, est la seule langue de culture (qui garde sa culture : se connaître avant de connaître autrui, weto !... Mutwash, anciennement appelée tshikuna, danse du ventre et tremblement des derrières est la danse qui a coûté la décapitation de Jean Baptiste, Mc 6, 22). Tandis que les  dialectes : lingala, kikongo, swahili, qui ne sont, chez-nous, langues maternelles de personne. Elles  s’apprennent, comme je l’ai dit, dans la rue et au marcher. Le reggae, le dyaz ou jazz, le blues ont pour origine les bakwakalonji. En ‘Konga, tout ce qui n’est pas ‘konga (tshilouba écrit) est dialecte (étranger). Il est normal de parler la langue de la capitale (Lusambow). Nous avons appris le français, l’anglais… Qui peut le plus, dit-on, peut le moins. Les informations seront médiatisées en ‘konga, anglais et français ; trois langues de culture sur la planète.

  Après la décolonisation dont le chantre est notre Lumumba national (30/6/1960), non seulement nous sommes devenus une colonie américaine et européenne, sans souveraineté, nous avons été dirigés, pendant 52 ans, par trois « Joseph » (étrangers). Le premier (Chine) nous a fait parler le kikongo, le deuxième (Togo) le lingala, le troisième (Tanzanie) le swahili. Kabila Kadogo « Brutus » se cachait dans les valises de Mzee. Souffrez qu’à mon tour, je vous parle en ‘konga. Nous préparons notre empire et le retour du Christ. Nos pères : Galula Ghandanjila, Kalonji-Ditunga Mulohwe… ont crié : Konga Yowh ! Yowh!...  Celui qui ne parle pas ‘konga, notre langue officielle, doit se considérer comme étranger, même s’il descend d’un ‘kongae, c’est un apatride. Qu’il envoie ses enfants et ses petits-enfants à l’école. Il est plus facile à un ex-ugandais d’apprendre le ‘konga que le lingala (trop de français dedans). « Gfwalanse gfwalanse, fwalanse ki fwalanga !?» (Parler français ne donne pas l’argent). Ce n’est pas ma langue que je vous suggère, mais notre langue officielle : mu-akulu wa Bafikae (‘kongabantubafiikabakalaenga ou ‘konga; la langue bantoue, de Bafikae, d’Afrikae ; tout nègre est heureux de connaître sa langue, le dénominateur commun de la nation). Si tu es nègre, parle ‘konga, ta langue de nègre ; notre dénominateur commun. Nous avons parlé la langue du colonisateur parce que nous étions dans les ténèbres, maintenant que nous sommes chrétiens… Des afro-américains commencent à retourner sur leur terre d’origine pour s’impreigner de leur langue. Prions pour la ‘Konga, notre empire. La ‘Konga est le seul pays qui parle « sa » langue maternelle. Qui est étranger, ennemi vivant ??? – CELUI QUI NE PARLE PAS ‘KONGA recevra la carte d’identité d’étranger. Laissez votre progéniture aller l’apprendre à l’école. Oublions les 52 ans que nous avons passés avec les belges, les 52 autres avec les 3 Joseph. Parlons le ‘konga et l’anglais pendant les 20 premières années de notre « nouvelle ère » et ne parler que le ‘konga par la suite. La carte d’identité de l’étranger sera bilingue pendant les 20 premières années. Nous avons remarqué que jusqu’à présent, ceux qui ne parlent pas ‘konga sèment de la discorde dans le pays. Aussi vrai que nous disons dans nos prières : que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel, disons-le de même pour la langue. Celui qui ne parle pas ‘konga se dit humblement qu’il n’est pas chez lui et qu’il s’évertue à apprendre la langue. Le français du 17e siècle est légèrement différent de celui de nos jours, tandis que le ‘konga est le même depuis  la tour de Babel. « Twetu ki benabi »* : (*) c’est nous, la sommité.                                        

 Avant la colonisation, plus précisément, avant l’occupation des prédateurs (français, belges, allemands…) qui convoitaient nos biens, les bakwakalonji étaient déjà organisés en gouvernement. Lisez le livre de mon frère « Le système d’organisation du pouvoir coutumier chez les Bakwa-Kalonji », de Kabeya-Dîba Dya Mwanda (Honoré, de son nom d’esclave, obsolète ; licencié en droit de l’université de ‘Bujimâyi, bourgmestre de Tshilengei puis notaire à ‘Bujimâyi) ». (*) Imprimerie MEDIASPAUL-Kinshasa (RDC) www.mediaspaul.org 2002 « les premiers seront les derniers (en sport, de la création à aujourd’hui, le MUKALO réapparaît) ». Bonjour messieurs se dit de plusieurs manières, en ‘konga : Bakalenga miwoyio yenu, - betu abu, - angishayi, - sankayi, - kolayi, -twangilayi, ‘konga yowh  ‘konga wetu-awu !!...

 

 

Chapître V

 

Nos prédateurs (terroristes)

 

