Bonjour, nous sommes le 06/12/2024 et il est 04 h 40.





 

Dédicace

A mes parents MICHEL ONAYIMBI et MARIE HELENE AHONDO    pour  la tâche lourde qu’ils ont endurée à notre éducation, et avoir supporté nos caprices familiaux, transformés aujourd’hui en allégresse ;s

 

                            A PAPA MICHEL LOKOLA ELEMBA pour ses actes de générosité et de sacrifice a vers nous.

                           A ma chérie MALU YASILA JEANNETTE pour ses conseils et son assistance, a   mon cher fils ELIEZIER MICHEL DIMANDJA

 

Enfin a tous mes frères et Sœurs, qui ne cessent  de  mettre à notre disposition tous les moyens possibles, permettant à l’encadrement de nos études ;    

A vous tous, ce travail est le  fruit non seulement d’énormes sacrifices et de la motivation personnels, mais aussi de votre concours tant  financier que moral.   

 

 

 

Remerciements

 

Il nous sera impossible de remercier ici, tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, contribué à la réalisation de ce mémoire de licence  en sociologie. 

Néanmoins, nous ne pouvons passer sous silence certaines personnalités et institutions dont le concours a permis la matérialisation du présent ouvrage. Notre première marque de reconnaissance s’adresse au professeur Lubo Yambele, Directeur de ce travail, pour son encadrement, son implication inconditionné, ses pertinentes remarques et ses encouragements. Et, par la même occasion, nous présentons nos remerciements au C.T Tshimanga Mukadi Donat, rapporteur de ce travail, pour ses remarques et ses orientations qui ont contribué à l’achèvement en douceur de ce travail.

 Nous présentons notre profonde gratitude aux autorités de l’université de Kinshasa en général et particulièrement ceux de la Faculté des Sciences Sociales Administratives et Politiques, et singulièrement au département de Sociologie pour le cadre idéal à notre endroit.

Nos remerciements s’adressent de manière particulière au Papa ONAYIMBI MICHEL que son âme repose  et ma mère AHONDO Hélène pour les efforts consentis  pour notre éducation et notre bonheur, aujourd’hui les fruits de leur détermination son palpable.

  Nous remercions également Michel LOKOLA ELEMBA pour son amour, son sens de responsabilité et son œil regardant pour l’unité et la cohésion de la famille.  Qu’il trouve à travers ces lignes, la marque de notre profonde gratitude.

Nous adressons nos remerciements à tous nos frères et sœurs de la famille ONAYIMBI et de clans DOMULA  pour leurs soutiens tant morals que financier a notre endroit.

Que nos amis et camarades ENYEMBA Polydore, TSHISWAKA LUKADI Christian, TSHIBAMBA Joël, OKOKA OMBA, Hervé MATATA, Laurence TSHISULU, FIKONIA Bob, Victor RWAGASOR, Trésor KABONGO, Djimi MALU MASAMBA, Christelle MATADI, Eliane, Huguette BOSIVU, OFALY Francine, Laurianne KIAFU MASOKA, IYUBA BAMUME, jean KABITSWA, jean Paulin NDJONDJO , Depardieu élise MAFUTA Cathy AVIPINYO  madame rose BAYEMIKA , madame pauline MULENDA, madame Marthe KIMWILU, Fulbert  MUDINGI , Joël  MULUMBA ,Hugues MUSETA simplice bien aimer, Samuel LOBELA, Delphin MUHOZA ,Boto LOYINDA,  trouvent ici l’expression de notre sincère amitié.

Nous sommes très reconnaissants envers notre chérie  MALU YASILA Jeannette pour tout ce qu’elle a fait pour nous. Sans oublier notre cher fils ELIEZER MICHEL DIMANDJ. 

 

                                                           DIMANDJA ONAYIMBI

 


INTRODUCTION

 Etat de la question  

 

Tout chercheur est bénéficiaire conscient ou inconscient de travaux de ses prédécesseurs dans son domaine de recherche, il les analyse pour dégager la particularité à son étude en démontrant les éléments de différence entre son étude et celles de ses prédécesseurs afin de s’attacher aux perspectives encore inédites pour garantir l’originalité de sa recherche.[1]

 

On se tromperait si l’on affirmait que nous sommes le premier a traité la question relative aux métiers de survie à Kinshasa. Cette question est devenue un objet d’étude privilégie des sciences sociales. Et on ne compte plus aujourd’hui, les articles, les ouvrages et les colloques sur la question ; les efforts sont également manifestent sur le plan international et national en faveur de la population en situation de pauvreté. 

 

Ainsi, pour cette étude, dans le souci de nous conformer à l’exercice scientifique selon lequel le cherche est appelé à faire sortir l’originalité de son étude ; les travaux des auteurs ci-après ont retenu notre attention. Il s’agit entre autres des travaux :

 

LUBO YAMBELE1, dans son étude intitulée « Développement du territoire de Kabinda et stratégie de lutte conte la pauvreté en milieu rural ». Ce chercheur, qui est bien connu dans le domaine du développement et de la mondialisation à travers se nombreuse publications, démontre dans celle-ci que, l’approche de lutte contre la pauvreté dans sa forme actuelle prônée par le DSRP n’est ni plus ni moins une énième stratégie montrée par les occidentaux pour continuer leurs exploitations et qui n’a rien avoir avec les réalités sur le terrain. Il pense également que ce document (DSRP) est inadapté et, qu’il donne de la peine à s’appliquer surtout que son financement dépendra entièrement des bailleurs de fonds occidentaux qui ont une autre intelligence du concept du développement.

 

L’auteur énumère aussi les causes du sous-développement de milieux ruraux congolais. En bonne place le manque de politique de développement rural bien conçues et planifiées par le pouvoir public.

 

Cette étude est une porte ouverte au développement dans les milieux ruraux en général et dans le territoire de Kabinda en particulier. L’auteur démontre noir sur blanc les faiblesses de différents plans de développement initié par l’occident pour le compte de la RDC, en revanche, il propose les voies de sorties qui sont parfois irréalisable pour un Etat  économiquement faible comme la RDC.

 

Contrairement à cette étude, la notre tente d’analysée un phénomène nouvellement inscrit dans le……………………………..   

 

TSHISHIMBI KATUMUMONYI  dans une étude intitulée: « Travail des enfants et des jeunes dans la ville de Kinshasa : Regard sur la responsabilité de l’Etat dans la protection des mineurs vulnérables en République Démocratique du Congo »[2]. Attentif à l’évolution de la situation des jeunes en R.D.C en général et à Kinshasa en particulier, l’auteur s’ouvre dans une enquête de terrain dans trois communes de la ville de Kinshasa (Kinshasa compte 24 communes), il  met en exergue un certain nombre des textes des lois relatifs aux droits de l’enfant et de sa protection contre toute forme d’exploitation et d’avilissement de sa personne durant cette période (enfance) décisive.

 

Dans cette enquête, l’auteur démontre que la R.D.C fait partie des pays membres signataires de la convention de 1989 à New-York sur la protection et la sécurité de l’enfant. Par cette signature, il s’engageait non seulement à améliorer la situation de l’enfant et de jeune mais aussi à vivre les progrès réalisés par rapport à cette situation depuis son engagement jusqu’à la fin de la décennie 2000.