   Si l’ex sénégalais parle français, il a été colonisé par le français (esclavage), l’angolais du portugais ; et nous par un pays sans langue : la langue belge (suisse, autrichienne) est inexistante. Le belge nous a appris le français…pardon, son français : septante size, (soixante seize) nonantwit (98), il prend la fwite (fuite) ; ma cousine fait bien la kwisine (cuisine); depwi (depuis) Léopold II, jusqu’aujourd’hwi (jusqu’à aujourd’hui), touzensemble (tous ensemble), siwuplé pour s’il vous plait, je suis belsh, pour je suis belge, parti il y a kenjour (quinze jours) ; loui Louis pour lui Louis… Keskiveut swilà pour qu’est-ce qu’il veut celui-là.  Il nous a appris le français pour mieux nous piller (il n’y a que les perroquets qui le parlent bien). Il nous a peu appris mais il nous a tout pris. Il a essayé de déformer notre langue (tshiluba ou ‘konga) : il ne savait par écrire Kahuya, il a entendu et écrit Kapuya (Kahinga et non Kapinga, Kahyamba et non Kapiamba. Il voulait nous abrutir, car il disait, en tshisawudi : « kama weye hapana na mayele utakwenda na mashamba » : si tu n’es pas intelligent tu iras aux champs. C’est lui qui a créé des sots métiers chez-nous. Il nous cachait les beaux métiers comme agriculteur, fermier… Il nous a mis à l’idée que le travail des champs est un travail d’incultes. Il était loin de nous apprendre l’agronomie. Pour mesurer notre intelligence, il se limitait au calcul et au français. Ce qui enraye votre progrès, confirmait-il, c’est votre « nduguisme » (fraternité : compter sur les autres). Alors que l’altruisme, l’allocentrisme sont notre mode de vie d’après Mashiya, notre Dieu. Il riait en disant : la maman qui vend deux haricots se dit commerçante ; au lieu de nous apprendre la gestion… Il m’a dissuadé de vivre de l’organisation de mes compétitions d’athlétisme, je devais travailler pour les beaux yeux de Marie. Quand nous étions en « terminandis », 4e année des moniteurs à Kapolowe, le frère Gérard de la congrégation de Saint Gabriel nous disait : vous êtes des égoïstes : au lieu d’aller enseigner, vous voulez aller à l’université. 4 ans des moniteurs équivalent à 3 ans des humanités inférieures. Un évêque catholique belge disait aux élèves noirs : vous devez obéir aveuglément, sans broncher. Ils nous apprenaient à croire, pas à raisonner. Nous avions une troupe théâtrale des professeurs. Nos prédateurs nous disaient de jouer gratuitement parce que nous n’étions pas professionnels. Je pouvais vivre de mes « interscolaires, mes interuniversitaires » en sport. Quand j’étais très jeune, esclave d’un esclave, celui-ci m’a appris son hymne national où j’ai appris le mot « libre ». Dans  «Vers l’avenir » on parle de la Libre Belgique. Tout récemment, les belges ont dit à ma femme : vous étiez des sujets belges et non belges. Pas plus tard qu’hier, en 1955, les prêtres catholiques belges nous faisaient marcher pieds nus à l’internat de Kapolowe, près de Likasi. A l’école des moniteurs, l’esclave n’avait pas le droit de se chausser. Il n’y avait pas de latrines, nous faisions nos besoins dans la nature. Le blanc m’a appris à manger mon ‘shima avec des couverts (fourchette…). Un de mes pères, dépité, m’a dit : « mon enfant, le ‘shima est honoré quand il te rechauffe la main ». Il y avait à Lubumbashi, Elisabrthville pour les blancs, l’avenue limite sud, qui séparait les blancs des nègres.

  J’étais hospitalisé, victime d’une bilharziose. Le professeur belge de l’université de Lubumbashi envoya le stagiaire Dr. Kisula, me faire soigner à l’ASTIBAN. Quelques années plus tard, j’en ai parlé au stagiaire, devenu médecin. Celui-ci s’étonna de me voir en vie : ce produit a décimé des malades, vous êtes fort et vous avez de la chance. Ils ont appelé nos guérisseurs tradipraticiens féticheurs, sorciers. Nos chefs culturels ont été appelés chefs coutumiers, alors que c’est eux qui ont des coutumes (noël, œufs de Pâques, hallowin…).  Certes, nos amis belges, nous vous devons beaucoup mais pas tout. Le blanc nous a assez exploités, ça suffit. Nous arrêtons l’exode africain vers les pays des blancs. A l’heure où je couche ses lignes, nos enfants sont en train de se vendre en Lybie (14 novembre 2017). L’esclavage n’a-t-il pas été aboli en 1848 ?

  Prenons- pour dissuader la communauté internationale et d’autres prédateurs (Kanambe,   Michel…) - comme langue  o f f i c i e l l e, vernaculaire, jusque dans notre « bukenji » ou ambassade et nos « bukalaenga » : communes - le ‘konga, notre langue officielle des nègres d’origine - au lieu du français et l’anglais. Pourquoi nous, parler français ? Un citoyen pourrait avoir un mot à placer pour le bien de la nation, mais comme il ne connait pas le français… Parlons ‘konga. En d’autres termes, pour terroriser les terroristes (Kanambe, la communauté internationale…), parlons « ‘konga ». Ceci pour deux raisons dont chacune est suffisante seule : 1° cette langue est, depuis toujours, langue nationale,  2° elle est, de sa situation géographique, la seule langue intestine (sans infiltration étrangère, comme l’okapi (wokahi) n’est que chez nous) ; ce qui explique qu’elle a rayonné dans tout notre royaume de ‘kongawankatshi. Originaire du Kasayi, je suis né à Likasi (dans la province du Katanga wa maadi, Katanga ka mikuba) avec des rwandais… C’est notre patrimoine d’UNITE NATIONALE. La pluralité de dialectes est vestige du colonalisme. Qui peut le plus peut le moins : vous avez appris le français et l’anglais, parlez ’konga à présent.

 En parlant lingala, un policier a fait s’immoler un chauffeur de taxi à Lubumbashi. Il voulait lui extorquer sa recette du jour, le jeune homme a menacé de mettre le feu à la voiture. il avait un bidon d’essence. Le policier l’encourage en disant ; olingi nasalisa yo ? (tu veux que je t’aide ? Il lui présentait son briquet allumé)… La fatalité est arrivée. Le lingala tue le peuple. En ‘Konga, quand ils sont en patrouille, les policiers seront, par deux, identifiés sur leur pochette du côté du cœur et veilleront sur le peuple, leur roi, en parlant ‘konga, la langue officielle et africaine. Le citoyen a le droit de se plaindre aux instances supérieures en cas de harcellement des agents dits de l’ordre*. (*)Le policier reconduira à la frontière l’étranger dont le visa expirerait. John Dewey a dit: it’s more important to make feel someone himself important (tout le monde est important). Notre agent n’a pas pensé ainsi. Le policier ne donne pas d’ordre au citoyen, son roi, il lui parle avec déférence. Exemple : il ne dit pas : ne passe pas par ici, mais citoyen (mwan-etu) il est interdit de passer par ici s’il vous plait. « De l’agent de l’ordre à l’agent de paix. »

 Toute la planète, comme les usagers des dialectes susmentionnés, parle sa langue maternelle. Il n’y a que nous, les usagers du ‘konga, qui parlons, non seulement la langue maternelle, mais surtout « mwakulu wa kabukulu » ou « mwakulu wa badishikaminae » (la langue des indépendantistes) ou « mwakulu wa bangkambwa nei baataawu» : la langue des ancêtres, des pères, des anges, créée par Dieu lui-même : le patrimoine cultuel et culturel de communication. La langue des « baena bulaoba » (terriens). La langue du sport d’ici à 20 ans. Tout ce qu’on entend est dialectes appelés langues par extension. Elle sera terrienne comme au commencement de l’humanité. La Bible dit : au commencement il n’y avait qu’une langue… (je vous apprends  que cette langue est probablement le Tshiloba ou mwakulu wa habuloba ou la langue de la planète Terre ou tshikwakalonji ; mwakulu wa budishlkamigi (‘konga, la langue d’indépendance) (Gn 11, 1). Après la tour de Babel, elle est devenu tshiluba (troublé, rebelle aux prédateurs). Les premiers sont les derniers après une bonne léthargie. Kabaala, un des descendants de Nowa, l’a amené en ‘Kongabantubafiikaebakalaenga, aujourd’hui ‘konga parce qu’elle rassemble les beaux esprits ou peuple de Dieu (baena Mulengae, civilisé et libre). Ainsi, quiconque désirerait vivre chez nous (étudier, travailler, diffuser, acheter, vendre, faire de la politique…) doit s’intégrer, c'est-à-dire respecter la procédure connue des politiciens et parler le ‘konga (nationalité). Toute la politique sera en langue ‘kongae. Les enseignes, dans le commerce, seront en ‘konga… Nous utilisons le français comme si nous n’avions pas notre langue (c’est manquer de culture). Les secrets d’Etat seront bien gardés. La loi sera rédigée en ‘konga. Les blancs ont étouffé notre langue ‘kongae. Les allemands ne donnent pas aux étrangers la formation en « banque et assurances ». Nous enverrons notre jeunesse étudier à l’étranger pour créer des industries et éviter ainsi l’exode africain (elle meurt bêtement dans la Méditerranée).

  Je suis créé à l’image de Dieu (saint : vivant, bon, éternel, libre…). Il n’est pas dictateur, je ne le suis pas non plus. Je n’oblige personne à parler ma langue officielle ; apprenez toutes les langues de la planète, mais celui qui veut appartenir à ma patrie s’oblige lui-même à apprendre le ‘konga. Cela nous évitera la clandestinité, le travail non déclaré, l’autorisation aux bandits, comme Kanambe, de séjourner sur notre territoire. J’enjoinds, contre toute attente, l’usage de la langue ‘kongae à ma patrie. C’est la seule injonction que j’ai reçue de Dieu pour vous. Les puissants malfaiteurs Museveni, Kagame, Nkurunziza et Kabila, en accord avec la Cour Pénale Internationale, l’ONU et mon Bakishi, se repentiront et nous nous réconcilierons. Mashiya le Dieu de l’homme procèdera à un passage civilisé de pouvoir entre l’ancien et le nouveau chef de l’Etat. Je pardonne et oublie comme Dieu (Jér 31, 34). Nous leur pardonnons. Ce n’est pas leur faute. Satan, le dieu de la dictature, en est la cause (Mt 6, 9-13 ; Pr 16, 4 ; Gn 45, 5 ; Ecc. 3, 8-15). Nous aimons nos ennemis. Qu'ils parlent notre langue : le ‘konga, la langue officielle de l’empire ‘Konga... Ils demanderont leur naturalisation après leur servitude pénale de 52 ans (avec sursis). Je les ignore comme Mobutu. Dieu, comme la nouvelle constitution, s’occupera d’eux. Les demandeurs de naturalisation devront présenter au TSHIFUNDILU TSHYA BENGI (office des étrangers) un  « tshijadikilu tshya mu-akulu wa ‘konga » : certificat de connaissance de la langue ‘kongae (naturalisez-vous, vous ferez mieux). Alors… alors seulement ils pourront m’appeler cher COMPATRIOTE. Ils pourront enfin se faire inscrire ku ‘zubuwankongabantu, ‘zubuwabukalaenga (maison communale). Voilà la manière impériale de vous parler vertement et ouvertement. Qui parle ma langue est mon compatriote. Nous mangerons ensemble (Es. 65, 25 ; Mt 20, 15 ; Gn 2, 16-17).  Je ne veux la mort de personne. Un jour, j’ai vu, à la télévision, Kabila, Kagame et Museveni en cravate rouge, jaune et bleue (mes couleurs). Je me suis dit qu’ils voulaient vivre ensemble ; cela m’a encouragé d’écrire mon livre.

   Quiconque parle notre langue est des nôtres. Il obtient, à sa demande, la carte d’identité nationale (kakanda ou kaalàtà ka bukalaenga) ; il pourra, alors, être compté dans le recensement* (*) dibadikabungi (qui est qui ? Qui est ‘kongae, qui ne l’est pas ? Si, pour le recensement, la ‘Konga doit parler ‘konga, c’est Dieu qui l’a voulu ainsi. Ici le vote est exceptionel pour élire les rois (le parlement, le sénat, la cour suprême, le chancelier...) et les chefs des villes ou élections locales… comme en Belgique, en Angleterre…. En attendant, il se contente de sa carte de résidant (provisoire) et son numéro national.  S’il est adopté, il pourra bénéficier de son « mukanda wa bwengi » ou passeport (Bwengi, hashihôlw). Le visa ou tshitanhi pour l’étranger qui veut visiter notre pays. Si deux ‘kongae se rencontraient au Japon, quelle langue parleraient-ils ?...- la langue ‘kongae. J’avais beaucoup d’embarras quand, en Allemagne, on me demandait : quelle langue parlez-vous, chez-vous ? Vous étudiez en quelle langue à l’université ? (rédaction et défense de mémoire…). Vous êtes des esclaves. Celui qui a vécu en Allemagne, Espagne, France, Etats-Unis d’Amérique… comprendra facilement ces propos que Dieu m’a révélés.  ‘Konga est l’ancien jardin d’Eden (nombril de la planète Terre). Etes-vous français ? –oui, normand. Disons aussi : êtes-vous ‘kongae ? -oui, musakata… Nous sommes des Baeina ‘Konga (propriétaires, rois, natifs, ressortissants, souverains, originaires de  ‘Konga). Le lingalaphone, surtout lui, le kikongophone et le kiswahiliphone se complaisent à vivre dans l’esclavage blanc et dans les dictatures parce qu’ils sont étrangers chez-nous. Des gens mesquins disent : « mokili ya bato » (le pays d’autrui). NON « Mêmae gdi mwaeina ‘Konga » (*) la nation d’autrui, NON je suis citoyen de Konga je ne dépends pas de la communauté internationale).

  En effet, le vrai nom d’Adam est KADIMA-GZAMBA-NTONKU-KALONJI ou Kalugana-ka-dima, ka-lonji: bonhomme de dima, une terre noire, pour modelage, de baena Bilonda ou cultivateur sévère de la nature pour aller de l’avant (Ps 115, 16). Tous les juifs, même les juifs blancs le savent, demandez-leur. Kadima appelait tout le monde (sa femme, ses enfants…) mwan a Taawu : enfant de Dieu (Père) ; après le péché, il a accusé sa femme en disant Ewu Bilonda* : (*) celle-ci, la suiveuse (Ewa pour les arabes), plus tard, Mwa-bana : mère de tous les vivants Gn 3,20.