 

L’auteur constate avec regret que malgré l’abondance des textes légaux, réglementaires et les institutions qui ont pour mission de faire respecter le droit de l’enfant et sa protection, ce dernier demeure toujours vulnérable et est exposé à plusieurs formes de tortures et d’exploitations qui l’amènent à vendre sa force de travail en dépit de son jeune âge.

 

En ce qui concerne les résultats de cette enquête, l’auteur nous fait remarquer que certains enfants et jeunes sont effectivement engagés dans le réseau de travail productif. Mais, plusieurs d’entre eux travaillent à titre personnel pour satisfaire à leurs besoins vitaux et/ou contribuer à la survie de la famille. Ceux qui sont engagés chez certaines personnes, le font aussi pour les mêmes buts. La vie étant devenue intenable à Kinshasa, les parents sont dans l’incapacité de pourvoir aux besoins de leurs enfants, c’est pourquoi ces derniers entrent précocement dans la vie active pour survivre et aussi aider la famille.

 

Dans l’ensemble, constate l’auteur, le contrat est toujours verbal et se fait en dehors de contrôle de l’Etat (ministère du travail). Il est aussi curieux de constater que les institutions de la société civile (églises, les associations et les organisations non gouvernementales) qui s’occupent des droits et de la protection de l’enfant ne sont pas souvent informées de la situation réelle sur le terrain.

 

Comme remède, l’auteur propose l’implication réelle de l’Etat congolais et des différentes organisations non gouvernementales qui œuvrent dans le secteur des enfants; et interpelle les décideurs à faire respecter correctement la convention relative aux droits de l’enfant ratifié en 1989 à New-York. 

 

En ce qui nous concerne, nous reconnaissons l’effort de l’auteur dans cette étude ainsi que les pistes de solution qu’il propose. Cependant, l’étude est restée trop régalienne sans pour autant tenir compte de la faiblesse de l’Etat congolais dans l’application et l’exécution des lois surtout dans le secteur social.

 

Notre étude tente de dépasser ces limites en soulignant que la situation de travail des enfants et des jeunes dans la ville de Kinshasa ne s’explique pas seulement par l’absence ou par le non applicabilité de texte des lois, par contre, elle s’explique par la dégradante des conditions sociales des familles congolais en général et kinoise en particulier.

 

Pour KINKELA NSABI[3] dans une étude intitulée « économique sociale et lutte contre la pauvreté en République Démocratique du Congo : regard sur les tontines à caractère  de mutualité de Kinshasa»,  pense que la lutte contre la pauvreté fait partie des préoccupations des Organisations Internationale, plus précisément des nations Unies (ONU) et ses branches spécialisées la banque Mondiale et les autres institutions qui promettent de réduire la pauvreté à une proportion remarquable (50%) d’ici l’année 2015.

 

L’étude démontre la pauvreté telle que présentée par plusieurs auteurs et par les organisations internationales à une connotation très limitée et très réductrice, renvoie à une conception matérialiste, capitaliste et même économiste de la gestion. La pauvreté dans ce sens traduit une situation de manque, des biens matériels susceptibles de satisfaire les besoins matériels d’une personne ou d’une nation, en ce sens, toutes les autres formes de la pauvreté n’existent pas.

 

 L'auteur avait mit l'accent aussi sur  les différentes causes de la pauvreté, dont il a évoquées plusieurs raisons : notamment la mauvaise gouvernance des nations concernées, l’absence de la démocratie, les pénuries et la faim, etc. peu nombreuses sont des organisations internationales qui évoquent des raisons liées à la manière dont les relations économiques  par l’entremise du marché internationaux et des rapports de la dépendance entretenue entre les pays du Nord et ceux du Sud en constituent la cause déterminante.

 

TSHISHIMBI K.E[4]., dans son article intitule : « la pauvreté en République Démocratique du Congo causes et remède », il souligne la multitude de définition du concept pauvreté, il analyse les causes et propose des voies de sortie. Ainsi, parmi les causes, ce chercheur retient : la modicité et l’irrégularité du salaire, l’exode rural, la négligence et ou l’abandon des plans régionaux de développement, les contraintes des institutions de breton Wood, mauvaise gestion des ressources disponibles. Comme remède, TSHISHIMBI K.E. propose le mécanisme d’arrêt de l’exode rural, l’amélioration des salaires, la redéfinition des objectifs des institutions de breton Woods.

 

En ce qui nous concerne, nous reconnaissons l’effort de l’auteur dans l’étude des causes de la pauvreté ainsi que les pistes de solutions qu’il propose. Cependant, l’étude est restée trop générale et embrasse les causes de la pauvreté à travers toute la République Démocratique du Congo alors qu’il y a de spécificité pour chaque palatin.

Notre étude analyse le phénomène de manucure ambulant qui est l’un des indicateurs de la pauvreté à Kinshasa en général et dans la commune de la n’sele particulier.

 

Toujours dans la recherche de solutions à la question sociale, SHOMBA KINYAMBA et All[5] dans un ouvrage intituler « mutation du secteur informel en économie sociale » soulignent que le secteur informel constitue, en ce jour une illustration unique en tant que mécanisme de résistance à la crise multiforme qui secoue les catégories sociales défavorisées et qu’en perspective, il n’en constitue pas moins un atout important sur lequel peut s’appuyer toute action efficace de développement communautaire dans le cadre de stratégie pour la réduction de la pauvreté (DSCRP).

 

L’observation panoramique des ses activités menée au Congo depuis belle lurette force de reconnaitre que le secteur informel émerge comme une réponse populaire des démunies face à la crise socio-économique. De ce fait, le contexte actuel de crise financière mondiale appelle un recadrage des efforts sur le secteur informel en tant que mécanisme de résistance à la crise précité.

 

L’étude précitée met l’accent sur la mutation du secteur informel en économie sociale et sur son développement, sans pour autant démontrer clairement ce changement et ces différents problèmes y a ferrant.  Notre étude prétend compléter ces lacunes.

 

Dans le même ordre d’idée, DE VILLER et all ont dans un ouvrage intitule : « manière de vivre, économie de la débrouille », chercher d’obtenir auprès des acteurs de secteur informel, l’appréciation éthique et pratique des activités informelle, il s’agit d’illustrer à travers les textes réunis, le développement de secteur informel au Congo-Zaïre en tant réponse d’une population livrée à elle même et paupériser à une situation de crise générale liée à la déliquescence de l Etat et à la dépravation de pouvoir  bref les auteurs ont voulu connaitre  auprès des enquêtés le développement de secteur informel  qui est selon eux la réponse face a la crise

S’agissant de notre étude, cette dernière se démarque de celle précitée par fait qu’elle aborde un phénomène qui est l’un des manifestations du secteur informel.

 

MBAYA MUDIMBE et FRIEDHELM STEIFFELER ont dans un ouvrage intitule « secteur informel au Congo Kinshasa, stratégie pour un développement endogène », ils démontrent que le secteur informel congolais est populaire, il est le lien à la fois de refuge des couche sociales déshéritées aux activités précapitaliste; de petite moyennes et grandes production marchande d’accusation du capital à grande échelle plutôt spéculative que productive localement[6].

 

L’étude analyse la crise que connait notre la République Démocratique du Congo aujourd’hui sur le plan économique et sociale.

 

Pour notre part, nous reconnaissons le mérite de ces deux auteurs d’avoir traité la question de la crise qui secoue RDC en général et la ville province de Kinshasa en particulier, mais l’étude est restée trop complexe.