   Au XV°siècle, un étranger blanc du nom de Cao qui cherchait aventure demandait aux indigènes le nom de la contrée. Les indigènes lui ont dit ; nous sommes des bakongao (rassemblés). Je nomme, dit-il, toute l’étendue Congo (le C de son nom : Cao). Le jardin s’étendait d’Angola en Egypte. Frobenius, un ethnologue et archéologue allemand (blanc) a dit : «dans le Royaume du Congo (civilisé) une foule grouillante habillée chemise de soie et pantalon et veste de velours, de grands Etats bien ordonnés, et cela dans les moindres détails, des souverains puissants, des industries opulantes ». Pour ne pas nous appeler noirs, le blanc dit : hommes de couleur. Leurs yeux sont bleus, verts. Quand ils ont hontes ils rougissent ; quand ils ont peur, ils deviennent verts. Leurs cheveux sont parfois jaunes. Qui est homme de couleur ? Leur tendance séparatiste les a amenés à appeler pygmées les « bambote » nos frères et sœurs qui vivaient dans la forêt équatoriale. Ils ont tenté de nous détourner de notre Dieu véritable, scientifique et philosophique au détriment de leur crucifix (qui n’est vraiment pas Jésus). Les belges nous ont serinés Luc 6, 20-23 pour mieux nous piller. Ils nous appellent animistes alors que pour nous Dieu est Energie qui anime tout ce qui vit et tout : plante, oiseau, mammifère…

 Jusqu ‘au XVIII° siècle, les rois portugais se succédaient. Le tshiloba (tshikwakalonji) était en voie de disparition au XIX° siècle. Au XX° siècle, les blancs ont divisé les nègres : il y avait le Congo portugais, l’Angola ; Baena-‘KONGA, Etat indépendant de ‘Konga, Etat de droit, de bonne gouvernance devenu Congo-Belge, notre Etat, et le Congo français (Brazza, République Centrafricaine et Gabon ou Afrique équatoriale française)… Certains nègres, sans culture, appellent les belges « noko » (oncles), les bakwakalonji ontologiques les appellent « tweina mutshima » : de petits voleurs. Ils ont appelé chefs coutumiers nos chefs d’Etats. Ils ont jeté en prison le père d’un ami parce que, traité de sorcier, il s’était bariolé le visage et dansait pour ses jumeaux. Le roi des belges et le pape catholique disaient aux missionnaires : vous n’allez pas évangéliser car les nègres connaissent mieux que vous Dieu. Apportez-nous de l’or et du diamant. Le roi Léopold II coupait, par le truchement d’autres nègres, les mains aux récalcitrants : les bakwa-Kalonji (les juifs) parce qu’ils lui tenaient tête. Dorénavant on ne nous appellera plus sales nègres. Les prédateurs disent : « nous aimons le Congo, mais pas les congolais ». Nous aimons les étrangers, pas les prédateurs ; ceux-ci peuvent travailler en partenariat avec nous, privatisation, payer à nos prix, nos matières premières et payer leurs impôts comme tout le monde honnêtement. Bref, agir par la voie de la coopération …          

 Pendant 52 ans chez nous, le congolais était le wallon, le flamand était semi-congolais et nous, nègres, étions des indigènes (esclaves). Quand nous étions esclaves, l’épouse d’un nègre était appelée « femme », celle d’un blanc était « madame ». Le blanc ou mutokae était appelé mukalengae ou maître, homme libre. Le mot nègre prononcé par un blanc est péjoratif. Pour moi « nègres » signifie bafikae, Afrikae, noirs, black. Quelle honte ! Nous ne voulons plus être comptés parmi les pays du tiers monde. C'est un privilège d'être ‘KONGAE, riche, sportif, chrétien... Nous créerons des sites balnéaires…

 

 

Chapître VI

 

Nos origines

 

    Udi mwaeinangagi ? (quelle est ta nationalité, ton origine ?  D’où viens-tu ? Ressortissant de… ?) Gdi Mwaeina Buloaba, Mwaeina ‘Konga (souverain), tshyena muluba to… gdi wa Bakwa-Kalonji, Bakwa-Mukendi, Baeina-Bilonda, Baeina-Kabeya, Baeina-Kaginda Kagoka wa Kabaala (le grand-père du grand-père de mon grand-père), « MUKALO » (*) Les filles des baluba sont nos femmes. Abraham n’était pas juif, il était hébreu, leur ancêtre, comme nous sommes ancêtres des baluba. Weto !? –weto. Uya ku-akula ‘konga ? Ee kakesa.-Anu kina kakesa-aku kaakagi.  Maalu kayi ? Maalu binhe ; Udi mwaeina bufungi (dehote) kayi ?!  Quel sport pratiques-tu ? -Gdi mwaeina dyudo (judo). Unwanwa tshigi ? Kafee agi tshayi ? Que bois-tu ? Café ou thé ?... Kafee ?-Aen. Café ? - Oui. Mwanetu ! Ditela tunvwa (citoyen ! présente-toi) – Tshibemba-Mwaenaelonji Gandu Koloboyi Munkana wa Kaginda Makanhu. Mêmae ‘di Kabeya-Dîba Minzangi (kadimi) a Bilonda Kabeljaw MwenaeDehote-Mubenga-Bulandaneibuhika-Yisha-’Titaemukulu-Mukulu-wa-

Bantitae Lu-abagamakalenga-Mulohwewabafikae (autosuggestion. Ga 5, 1).

     En 1885, tout enfant du pays savait s’identifier de cette façon. Celui qui ne savait pas le faire était considéré comme étranger, barbare, apatride, inculte, donc « muhika » : esclave qui travaillait dans nos champs, gardait nos troupeaux de chèvres, cochons…  (enfant abandonné ou coopté comme ami).  Le mutetela, le musonge, le mumpende, le mukongo… kasayiens évolués parlaient tshiluba (‘konga).  Lumumba le parlait très bien avec mon père, son ami. Lumumba n’était pas un intellectuel (grade académique) mais il était très intelligent.  Mon père l’a beaucoup pleuré d’autant que le héros a été assassiné à 120 km de Likasi.