 

Albert TEVOEDJRE, dans son ouvrage intitulé « la pauvreté, richesse des peuples ».note que ce n’est pas l’argent, moins plutôt c’est le peuple qui est l’auteur de son développement, l’argent, les richesses qu’ils représentent sont les conséquences et non les fondements du développement, il cite les autres fondements du développement qui sont notamment les peuples, la terre, une juste politique et une bonne gouvernance. Pour lui, la simplicité du style de vie constitue la finalité même de développement personnel.[7]

Cet auteur conçoit la pauvreté comme la misère contre laquelle il a fait l’avant-propos de ce livre (Dan Timbergen) insurger la culture de l’opulence, caractéristique du mode d’existence d’un grand nombre de pays occidentaux, mais aussi de certains qui dans les anciennes colonies ont succédé aux postes de pouvoir « les notables, autochtones ».

De notre part, dans cet ouvrage nous reconnaissons l’effort de l’auteur d’avoir épinglé la cause centrale  du développement et traiter la question de la pauvreté que nous analysons dans ce présent travail

 

Léon Saint de Moulin, démontre que la pauvreté est un fait réel en République Démocratique du Congo et en particulier à Kinshasa. Un quartier pauvre est presque un établissement humain mal approvisionné aussi bien en électricité. Les services d’évacuation des eaux usées sont soit inexistante, soit non entretenue et saturé le ramassage des ordures est un système quasi inexistant dans la plupart des quartiers, les transports constitue un sérieux problème dans ce milieu ; il faut quelque fois marcher à pied sur des longues distances pour atteindre l’arrêt de bus le plus proche, autant de problème auquel fait face à la pauvreté est caractérisée dans la précarité de domaine monétaire, sanitaire et de l’éducation de l’emploi ». Cet auteur dénonce  les problèmes que les kinois rencontrent à cause de la pauvreté. Bien que la tâche visant la satisfaction des besoins de base de la population soit une approche colossale, il serait plus rationnel. Vu l’ampleur de travail a effectué d’orienter les premières actions d’interventions dans des quartiers les plus pauvres.

 

En ce qui concerne la lutte contre la pauvreté Léon de saint Moulin note que la lutte contre la pauvreté est devenue l’une des préoccupations des institutions internationales et des gouvernements.

 

Tous pour l’élimination de l’extrême pauvreté, réduire l’extrême pauvreté et la faim, assurer l’éducation pour tous ; promouvoir l’égalité de sexe et l’autonomisation des femmes, réduire la mortalité, l’impartialité ; améliorer la santé maternelle ; combattre le VIH/Sida, assurer un environnement durable et mettre en place un partenariat mondial pour le développement.

 

Enfin, pour les Kinois (e), pour faire face à la pauvreté, ou lutte contre la pauvreté, ils recourent à plusieurs activités pour tenir leurs survies. Pour cet auteur  la pauvreté ne renvoie pas qu’au manque de revenu, elle est un concept multidimensionnel

 

Comme on peut le constater, les différents auteurs précités se sont penchés sur la problématique de la pauvreté en insistant sur l’un ou l’autre aspect.

 

 

Dans la recherche de lutte contre la pauvreté en Afrique, Kom Tchuente B. aborde une étude intitulée : « Développement communal et gestion urbain au Cameroun : les enjeux de la gestion municipale dans un système décentralisé »[8], dans cette étude, l’auteur énumère plusieurs possibilités de développement qui peuvent intervenir au moyen des entités décentralisés. Pour l’auteur, les communes doivent être de véritables unités décentralisées, choisies par les populations locales et gérées dans leur intérêt. Ces collectivités qui produisent des ressources non négligeables, auraient pu devenir le moteur du développement local si elles jouissent, dès le départ, d’une vraie autonomie au sein d’un espace politico-administratif réellement décentralisé.

Dans le contexte actuel du Cameroun dit l’auteur, il serait souhaitable que les moyens juridiques et financiers des communes soient accrus, sans pour autant entrainer l’affaiblissement de l’Etat. L’objectif de l’auteur est de faire des communes de véritables organisations locales de développement, aptes à générer des ressources sur place pour promouvoir le bien-être des populations.

Quant à nous dans cet ouvrage nous saluons les efforts de l’auteur  d’avoir abordé le même problème que la population kinoise, ONG et  les communes de la ville provinces de connaissent jusqu’ aujourd’hui, qui freine leurs développement       

L’auteur plaide ici pour la prise en compte de la population, des ONG et autres organisations d’appui en milieu urbain et rural comme acteurs et partenaires des municipalités dans le processus du développement local.

S’agissant de notre  préoccupation  dans  ce travail après analysé l’ensemble de réflexions de diffèrent auteurs consiste à démontrer le métier de manucure et pédicure  ambulant comme stratégie de survie et de lutte contre la pauvreté  à Kinshasa.

 

2. PROBLEMATIQUE

 

La lutte contre la pauvreté en RDC n’est pas un fait récent comme on peut le croire, depuis plusieurs décennies, cette préoccupation était au centre de discussion internationale et nationale, et plusieurs projets et tentatives ont été mis sur pied dans le seul but,  de sortir ce pays dans pauvreté.

L’Afrique en général et la RD Congo en particulier  traverse une grande crise économique dont les effets  se sentent sur le plan externe et interne.

Sur le plan externe, s’observe principalement dans la croissance de l’endettement extérieur du pays et difficulté de le rembourser surtout  pendant la 2ème république, sur le plan interne c’est à  travers quelques indices dont les plus saillants sont la baisse du pouvoir d’achat des ménages et les faibles revenus professionnel, sans oublier le chômage.

 

Cette situation a entrainé l’émergence et le développement d’un nombre considérable d’activité informelle comme palliateur aux différentes conditions de vie des congolais.

 

En effet, à l’accession de la RDC à la souveraineté internationale, la situation socio-économique des congolais était relativement mieux ; aujourd’hui, cette réalité plane dans la confusion. A ces propos, SHOMBA K.S et KUYUNSA soutiennent qu’« à l’époque de l’indépendance déjà, le Congo était compté parmi les pays africains les plus avancés sur le plan économique » il disposait déjà d’une série des industries basées à Kinshasa (Léopoldville) et à Lubumbashi (Elisabethville) qui permettaient aux congolais de vivre dans des bonnes conditions(5).

 

Au niveau des familles, les parents assuraient correctement leurs responsabilités, ils  recevraient un salaire suffisant et bénéficiaient  même des allocations familiales convenables pour stabiliser les foyers.

Une décennie après l’indépendance (les années 70), le pays commençait à perdre l’équilibre économique léguer par la colonisation (la Belgique); cette situation était occasionner par plusieurs événements malheureux. Il convient d’énumérer parmi lesdits événements : la Zaïrianisation en 1973, l’annonce de la démocratisation et la libéralisation des activités politiques le 24 avril 1990, le pillage de 1991 et 1993, la conférence nationale souveraine en 1992, l’avènement de l’AFDL en 1996 et la prise du pouvoir par L.D. Kabila le 17 mai 1997, la succession de Joseph Kabila à son père à la magistrature suprême en 2001, l’installation du gouvernement de transition  issu  de l’Accord  global et inclusif en 2003, l’organisation des élections dites « libres,  transparentes et démocratiques » en 2006, et enfin le point d’achèvement atteint le 30 juin 2010 en pleine festivité du cinquantenaire   de l’indépendance du pays.

 

Tous ces événements n’ont fait que miroiter le bonheur aux congolais sans transformer, de manière perceptible et durable, leur condition sociale. Au moment où le monde évolue et se modernise, en République Démocratique du Congo, la situation socio-économique ne fait que se dégrader.

Les gouvernements qui se sont succédé depuis l’indépendance n’ont pas transformé les potentialités du pays en des conditions de vie décentes  pour le peuple. L’accès aux ressources financières  et aux  services  de  base ( santé,  éducation, etc.) sont un casse-tête pour la  quasi  totalité  de la population.

 

Dans la lutte pour la survie, chaque individu, collectivité ou communauté, développe des mécanismes appropriés. Ceci suppose la prise de conscience par les  intéressés. C’est  dans ce contexte et pour lutter  contre  la  crise économique aiguë, que connait la ville de Kinshasa en général et le quartier Bibwa en particulier, que l’économie informelle organisée en dehors de toutes les structures ou normes étatiques a vu le jour le métier de manucure et pédicure ambulant.

 

C'est dans cette raison de lutter contre la pauvreté et débrouiller que beaucoup de jeunes kinois se donnent dans le métier de manucure et pédicure  ambulant, appeler communément à Kinshasa (BANA VERNIS), qui leurs permettent de gagner un petit rien pour la survie de  leurs  familles

 

Couper les ongles est une activité qui aide les acteurs à trouver un peu d'argent, mais ce travail provoque trop de risque.la plupart de lame rasoir, paire de ciseaux...ne sont pas toujours  désinfecter qui par conséquent peut être le vecteur ou agent causal de V I H ou encore des infections transmissible. Ce métier est un calvaire dans le sens ou ca demande de la mobilité a pied pour faire passer sa marchandise un grand nombre des acteurs propose d'abandonner si trouve un bon travail.

 

Il est à  noter aussi que la plupart ces jeunes qui exercent ce métier sont de responsable dans leur famille grâce a ce travail que leurs foyer survivent.

 

Notre problématique de recherches  s’articule autour de questions suivante :

 

-         Pour quel but les kinois se lancent dans métier de manucure et pédicure ambulant ?

-         Que faire pour atténuer ou diminuer la pauvreté a Kinshasa ?

 

0.3. HYPOTHESE DU TRAVAIL

 

Les hypothèses jouent un rôle important dans toute recherche scientifique. Elles lancent et orientent l'investigation d'ou l'hypothèse est considère comme une série des réponses supposées ou provisoire mais vraisemblable au regard des questions soulevée par la problématique.[9]

 

Les hypothèses de ce travail sont directement liée aux questions posées ci haut Il s’agit d'abord de la pauvreté qui frappe la RDC en générale et en particulier la ville province de Kinshasa .A cause de cette hyper pauvreté la majorité de kinois se lancent  dans les activités informelle entre autre le métier de manucure et pédicure ambulant pour chercher le moyen de survivre. C’est pour cette raison (chercher le moyen de survivre) dont la plus part de jeunes kinois qui n’ont pas de travail  se donnent dans le travail dite le métier de manucure ambulant qui leurs permettent de trouve quelque chose pour vivre avec leurs  familles. Donc, si les  jeunes sont  dans le secteur informel c’est à cause de la pauvreté ; la crise, chômage et sans emploi qui sont  d’actualité en RDC.

 

Alors pour faire face a cette pauvreté il faut des bonne stratégies du de développement pour bien lutter contre la pauvreté, il faut la bonne gouvernance: en lutter contre la corruption, tribalisme, favoritisme…, il faut l intervention de l Etat a tout le niveau, revoir la situation d’emploi et chômage qui pousse les kinois et kinoise  dans le secteur informel.

 

0.4 Méthodologie de la recherche

Le choix des méthodes et techniques de collectes des données est fonction de lorientation du travail, de l’étendue et de lampleur de linvestigation ainsi que dans une certaine mesure, des préférences du chercheur[10]1)

Dans le cadre de cette étude, qui traite la question de métier de manucure ambulant dans ville de Kinshasa en général et en particulier la commune de la N'sele ; le choix méthodologique  ci âpres s’avère important.

 

4.1 Méthode

 

La méthode étant une voie par laquelle le chercheur utilise pour atteindre les vérités quil poursuit comme le notent KUYUNSA et SHOMBA K les principes directeurs en matière de choix de méthode est fonction de lorientation du travail et de lampleur de linvestigation ainsi que dans une certaine mesure de préférence du chercheur. En effet, il existe une diversité des méthodes en sciences sociales mais aucune delle ne s impose au chercheur. Seul lobjet de la recherche et lorientation théorique peuvent conditionner le choix méthodologique.

 

Pour arriver à appréhender lobjet que nous nous sommes assigné dans ce travail, lemploi de la méthode dialectique savère indispensable ; ce choix se justifie par le fait que la pauvreté est un phénomène complexe et plein des contradictions, cas qui empêchent le développement, la stabilité et l’équilibre social. Dans cet ordre didée, la méthode dialectique est associée au concept de totalité en niant lisolement entre les phénomènes sociaux et soulignent que la réalité est lensemble des interactions entre ses différents  élément.

 

La méthode dialectique opère à travers ses quatre lois fondamentales :

 

1.  la loi de la totalité ou de la connexion universelle des faits

 

Cette loi marche dans ses postulas qui sont : tout est en corrélation et en interaction ; le monde matériel forme un tout unique et cohérent ; les éléments n’évoluent pas isolement, ils sont en interdépendance. Dans le cadre de cette étude, la pauvreté doit être comprise dans sa totalité et, non comme un phénomène isolé. Autrement, la pauvreté qui vit dans la commune de la N'sele n'est quune conséquence de plusieurs autres phénomènes. (Politique, économique, social, etc) comme nous lavons évoqué ci-haut. A cet effet, les stratégies de lutte contre la pauvreté dans ce quartier, doivent être expliquées dans un contexte global de la société congolaise, caractérisée par une crise multiforme.

 

-         loi de la contradiction ou de lutte de contraire

 

              La lutte des contraires est le moteur de tout changement, car la loi de lunité et de la lutte des contraires révèle les origines et les forces motrices de l’évolution.

 

Pour nous dans cette étude la République Démocratique du Congo est un pays potentiellement riche mais sa population (90% des pauvres) croupie dans la misère et dans lhyper pauvreté.  Malgré la potentialité que couvre la RDC, les habitants de la commune de la N'sele pataugent dans lhyper pauvreté.

 

2.       loi du changement dialectique ou la négation de la négation

 

Cette loi considère que tout est en mouvement et tout est en devenir, en changement et en transformation, la nature est en état de mouvement perpétuel, de changement et de renouvellement. La négation de la négation, cela ne veut nullement dire destruction totale de la situation présente. Il sagit plutôt de la destruction des aspects négatifs et de la conservation des éléments positifs.[11]

 

En ce qui concerne cette loi, la croissance démographique constatée dans le quartier Bibwa peut être lun des éléments de changement. Et, la présence des Associations et ONG dappuis au développement, témoignent également le changement.

  

3.            loi du changement de la  quantité à la qualité

 

Cette loi pose le principe du changement de tout ce qui existe ; tout se transforme et rien ne reste immuable. A ce propos, nous pensons que de la quantité des réflexions, des études, des critiques sur la bonne gouvernance et sur la lutte contre la pauvreté pourraient amènes les natifs du coin (commune de de la N sele) à changer leurs visions face à la pauvreté.