 Le colonialiste savait que le muluba était le seul qui avait la Culture. Quelqu'un disait : « ce sont des juifs qu’il faut exterminer comme Hitler a fait ». Le « mungalaphone » dit,  nani ? de ‘konga, gagi ? [nyanyi] : qui ? Du lingala Kosambela : kusambila en ‘konga (prier), kosomba, de kusumba : acheter ; bibundi de bimbundi : étoffe prête à confectionner ; bomoyi de mwoyio : vie ; kosikola mboka de kusukula ditunga : nettoyer le pays ; kofuta, de kufuta (payer) ; maboko, de maboku : bras ; loso, de losa : riz ; elamba, de tshilamba : habit ; kombo de lukombou : balaie ; moluba de muluba ; mokaba de mukaba : ceinture ; bololo de bululu : amer ; kolata de kulwata : s’habiller ; likelemba de tshinkudimba : tontine ; suki de gsuki : cheveux ; nzala de gzala : faim ; pili de ghidi : porter le deuil ; poto de ghutù, apocope de ghùtùlùkeshi ou Portugal (seul pays d’Europe que nous connaissions) ; pota de ghuta ou plaie ; maboke de mabuki : colis ; kolamba de kulamba : cuire ; kopesa, de kuhesha : donner ; koseka de kuseka : rire ; mabele de mabèèlae : mamelles, lait ; mino de mênu, dents ; miso mike (minene) de mêsu makesae (manenae) : les yeux ; mibeko de mibelu : réglements ; kobolokota de kubulukuta : croquer ; kobomba, de kudibomba : se cacher ; lelo de leelù : aujourd’hui ; kala de kalae : autrefois ; kopola, de kubola : mouiller, pourrir ; kokana de kukagina : menacer ; kokisa de kokesha : assume ; kokwanya de kukwanga, kukonga [kukonya] ou gratter ; kobatama de kubatama, kubutama (se cacher); kazaka, de kazaku, kwanga de tshikwanga ou chikwangue ; longonia de lunguga : félicitation ; lopango de luhangu ou parcelle, clôture ; puku de ghùku (souris) ; ngando, de gandù, crocodile ; mbata, de gbata (coup de poing), molangi de mulangi [mulanyi] : bouteille; molongo, de mulongow : file ; mutakala de butaka : nu ; mobulu de mubuluke : licencieux ; ntonga de gtonga : jeune pousse en aiguille ; sunga de gsunga : bonne odeur ; kanga porte, de kanga tshiibi : ferme la porte; bolozi, de buloji (sorcellerie) ; seleka, de tsheleka, serment ; musuni de musugai (viande) ; zoba, de gzoba (imbécile), mapa de manha : pains ; mbote de gbotae (tshomba nei kambela mukana mudi gbotae : le manioc et l'arachide dans la bouche c'est excellent) ; mukoloto de tshikolotou : signe, aux doigts, si l’enfant a mangé le ‘shima, témoin, signature ; lofundu de bufungi : défier, se vanter ; tosangana, de tusanganayi, rassemblons-nous ; lisanga de disanga : union ; nanu-te de kunanukija : apprêter, prêt, disposé à ; nungunungu de nunkununku : murmures, rumeurs (comme ça comme ça); kosepela de kusenhela : danser après la victoire d’un combat sportif ou la guerre, la danse du début est kufuuna ; ndambo de gdambu : peu ; Zakomba, ‘Zambe de Mikomba, Zakomba,‘Zambi : Dieu ; kosunga de kusungila, kusungidila ; sauver ; zigida de gjikita : parure intime de la femme ‘kongae ; dilala de didima ditalala (dya ‘zanzamina) : orange (citron), ditamba : branche, feuille ; « bazobenga yo na sango » vient de la tournure luba : badi bakubikila kudi munhela (le père t’appelle) ;  bapile biso (nous sommes vaincus) de tudi bahile [h se prononce comme dans Kahuya] ou nous sommes vaincus ; « bazalaki batu misatu na muluba moko » : il y avait trois personnes et un muluba ; « napesa mwana fufu na masango lokola bana ya baluba » (*) je donne à mon enfant la farine de maïs comme les baluba. En parlant dialectes (lingala, kikongo et swahili) il y a risqiue des mariages consanguins ou incestueux. C’est pourquoi, chez les baluba la question « qui est ton père » ne manque jamais avant le mariage. C’est ce qui explique l’existence d’enfants beaux et bons, intelligents et forts chez les baluba. Suivons l’autossuggestion des kasayiens ; ne disons pas seulement « demulu vantard » : bufungi. Nos ancêtres disaient avant Socrate : connais-toi toi-même : kazolodilumbulwila, baku-ela mutshi wawuhanda. Les femmes bakongo gardaient nos enfants (d’où est venu leur régime matrilinéaire). Ces enfants sont, comme moi, comme mes enfants et mes petits-enfants, « balela mu tshisuku » : nés en brousse ou nés en dehors du Kasayi, comme les étrangers non-initiés à la langue. Ils n’ont pas eu l’occasion d’apprendre la langue. Ils ne sont pas moins ‘kongae que nous. Leurs aïeux et ancêtres ont parlé ‘konga.  Vous, vous passerez, le ‘konga demeurera pour votre descendance. Au XXI ième siècle, la langue ‘kongae sera normale comme l’anglais aux Etats-Unis d’Amérique. Qui vivra verra !

 

Chapître VII

 

Notre culture

 

   Soyons éclectiques, ne perdons pas notre culture, marier nos filles vierges : gbujiwangima (Gn 2, 24 ; Gn 24, 53 ; Gn 34,11-12 ; Ex 22, 16 ; Jos 15, 18 ; Jge 1, 12-15 ; 1Roi 9, 16). Nous espérons obtenir d’elle plus de garçons que des filles (Ps. 112,2). Le garçon sera combattant, chasseur, pêcheur, éleveur… « bungi gbulobw » (le nombre constitue la force). La fille, appelée « tshintu » quittera la famille un jour. Elle deviendra bientôt Mwa-Kanhanda (mère de famille) Kanhanda wa Kanhanda (son père).  