 

4.2 Techniques

 

La méthode à elle-même ne suffit pas pour élaborer un travail scientifique, faudra-t-il ajouter des techniques de recherche pour collecter les informations afin de rendre lappareil conceptuel et théorique de notre étude plus complète et compréhensive.  De ce fait, les techniques suivantes ont été mobilisées pour «conquérir » ces informations.

 

a.     Observation directe

 

Cette technique nous a permis de palper du doigt à la réalité telle qu'elle se  présente sur le terrain. Il était question de voir comment les habitants du quartier pratiquent les différentes stratégies pour lutter contre la pauvreté et maintenir leur survie entre  autre le métier de manucure ambulant.

 

b.     Interview libre

 

Pour éviter les prises de position subjectives dues à notre expérience, nous avons recouru à linterview libre. Il a été question de nous entretenir avec certains pratiquants de métier de manucure ambulant dans la commune de la N sele.

c.      Documentaire

 

Cette technique nous a permis de lire plusieurs documents en rapport avec notre champ dinvestigation afin davoir les informations complémentaires sur notre objet d’étude.

 

5. Le choix et intérêt du sujet

 

5.1 Choix du sujet

 

Le choix de ce sujet se justifie par la présence des indicateurs remarquables de la pauvreté dans la commune de la N sele dune part, et dautre part, par le souci daméliorer les conditions de vie de la population de cette commune. 

 

5.2 Intérêt du sujet

 

Comme toute étude, notre travail présente double  intérêts : scientifique et social.  Sur le plan scientifique, l’étude apporte une contribution à toute littérature existante en sociologie du développement urbaine.

Sur le plan social, cette étude contribue à la résolution du problème de la pauvreté  et crise qui frappent la quasi-totalité de la population vivant de la commune de la N'sele

 

6. Délimitation du sujet

 

Restreindre son champ d'investigation ne devrait pas être interprété comme une attitude de faiblesse ou de fuite des responsabilités souligne Shomba K., mais bien au contraire, comme cest une contrainte scientifique.

 

Pour se conformer  à cette exigence scientifique, notre étude  comme tant d'autres, connaît des limites dans son extension d'ordre spatio-temporel.

 

Dans lespace, notre sujet s’étend sur la ville province de Kinshasa, cas de la commune de la N'sele ;

 

Temporellement, notre étude couvre la période de 2013-2014. Ladite période est marquée par une forte présence des activités informelles entre autre le métier de manucure ambulant et, une démographie galopante.

 

CHAPITRE I : GENERALITES

 

Dans une recherche scientifique, en général et dans les sciences sociales, en particulier, les généralités portent sur la clarification des concepts et en l’orientation à donner à l’étude, permettant d’appréhender les observations techniques y afférentes.

 

En effet, ce premier chapitre porte sur les généralités et se subdivise en deux sections. La première porte sur  es définition des concepts et la deuxième section à la présentation du milieu d’étude.

 

SECTION 1. DEFINITION DES CONCEPTS

 

Définir et analyser les notions et concepts de base constituent un préalable  important dans la rédaction d’un travail scientifique.il aide les lecteurs a apprendrez avec carter le contour, l’intelligence de certains faits exprimes dans le texte .Nous allons définir les concepts ci-après :

 

I.1. LA PAUVRETE

 

Etymologiquement, ce mot vient du latin et du grec. Du latin, pauper qui signifie pauvre et du grec penes  qui veut dire pauvre.

Pour le Dictionnaire Encarta, la pauvreté est une situation dans laquelle se trouve une personne n'ayant pas les ressources suffisantes pour conserver un mode de vie normal ou y accéder[12].

Selon Encarta, les tentatives d'analyse de la pauvreté s'appuient largement sur une distinction entre pauvreté relative et pauvreté absolue qui rendrait compte des deux principales manières d'être pauvre : celle des pays développés et celle des pays en développement.

La pauvreté est absolue quand le revenu perçu est inférieur à un minimum objectivement déterminé ; elle n'est que relative si les ressources sont inférieures à un certain pourcentage du revenu moyen.

Cet essai de classification, pour utile qu'il soit, est extrêmement délicat à employer car la pauvreté absolue reste, dans la façon dont elle est supportée, fonction du développement de la société, alors que la pauvreté relative dépend de l'attention, variable, portée aux besoins non alimentaires.

 

 

Guillaume IYANDA dans son étude intitulée : « l’impact du secteur informel à Kinshasa »[13], l’auteur pense que la pauvreté est l’incapacité pour un individu, un ménage, une communauté, de satisfaire ses besoins primordiaux de la vie. (L’alimentation, le logement, la sante, l’habillement…)

 

Le PNUD déclare que la pauvreté n’est pas un phénomène unidimensionnel, un manque de revenus pouvant être résolu de façon sectorielle. Il s’agit d’un problème multidimensionnel[14]. Pour sa part, la Banque Mondiale affirme que la pauvreté a des dimensions multiples, de nombreuses facettes, et qu’elle  est la résultante des processus économiques, politiques et sociaux interagissant 

 

Léon de Saint Moulin les critique tous ses auteurs en disant que la pauvreté ne renvoie pas qu’au manque de revenu, elle est un concept multidimensionnel.

 

P. IGNANCE MUKABA conçoit la pauvreté comme le  sous-développement qui nous renvoie au manque, à l’absence de moyens, de raisonnement ou intelligence.

 

P. David LUBO YAMBELE. Pense que la pauvreté est l’incapacité d’une personne  d’un ménage  d’une communauté de satisfaire ses besoins primaire et secondaire alimentation la scolarité l’habillement logement ou encore le manque de moyen de réflexion 

 

P. KINKELA NSAMBI  considère  que la pauvreté telle que présente par plusieurs auteurs et par les organisations internationale a une connotation très limitée réductrice elle renvoie à une conception matérialiste capitaliste et même économiste dans le sens ou la pauvreté se traduit à une situation de manque, des biens matériels susceptibles de satisfaire les besoins matériels d’une personne ou d’une nation[15].

 

Le PNUD parle de la pauvreté monétaire lorsqu’on est dans une situation où le revenu du citoyen est insuffisant pour satisfaire ses besoins de subsistance.

 

Ce programme met l’accent aussi sur pauvreté alimentaire en prenant en compte le besoin minimal en terme alimentaire, d’habitudes, les institutions des nations Unies utilisent deux méthodes de prise en compte, la méthode de l’équilibre clérico-protéique de la FAO et la méthode anthropométrique de l’OMS.

Quand elle utilise le rapport anthropométrique chez les enfants : le rapport de poids/âge, le rapport poids/taille et le rapport taille/ âge qu’elle compare aux indicateurs retenus pour une population d’enfants normaux.

 

Il définit la pauvreté humaine comme état de manque de capacité humaine essentielle, la pauvreté humaine touche les aspects économiques de la pauvreté à travers les conditions de vie mesurable par des indicateurs composition comme accès à l’assainissement, ou logement à l’eau potable aux soins de sante a l’éducation à l’espérance de vie, etc.

 

JOSE BELLE LORA, dans son étude sur l’informatisation, a juste titre que la pauvreté garde une dimension objective -subjective.

Dans cette perspective, elle n’est pas seulement « une situation de carence matérielles, dont quelques indicateurs socio-économiques peuvent rendre compte qu’il s agit de revenir pour des besoins vitaux insatisfaits. C est aussi un étant qualificatif, un mode de vie caractériser par la présence plus ou moins simultanée d’éléments suivants : la faim ou la sous alimentation, un état de sante médiocre, de mauvaise condition du logement, d une ambiance sociale inadéquate, analphabétisme et/ ou un bas niveau scolaire le manque de qualification, le bas salaire.[16]

 

L’auteur poursuit en disant que être pauvre signifie également travailler dur, être un citoyen de seconde catégorie, ignorer des instances officielle jusqu’au moment ou il est considérer comme un problème et relègue aux périphéries misérable ou dans de quartier précis des grandes villes.

 

D’âpres JACKE FROGET[17], il est de l ordre du constat de dire que le concept « pauvreté » ces dernières années à évoluer et continue d’évoluer rapidement. La où il y avait des générations des déshériter, il y a maintenant de nouvelles couches sociales, jusqu’ici a l abri dernière un statut social ou  une assise financière suffisante qui se sentent menacer : chômage et pauvreté deux concepts indissociables.

 

                        Le concept pauvreté se rattache a une classe sociale dont les ressources et les revenus sont faible et ne leurs permettent pas de parvenir correctement a leurs besoins primaires et secondaires. Ce sont des prolétaires

 

                        Quant a OMBA LOANGA BLANCHE NEIGE souligne que la pauvreté  est l’incapacité totale qu’a un individu de se prendre en charge.

 

LA BANQUE MONDIALELE[18]

 

Mesure la pauvreté monétaire en fixant le niveau de revenu à 1$ par personne/jour. Il est généralement mesuré en termes de parité de l’échange pour pouvoir saisir le pouvoir d’achat.

 

·        Economie[19]

 

Elle définie la pauvreté en deux façons dont nous avons :

 

·        La pauvreté absolue

 

Elle désigne une situation dans laquelle les personnes ne disposent pas des biens de première nécessité qui assure leur survie. Par exemple, elles peuvent souffrir de la famine, ne pas disposer d’eau propre, d’un véritable logement, suffisamment des vêtements ou des médicaments.

 

Et elle lutte pour rester en vie c’est une situation  courante surtout les pays en voie de développement.

 

·        La pauvreté relative

 

Elle désigne une situation où dans laquelle le mode de vie et le revenu de certaines personnes se situent tellement en deçà du niveau général. Dans le pays ou la région où ces personnes vivent que celles-ci luttent pour mener une vie normale et pour participer aux activités sociales et culturelles courantes, la gravité du problème varie d’un pays à l’autre en fonction du niveau de vie, de lsa majorité des citoyens qui y vivent dans l’extrême pauvreté absolue et relative est toujours grave et pré judiciaire.

 

Ce concept n’est pas seulement lié au manque des moyens, mais il est multidimensionnel.

Aujourd’hui, la pauvreté à Kinshasa n’est plus un problème de minorité, mais elle est devenue généraliste

 

D’après le professeur GAMBEMBO G., la pauvreté n’est pas une question de donner un autre sens à sa propre situation, posséder ou de ne pas posséder matériellement. Mais est pauvre, toute personne qui peut, au point de vue matériel, social ; pauvres sont également ces personnes qui, par leurs dépenses n’ont pas la possibilité d’avoir leur influence dans la société

Notre part, dans ce travail, après avoir analysé les idées  de tous les auteurs, des institutions et de domaine de l’économie, nous définissons la pauvreté comme l’état d’une personne, d’un foyer, d’un ménage et d’une communauté qui a une difficulté ou l’incapacité de satisfaire bien ses besoins minimums ou de base (logement, l’éducation, l’habillement, l’alimentation,)

     

I.1.METIER AMBULANT

 

C'est un nom masculin : travail dont on peut tirer des revenu pour gagner sa vie, il est un synonyme de job en anglais (profession manuelle).c’est un savoir-faire professionnel, grande habileté technique conférée par expérience est une activité manuelle ou mécanique nécessitant l’acquisition d’un savoir-faire une pratique.

 

Un métier est d’abord l’exercice par une personne d’une activité, dans un domaine professionnel, en vue d’une rémunération par extension, le métier désigne le degré de maitrise acquis par une personne ou une organisation du fait de la pratique  sur une durée suffisante de cette activité.

 

Alors le métier ambulant en son est une activité qui se déplace d un lieu à un autre généralement dans un contexte professionnel.

 

Pour nous dans ce travail le métier ambulant c’est activité formelle et informelle dont les acteurs sont tenus à se déplacer d’un lieu à un autre pour vendre leurs activités dans le but de poursuivre leur profit[20].

 

I.2. MANUCURE

 

La manucure est un soin esthétique qui se concentre sur les ongles. Elle permet de fortifier les ongles, de les débarrasser des petites peaux morte qui les entourent et d’afficher des mains soignees.il existe plusieurs types de manucures, notamment la manucure classique qui se limite à repousser les cuticules, limer et polir les ongles, et les recouvrir éventuellement de vernis a ongles. La franch manucure est une manucure ou le bout de l’ongle est verni en blanc.la pose de faux ongles peut faire partie de la manucure.

Pour nous dans ce travail la manucure  est le soin de beauté que les femmes et certain jeune homme utilisent ou mettent  pour embellir leurs ongles.

 

I.3. LE SECTEUR INFORME

 

Dans son étude intitulée « secteur informel à l’épreuve de matérialisme historique. Contribution à la conceptualisation d’un phénomène socio-économique », Olela Nonga fait allusion à un article paru dans la revue  RASSH, KIONI K.B. dans laquelle l’auteur dit que « le terme (sector informel) traduit par secteur informel ou non structurel, fut introduit dans la littérature spécialisée sur la politique de développement en général et de l’emploi en particulier  par K. Hart dans une communication sur les villes ghanéennes présentée à la conférence sur le chômage urbain en Afrique en 1971, à l’Institut d’Etudes du Développement  de Genève. Hart ayant  admis dans celle-ci le caractère dualiste du secteur informel, en secteur formel et secteur informel ou travail indépendant ».[21]

 

Selon l’auteur, l’expression secteur informel a d’abord été utilisé par Keith HART _ en 1971 en  ces termes «  le terme que je choisis est négatif mais poli ; il nomme l’innommable, étiquetant les personnes  et les activités par une absence, leur manque de « forme », comme l’entendent les bureaucrates… je soutins que les africains que je connaissais, loin d’être sans emploi, travaillent bien pour des revenus irréguliers et souvent faibles ».

Pour Gauthier De VILLERS, le secteur informel ce sont des activités pratiquées généralement par les pauvres plus ou moins en marge des institutions officielles et relevant des normes spécifiques par rapport à celle de la modernité.

 

Guillaume Iyanda conçoit ce concept secteur informel  est comme toute activité économique qui échappe à un circuit officiel dont les propriétaires ne disposent pas de numéro d’identification nationale, de registre de commerce, ne tiennent pas une comptabilité régulière dont les activités ne sont pas saisies  officiellement.[22]

 

Le rapport annuel de 1994 , élabore par les experts du B .I .T ( bureau interna du travail ), nous informe que le secteur informel serait des petites entreprises artisanales, commerciales, de transport ou encore des services qui ne sont pas intègres dans le cadre juridico institutionnel de l Etat et de l’économie .Ces entreprise sont dépourvues de statut ou règlement légal ,ne tiennent pas la comptabilité et n appliquent pas la législation du travail[23]

 

                        Pour KIONI K démontre que le terme « informa sector », traduit par le secteur informel ou secteur non structure, fut introduit dans la littérature spécialisée sur la politique de développement en général et de l’emploi particulier.[24]

                        Au Congo Kinshasa , le secteur informel est ne de la liaison de deux facteurs essentiels .le développement du capitalisme urbain et d exode rural provoquer a la foi par la politique d industrialisation des grandes villes par l abandon des milieux ruraux en ville par rapport aux dispositions du marche[25]

 

                        Le secteur informel regroupe un nombre impressionnant d’activités commerciale non recensé par l’Etat et pour lesquels aucune comptabilité systématique n’est tenue. Elles évoluent ainsi en marge de la législation depuis leurs créations jusqu’ à son expansion.