 Les colonialistes, avec leurs centres extra-coutumiers, ont banalisé notre culture : « il suffit de passer à confesse et le tour est joué ». Une fille déflorée avant le mariage a pris les démons de son cavalier (de ses cavaliers): elle ne craint personne, même pas Dieu, elle déshonore son père et sa famille. Nos filles en âge nubile (fiancées) apprennent à se nouer décemment le pagne et la tête. Les hommes porteront le bubu et la chemise confectionnée en tissu africain. Le commerce extérieur n’importera que rarement des chemises connues. La cravate et le nœud papillon ne sont pas à importer. Le gzolouwabakishi (Ps 133) ou poulet traditionnel, repas des chefs de familles (aujourd’hui des chefs d’Etats en Christ), est consommé par les frères ou mâles du clan, des  pionniers. Nous l’appelons également : repas                                                                                d’action de grâce à MIKOMBAOUWAKALEOWGKAYENDAMUDIFUKE : Eternel, Esprit divin invisible, sorti du néant et qui s’est créé lui-même. Prenaient part, les  frères vivants et en mémoire de ceux qui sont en voyage ou déplacés (Likasi, Tshinsansa…). Les commensaux, chefs de famille, demandaient la grâce de bien gérér la famille. Le cérémonial se déroulait sous l’arbre séculaire nommé « gkambwa » qui représente notre grand’mère Ewu Bilonda (mère de tous les vivants). A ne pas confondre avec les mânes de nos oncles baluba.  « Gshima yenu goyeyi nei mugingi » : votre repas est servi. Gdi mukishi wa Bakishi : esprits purs, positifs, saints, vivants, êtres invisibles qui m’accompagnent, sous l’égide de l’Esprit-saint. Jésus est un mukishi venu pour nous donner la vie (1Cor.15, 45). Mon esprit est appelé parfois anges gardiens (Ps 91, 11 ; Gn 37, 16 ; Ps 22,23 ; Ec 9, 5 ; Hé 11, 4 ; Ap 22, 9).  Il y a une expression, chez nous : « kutuula bakishi » : se reposer, donner du repos aux bakishi : êtres vivants et invisibles qui nous accompagnent. Nous, les bakwa-Mukendi (pas tous les bakwa-Kalonji) bantite, parce que descendants et conseillers du premier chef de cité de l’humanité (Gn 4, 17, cultivateur comme son père) y apprenons la langue maternelle (notre mère Bafiika, Afrika), les épopées, l’histoire de la lignée. De nos morts, nous nous souvenons qu’ils ont participé à la cérémonie avant nous, ils ont utilisé la houe, mais nous voulons travailler au tracteur… Kaluganakadima dit Adam, qui n’avait pas d’ancêtres, ne faisait pas allusion à eux. Nous ne leur demandons rien, nous ne leur parlons pas, nous ne les invoquons pas, ce n’est pas parce qu’ils sont morts qu’ils deviennent mauvais (Nowa, Abram). Nous voulons faire mieux qu’eux et mourir en paix… Nous y apprenons la ponctualité. La cérémonie se passe à la « kajimba bwengi » : première heure de la nuit (19h), à cette heure précise, le maître de la cérémonie annonce : « balugana dibandishayi ! » : attributs mâles. On partage alors, le poulet des responsables… Par Jésus, ces pratiques ne sont pas tombées en désuétude, mais Il a dit : est ton frère celui qui croit en moi. L’homme (baptisé : plongé dans l’eau au nom de Mashiya) est à l’image même de Jésus-Christ. Avec lui les choses sont plus simplifiées. Nous prêchons la parole partout. L’Etat ne colloque plus les chrétiens qui évangélisent sur les places publiques. Comme équivalent du repas, les descendants chrétiens ont les agapes. Les allemands ont ce qu’ils appellent « Stammtisch » : table tribale (repas entre amis). Les mères et les filles n’étant pas conviées, elles sont étrangères à la lignée. Les enfants et les célibataires ne sont pas admis, ils sont improductifs. Ils consomment, le lendemain, le reste du repas (mulemba-tshihunhu). Nos ancêtres n’avaient pas de montres mais ils avaient l’heure (il est 18h quand les poules rentrent au poulailler).

 « L’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme » (Gn 2, 24) ; « tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain ; l’homme est le chef de la femme… ». La femme (maawu ou maamu) qui a de l’amour c’est celle qui ne « connaît » que son mari donné par son père qu’elle honorera jusqu’à la mort.  Dieu lui a donné la chance d’être pure. Si elle est distraite, elle court le risque de se faire objet de désir et de plaisir. Nous connaissons la mort à cause d’elle. Elle a raisonné et mangé le fruit défendu, elle a persuadé son mari. Chez les bakwakalonji la femme est une « tshintu » (Gn.2, 18 ; Gn3, 16. Col 3, 18) ; tshintuwamuntuwaMûuntu, épouse, soutien de l’homme de l’Eternel. Tshintuwetuwadisanka (joie), tshintuwetuwatshàbùntù (de ménage), tshintuwetuwabulela (de fraternité, solidarité), tshintuwetuwabakalaenga (civilisés, libres), tshintuwetuwadinanga (Dieu) tshintuwadyakalenga (Pr. 18, 22, si l’homme n’a pas ou plus l’argent ?…). Tshintu se traduit très mal en français ; mais entendez AIDE, servante (pas esclave), aide au bonheur, honorable dame (femme de valeur). Elle est considérée comme étrangère dans la famille. A l’âge nubile, elle appartiendra à une autre famille. Par opposition à tshintu (tout court, tshanana ou sans valeur) comme une femme divorcée ou prostituée. La veuve est tshintu wa bana mulongolongou (responsable des orphelins (digne de respect ; le deuil du père reste plus douloureux que celui de la mère, Jq 1, 27). Pour avoir plus de bonheur, nous demandons au Seigneur Mashiya de pemettre la polygamie afin de juguler la prostitution. J’ai le bonheur de trouver six femmes dans ma vie. Sans péjoration, la femme est un objet de soumission, objet d’amour, comme Dieu et de bonheur pour l’homme (procréation, manducation, culture…). L’homme est ‘fumu (seigneur) ou esclave de la famille. C’est l’homme qui aime (dot, loyer…) la femme se soumet et fait le bonheur de son mari. Les blancs nous ont appris à ne se marier qu’à une femme comme eux. Dieu n’a-t-il pas dit : croissez et multipliez-vous ? Les blancs inventent des vaccins de stérilité aux mâles de 5 ans. Les blancs parlent de l’égalité de sexe au travail ; propos purement diabolique. L’homme doit gagner plus parce qu’il fonde des familles.

L’égalité favoriserait des divorces et la surestimation de la femme. La femme baptisée peut propager la parole (Gal 3, 27-29) ; ce que le pape et monsieur l’abbé catholiques n’ont pas droit. Par opposition à « tshintutshamananga » ou objet de plaisir, la femme ou tshintu, n’a pas le droit de hausser le ton devant son homme. Si Dieu n’avait pas créé la femme, l’homme se serait reproduit par hermaphrodisme comme l’escargot ? Toute femme vue dans la rue est propriété, appartenance à son père ou de son mari. L’amour crée, la méchanceté détruit. Une propriété privée faite pour servir son chef. Le roi David a dit de Dieu : tshintu wa matumbu angi (Ps. 22, 26 ; 71, 6). Mêmae gdi tshintu wa bakishibabakwakalonji, kantu ka Mikomba (moi je suis le brave des bakwakalonji, petit sujet de Dieu, objet de ma confiance). En effet, sans nous, Dieu vit, mais sans Dieu, nous sommes perdus. La femme ne compte pas dans la démographie, dans la nationalité. Le père dit à son fils qui vient de se marier : tshintu tshyeba gtshyeba ; au petit frère : tshyetu kigtshyeba to (ce qui est à nous n’est pas à toi. La tshintu donne des descendances, mais le muntu donne des générations. La plus vieille est appelée « Gkambwa », (la mama chez les italiens) : mère de l’époux, elle connaît toute l’historique de la famille, honorable surtout après sa mort. L’épouse lui offre, de temps en temps, un poulet sous son arbre planté dans un coin de la parcelle. Le taawu ou père est un « tshibaeyibaeyi » ou papillon, il peut avoir d’autres enfants. Un mukwa-Mukendi ne peut pas se marier à une mukwa-Mukendi ; ce serait de l’inceste (rapport consanguin). La première fille doit porter le prénom de sa grand’mère : Kangkolongow-Minzangi wa Kabeya-Dîba son père pour l’honorer éternellement (Gomba wa Kahwadi, ‘Buuyi wa Tshimanga-Mukadi, ma mère, Tshibola wa Kantambwa, ma grand-mère, ‘Hunga wa Yilunga, ‘Belu wa Tshidibi). Ma femme n’a pas d’identité : elle m’a dit de l’appeler Henriette, souvenir du catholico-colonialisme (de l’esclavage). Sa mère ne lui a pas révélé le nom de son géniteur. La mère de ma petite-fille devient Inabanza Mwa-Kangkolongw Balaka wa Gongw, à jamais. Quand ma petite fille aura 8 ans je lui apprendrai à forger sa personnalité (fille de…).

 Si une jeune fille est en pagne, elle n’est plus à marier, elle est fiancée. Elle garde le nom de son père même après la mort de celui-ci (dans son intimité elle garde toujours le nom de son père). Dès qu’elle produit un enfant, elle devient Mwa-tel (le prénom de son enfant, c’est un titre qui répond à la parole de Dieu : soyez féconds, croissez et multipliez-vous : Inabanza Mwa-Kagyeba Galula wa Kaginda…). La mère des jumeaux s’appelle Mwa-Gbuyi (wa basatu pour la « triplejumeaux »)… Le géniteur devient Shambuyi. La première coépouse est appelée Mukalengamwadi, une femme âgée : Inabanza, baaba. Tous ces changements d’état civil font l’objet de passer à la commune pour renflouer les caisses de l’Etat (k20). La femme n’a pas la parole d’enseignement dans les assemblées, dans l’hyménée, dans la chancellerie. A part le droit à la vie, elle n’a que des devoirs (1Tm 2, 11-12) ; elle peut tout faire, sauf la chancellerie… Est réfractaire la femme qui lève la voix là-dessus (qui ne reconnait pas qu’elle est tshintu). Quand une femme meurt, on pleure peu. Ce n’est pas du phallocentrisme, mais c’est Dieu qui a fait de l’homme chef en le créant le premier. La reine est, chez nous, la femme du roi, elle ne règne pas.  « Tu es diacre et tu parles de gzolouwabakishi » me faisait remarquer un jeune muluba. Ma réponse est : chez-vous, les baluba, nos oncles, c’est une coutume… des païens (bya bantu, adresse aux ancêtres morts, du diable : tatuages (bihuhu, excision, noël). Chez nous, les bakalo ou baeina buloba, c’est une culture (maalu a kabukulu, Ps 133, des vivants, de Dieu). Nous nous réunissons entre mâles de la lignée afin de rendre grâce au Seigneur (Mikomba) qui nous a fait responsables de la procréation sur la planète. Pour nous, les morts ne sont pas morts, ils nous assistent mais nous ne leur parlons pas, ils dorment jusqu’à se réveiller un jour et nous trouver dans la lumière. Chacun donne, dans la vie, le meilleur de lui-même. A certaines occasions, nous consommions de la chèvre ou du chien (tshibelabelae). Notre culture est antérieure à la Bible, comme l’amour de la patrie. La dot, comme le gzolouwabakishi, est une culture (Bible) et non une coutume. Notre culture, tradition ou civilisation est basée sur le travail : mugi nei budimi bwebae ? –gbahetshi mashigi a budimi anu lelu (comment va ton travail ? –je ne viens que d’avoir mon tracteur aujourd’hui). Celui qui ne travaille pas est paresseux (il ne mange pas : il est pauvre). Celui qui travaille est normal ; celui qui ne travaille plus est riche. Pour que tout le monde vive heureux, nous faisons le « dituntshila » ou la tontine. Pour se divertir, nos pères avaient les « BIKASA » ou arts dramatiques du droit sacré (tragi-comédie). 

  Nos pères se mariaient à nos mères ; non pas pour leur beauté (bihuhu ou tatouages sur les joues) mais pour perpétuer la langue de nos mères, ancêtres. Nos enfants et nos petits-enfants apprendront le ‘konga en même temps que ceux qui ne le connaissent pas et diront qu’au début du XXI°siècle, il y avait plusieurs   dialectes… Nous ne sommes pas esclaves des français, pour parler leur langue. Les français disent allô au téléphone, les anglais disent hullo, les italiens « pronto », rex rwandais dit aro. Disons WETO ! (bienvenue, des nôtres). Nous serons francophones, et anglophone provisoirement ; mais nous serons, comme les allemands, les espagnols, les roumains… nous-mêmes (‘kongae). Nous parlerons « ‘konga » comme langue  nationale et officielle. Les étrangers vont nous respecter et nous allons nous respecter nous-mêmes. Nous répondrons volontiers aux jeux de la francophonie et de commonwelth. Que celui qui, comme mes enfants et mes petits enfants aujourd’hui, ne parle pas le ‘konga ne se fasse aucun souci : dans moins de 20 ans… Si tu ne parles pas ‘konga, tu n’es pas ‘kongae de souche ; naturalise-toi si tu veux. Il suffit de passer six mois au Kasayi pour se familiariser avec le ‘konga, la langue du nègre. Oui, ça ressemble à la dictature, mais loin de là : « chat échaudé craint l’eau froide ». Nous ne voulons pas être victime de l’invasion de petits morveux en bottes de jardinier qui prennent le pouvoir chez-nous… Nous serons un même peuple uni par le sport et tous les royaumes (Etats) seront « kong’phone » pour des siècles et des siècles. Moi-même je suis « learner » de la langue. Mieux vaut tard que jamais… C’est difficile aujourd’hui, mais pas impossible. Nous chanterons et danserons « Tshanga we tshanga tsha mwa Mulohw e tshidi ku-ela tsha taha mulubae qui signifie *Ntite Mukendi Kizito, Mémoire de la Poule, Collection Pérennité Bantou, Période du Moyen Âge : l’anathème du Seigneur frappe le muluba qui ne jubile pas en ce jour  de joie ». Comme en athlétisme, reculons pour mieux sauter. Amusons-nous par le sport. Avec Dieu, tout est possible, nous ferons des exploits. « Honore ton père et ta mère » se traduit, chez nous par : le premier né porte le prénom de son grand-père. Le deuxième fils porte le nom du père, le troisième garçon, celui du père de sa mère… Le respect du nom du père passe par le respect du mari. Ainsi quand la mère de famille effectue un voyage de commerce, elle ne connaît pas un autre homme sexuellement (Mobutu).