 

                        S. SHAMBA et all ont démontré que le secteur informel  aujourd’hui se présente comme nouveau système économique « la littérature attribuer généralement a Keith HART, la première utilisation du terme « informel section » traduit en français par « secteur informel ».  Apres des mission au Ghana et au Kenyan pou le compte B I T , Keit Hart rédige a plusieurs rapport et articles dans lesquels il utilise le terme « secteur informel » pour distinguer les opportunités des revenus relevant de l’emploi indépendant de celles qui se basent sur le salariat l’objectif de ces analyses était de montrer que le problème dans les pays étudier n’est pas tant le chômage que l’existence d’une importante population des travailleurs pauvres dont beaucoup peinaient très durement pour produire des bien et service sans que leurs activités ne soient pour autant reconnues enregistrées protégées ou réglementées par les pouvoirs public »[26]

 

                        OMBA LOANGA BLANCHE NEIGE, Pense que est le secteur informel est considère comme un milieu dans lequel on y trouve toute sortes des petits commerces et activités lucratives non réglementer par l Etat[27]

 

I.4. UN PAUVRE

 

C’est une personne qui vit dans des conditions misérables, qui a l’incapacité de survivre, qui a l’incapacité de mener sa vie correctement, ou qui est incapable de satisfaire ses besoins dominants de base.

D’âpres JOSE BELLE LORA être signifie également travailler dur, être citoyen de seconde catégorie, ignorer des instances officielles jusqu’au moment ou il est considère comme un problème et reléguer aux périphéries misérable ou dans de quartier bien précis.[28]

 

Selon le Dictionnaire « Petit Robert micro », il définit un pauvre comme étant une personne qui n’a pas assez d’argent, un indigent.

 

P. IGNANCE  MUKABA, démontre qu’un pauvre c’est une personne qui parasite le monde, celui qui ne pas audible entendu  par tout le monde, par tout le monde, qui n’est pas accepté par les gens.

 

I.5. MENAGE

 

1.4. Ménage

 D’après Solo Lola[29], les notions de ménage et de famille sont souvent confondues en raison de leur relation étroite. Le Lexique de sociologie définit, pour sa part, le ménage comme l’ensemble d’occupants d’une résidence principale, qu’ils aient ou non des liens de parenté.

 

Le dictionnaire multilingue publié par les Nations Unies, définit le ménage comme une unité socio-économique constituée par des individus vivants en commun[30].

 

Guillaume IYANDA définit le ménage comme étant une unité économique et sociale des personnes qui vivent régulièrement sous le même toit, sous la responsabilité d’un seul Chef et qui mange la même casserole[31].

 

Le code de la famille définit le ménage comme « l’ensemble  des époux, leurs enfants non mariés à charge ainsi que tous ceux envers qui les époux sont tenus d’une obligation alimentaire, à condition que ces derniers demeurent régulièrement dans la maison conjugale et  soient  inscrits au livret de ménage »[32]

 

L’INSEE définit le mot ménage comme l’ensemble des occupations d’une résidence principale, qu’ils aient ou non des liens de parenté[33].

 

                         J. HOUYOUX définit le ménage sur la cellule de consommation comme l’ensemble des personnes qui vivent du même revenu et mange a la même casserole.[34]

 

                        Le code de la famille a tour dans son article 443, considère que le terme ménage désigne les époux, leurs enfants non marries a charge ainsi que tous ceux envers qui, les « époux sont tenus d’une obligation alimentaire a condition que ce dernier demeure régulièrement dans la maison conjugale et soit inscrit dans le livre du ménage »[35].

 

Pour OMBA LOANGA BLANCHE NEIGE, le terme ménage est compris comme un ensemble de personnes vivant sur un même toit et qui partagent le même mode vie.[36]

 

Pour nous, le ménage est la reconnaissance ou/et la dépendance à un individu, capable de subvenir aux besoins de tous. (Habillement, nourriture, un toit...)

1.5 Développement

Le mot développement est un concept polysémique, chaque discipline l’aborde de la manière spécifique. Les économistes le définissent en termes de croissance économique, les sociologues et les anthropologues l’entrevoient en termes de modernisation.

 Mbaya Mudimba estime que le développement consiste essentiellement à faire prévoir et à satisfaire les besoins et aspirations de la société en développement en tenant compte de ses valeurs propre. Celles-ci devaient sous tendre les progrès techniques et économiques qu’elles peuvent selon le cas freiner ou favoriser.[37]

Quant à nous, le développement est un processus de changement ou d’amélioration des conditions de vie quantitatif à la qualitatif et une finalité. 

 

STRATEGIE DE SURVIE[38]

 

                        Pour EBEKUMU N SALE MONICA , la stratégie de survie désigne l’ensemble des voies et moyens de résistance contre la crise que connaissent les ménages afin de disposer des ressources nécessaires pour assurer le de le développement des activités en de l’autosuffisance alimentaire.

 

Quant à S SHOMBA K. les mécanismes de survis est conçu comme une stratégie, processus, méthode que développent de plus en plus la population face a la crise socio-économique qui s abat sur leur vécu quotidien.

                        Notre part dans ce travail, nous considérons la stratégie de survie peut être définit comme mécanisme qui permet aux gens surmonter la crise  pauvreté  chômage, un événement… dans cas nous  pensons directement aux activités r par la population kinoise  entre autre le métier de manucure et pédicure ambulant.

 

SURVIE

                        Première personne sdu singulier de l’indicatif présent

-                Le fait de survivre, de continuer à vivre

-                Prolongement de l’existence au de la de la mort

-                La prolongation d’une activité au de la du moment où elle semble menacée de disparition

 

Selon EBUMU N SALE MONICA[i], la survie est comme le fait de survivre  elle  signifie, la manière de continuer a vivre âpres un événement qui aurait pu entrainer la mort ; le fait de vivre dans les conditions difficile  la survie peut être considère aussi comme la prolongation d une activité au du moment où elle semblait menacer de disparaitre

 

D après MBIEME MONGONO , la  survie renvoie aux voies et moyen pratiques par la population de la ville de Kinshasa pour faire face a la crise qui sévit ,afin de se maintenir en .de cette façon de faire elle se traduire par les activités informelle dites maraichères , fabrication de jus ,d alcool , vent de l eau fraiche en sachet etc. Pour survivre ?

 

Dans ce travail la survie nous renvoie au mode de adapte par la population kinoise face a la crise qui sévit la république démocratique du Congo afin de se maintenir en vie Ce mode de vie peut se traduire par la débrouille, métier de manucure et pédicure ambulant et autre activités informelle similaire bref le mécanisme de crées par la population métier de manucure et pédicure ambulant  pour survivre 

 

Section 2 : PRESENTATION DU MILIEU D’INVESTIGATION

 

Dans ce point, nous présentons   la ville province  de Kinshasa en générale et en particulier la commune de Nsele singulièrement le quartier, notre milieu d’étude.