***

 Je propose, pour répandre la langue ‘kongae, lancer une chaîne de télévision, de radiodiffusion, de presse écrite, de banque, de passeport (hashhowl, kakandakabwengi), carte d’identité et monnaie unique…. Louer, acheter ou construire, dans toutes les villes du monde, un « Gzubuwankonga, bukenji, à part l’ambassade » (maison ‘kongae) où les ‘kongae se réunissent tous les dimanches de 10h à 22h. De 10h à 13h : culte ; de 13h à 15h : « akahae » ou agapes (manger du gshima et boire du tshibuku, malaamabwa ou vin de palme…) ; de 16h à 20h « bikasa » ou théâtres (arts dramatiques), contes, devinettes, proverbes, danses, chants…  20h à 22h des conférences, nos films de cinéma.  Les samedis à 15h, nous faisons des rencontres sportives interurbaines ou internationales… A 19h nous mettons le culte pour ceux qui aiment rester au lit le matin de dimanche. Dans la semaine, nous nous retrouvons au restaurant, au café, au centre culturel, dans le domaine ‘kongae pour l’élevage, cultiver le maïs, les bitekuteku, notre corps au fitness, dans les « salles de sport » ou sur la piste d’athlétisme… Du 31 mars au 30 septembre nous vivrons en Europe, à consommer le jus de nos oranges, nos ananas, de nos mangues…, le reste des mois… chez nous. Telle vit la Communauté ‘kongae. Nos aînés aiment nous parler en français. L’un d’eux m’a dit : tu es rêveur. Je lui retorque : « Victor Hugo a dit l’utopie est la réalité de demain ». Le rêveur n’est pas celui que l’on pense, lui dis-je, arrête de me parler en français. De 1964 à 1991, j’ai enseigné le français, les sciences-naturelles, le sport et l’entraînement d’athlétisme de 1966 à 2008 en français. Je veux apprendre ma langue, c’est tout. Il n’est pas interdit de rêver… Les plus grands architectes commencent par rêver. Parler français aux enfants c’est un complexe  des vieux chiatiques et le meilleur moyen de les empêcher de connaître NOTRE langue. C’est courir le risque de l’oublier. « Gkunda ya bangi ibobele nei matae » (les haricots de certaines gens ont été cuits avec la somme de salive : patience). Les belges disent : l’union fait la force. Ils disent : parlez français à votre journée kasayienne. Nos aînés parlent 99% de français au lieu de 70% et 30% de langue bantou ou ‘kongae. Si les belges veulent écouter ce qui se dit, ils n’ont qu’à porter des écouteurs de traduction.

 Un kongae très complexé obligeait ses enfants de ne parler que le français, un évolué doit parler français, comme nous ont appris les colons. Le tshiluba ou ’konga c’est bon pour les villageois, les « basenji », disait-il. Voilà ce que j’appelle fossoyeur de la langue ‘kongae. Parler ‘konga (tshiluba écrit) n’est pas du tribalisme, mais de l’unité des nègres. A-t-on jamais entendu aux USA des conflits entre Etats ? Devenons meilleurs qu’eux ! Quand nous étions enfants à Likasi, nous répondions à nos parents en dialecte du Katanga (tshisawudi) de peur de nous montrer villageois en parlant ‘konga (fossoyeurs nous-mêmes)…

 Trois sexagénaires kasayiens à qui j’ai demandé de critiquer mon livre (22 ans de labeur) avaient un avis qui n’est peut-être pas le vôtre : Le premier a dit : 1) Ton livre n’entre pas dans les collections publiables par « rayon de soleil ». (Il n’est pas l’éditeur, M. Rayon de soleil). 2) Ce livre n’a pas non plus d’acheteurs potentiels! Qui va l’acheter? Les congolais? Tu as vu que moi-même je distribue gratuitement! Les Européens? Non ils ont leurs experts en la matière. (Expert en athlétisme, j’ai été sélectionné, en RDC, pour bénéficier d’une bourse de perfectionnement en Allemagne ; ce n’est pas beaucoup ? Les blancs sont, pour lui, des dieux, le nègre ne peut pas être expert, j’appelle cela complexe d’infériorité, politique des crabes.). Je pense qu’il faut être réaliste. Quel enseignement tu peux donner aux belges avec ta vieille école ? –On peut faire du neuf avec du vieux (il s’est tu). Tu penses qu’en récoltant les fonds tu y arriveras? Et tu vendras comment? Conclusion: si tu réunis un montant, je peux cotiser comme tout le monde mais pas prendre en charge ton livre. Je ne suis pas e contact avec Nyembwe. Courage! Il a eu, au moins, la bonté de me répondre ; mais une quarantaine d’autres m’ont simplement méprisé. Le deuxième a dit comme l’autre : ne te fatigue pas. Ton livre t’amènera trop  loin (en prison ou en psychiatrie). Courage ! Le troisième, mon propre frère, dit : le tshiluba est une langue en voie de disparition. Remets-toi à tes dessins et à tes peintures au lieu de me faire croire à un taxibus qui fonce droit dans un mur avec ses clients. Courage grand frère ! Ils ne sont pas dignes de vivre dans mon empire… Ohé ! Kasayiens de la ‘Konga ! Laissez-moi vous exhorter d’importance. Soulevons-nous pacifiquement « Ditunga gdyetu ; tutwayi gdondo tunvwangana (le pays est à nous et pas aux méchants étrangers blancs, « décideurs ». Serrons- nous les coudes et entendons-nous) ».

 

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