 

2.1. LA PRESENTATION DE LA VILLE PROVINCE DE KINSHASA

 

1.1.1.               HISTORIQUE

 

                        La station de Léopoldville actuellement Kinshasa, existait depuis décembre 1881.  Après la session de l’Etat indépendant du Congo à la Belgique le 15/11/1908, Boma devient la 1ère capitale de la colonie Belge. Quatre ans après, Georges MOULAERT alors commissaire de district du moyen Congo, c’est lui la dont le nom désigné actuellement un quartier de la commune de Bandalungwa plaidant auprès des gouvernements généraux WHA le 12/02 et ensuite FUCK le 15/06 pour que la capitale soit installé sur les  rives du pool.

 

                        L’arrête royal du 1/07/1923 opta  pour ce transferts qui devient effectifs qu’en octobre cela même année.

 

                        L’ordonnance N°58/56 10/08/1923, relève toujours le rôle de capitale plus tard en 1923 Léopoldville devient capitale du congo belge, chef lieu de la province de Léopoldville.

 

                        En 1941, les autorités coloniales substituent le concept de district urbain à celui de la ville dotée d’une personnalité juridique, la ville a réussi à conserver son importance même après la colonisation lorsqu’elle reprit son non valable Kinshasa dérivé d’un nom de l’ancienne histoire traductionnelle.

 

                        Dès sa récession, Kinshasa avait une superficie de 1150 Km² actuellement, il a une superficie de 9965 Km². Kinshasa se situe entre 3,9 degré et 5,1 degré de latitude sur et 15,2 degré et 16,6 degré de longitude Est.    

 

Selon l’arrêté N°69-0042 en 28/01/1969, les limités de la ville de Kinshasa se présente de la manière suivante :

 

-         A l’est et nord est par la province de Bandundu

-         Au sud par  le Congo-centrale

-         A l’Ouest par le fleuve Congo

 

1.1.2.     HYDROGRAPHIE

 

                 Le site sur l’Est bâti la ville de Kinshasa   se trouve drainé par des rivières dont les plus importantes sont la rivière N’djili et la rivière N’sele, les rivières telle que N’djili, et N’sele, combe Funa Basoko et Ndolo se jettent dans le fleuve et jouent sur rôle important dans le transfert et l’approvisionnement de la ville.

 

Les bassins hydrographiques sont LUBUNDI, MBIZA, MAMPUNZA, MAKELEKELE, YOLO MATETE, BANDALUNGWA, TSHANGU, KALAMU et TSHENKE qui ont des débits aux variations saisonnières.

 

1.1.3.     VEGETATION ET CLIMAT

 

                 Kinshasa forme des vallées favorables aux constituent maraichères et vivriers surtout dans les banlieues de la ville de Kinshasa connait deux saison (sèche et de pluie).

 

      

La commune Urbano rural et de la Nsele fut créée par l ordonnance-loi n° 68 024/du juin 1968 et bien avant cette datte, revêtue du statut de la wone annexe, rattachée au territoire de Kasangulu dans la province du Bas-Congo.

 

2.1.4. ORGANISATION POLITIQUE ET ADMINISTRATIVE

                       

                        La ville de Kinshasa répond à trois vocations :

      -Elle est une ville  province à côté de dix provinces de la République Démocratique du Congo.

 

-         Elle est la capitale administrative, politique et économique du pays.

-         Elle est une ville cosmopolite.

 

2.1.5. DECOUPAGE ADMINISTRATIF 

 

                        La subdivision de la ville province de Kinshasa répond aux prescrit du décret-loi n°081 de la 22/07/1998 portante organisation territoriale et administrative de la RDC qui en ses article 3 et 5 donné la qualité de Ville-province a Kinshasa et le statut de capitale du pays par son article 4 ce décret-loi n° confère au commune de la ville de Kinshasa le statut d’entité administratif décentralisé (EAD), avec personnalité juridique. Elles sont administrées par le bourgmestre adjoint.

 

                        Conformément aux dispositions des articles 7,2 et 7,1 de ce décret-loi, la ville de Kinshasa est subdivisée :

 

·        En commune (24)

·        En quartier (au moins 400)

 

                        Le tableau sous dessous offre la répartition des effectif de différents quartiers par commune de la ville province de Kinshasa on en dénombre au total plus de trois cent quartiers.

 

                        De la ville abord, retenons que la ville subit généralement de profondes modifications de sa configuration spéciale. Aussi le nombre de quartiers change t-il d’une époque à l’autre[39].

 

COMMUNES

QUARTIERS

COMMUNES

QUARTIERS

1

KINSHASA

7

13

KITAMBO

8

2

KALAMU

18

14

KISENSO

14

3

NGIRI-NGIRI

8

15

LEMBA

15

4

NGABA

6

16

SELEMBAO

18

5

BUMBU

13

17

LIMETE

14

6

MATETE

13

18

KIMTAMBO

30

7

MAKALA

14

19

NGALIEMA

21

8

LINGWALA

9

20

MASINA

21

9

KASA-VUBU

7

21

MONT-NGAFULA

16

10

BARUMBU

9

22

GOMBE

10

11

BANDALUNGWA

7

23

N’SELE

16

12

N’DJILI

13

24

MALUKU

 

    

2.2. PRESENTATION DE LA COMMUNE DE LA  N’SELE

 

2.2.1 SITUATION GEOGRAPHIQUE

 

La commune de la Nsele est située dans la partie orientale de la ville de Kinshasa la capitale de la RDC en ses limites qui sont définies par larrêté ministériel n 69 0042 du 23 01 1969 est limitée :

 

Au Nord  par le fleuve Congo  partageant ainsi la frontière liquide avec la République du Congo Brazzaville ;

 

Au Sud par la rivière MUKZEME jusqua sa source et  des sa source une ligne droite jusqua la rivière Ndjili faisant frontière avec le territoire de Kasangulu et une partie de la commune de Maluku ;

 

A lEst par la rivière NKAO jusqu’à son point de sortie sur le lac NGAENKE  faisant frontière avec la commune de Maluku ;

 

A lOuest la rivière NTSUENKE jusqua son confluent avec le fleuve Congo  et de sa source  la ligne droite jusqu'à la rivière  BOSUMU ligne haute  tension jusqua  rivière Ndjili la séparant ainsi des communes de Kimbaseke,  Masina Mont-ngafula   et le territoire de Kasangulu.

 

La commune de la Nsele à une superficie de 898.79km, elle est la deuxième commune de son étendue après Maluku. Elle compte  328.415 nationaux et 675 habitants étrangers qui fait au total 329 .090 habitant, elle à une densité de 385 habitants par km2.

 

 

 

La commune de la Nsele est principalement peuplée par les tribus ci-après :

 

§   TEKE  Humbu  (autochtones) ;

§   NGALA (équateur) ;

§   Yaka  Mbala  Yansi et autres  (Bandundu) ;

§   Luba  ATETELA songe  (2 Kasaï)

§   Kongo   Bas- Congo ;

§   Swahili Katanga (Province Orientale, Nord-Kivu, Sud-Kivu, Maniema).

 

 

Ø Statistique de la population

 

          NATIONUX

          ETRANGERS

 

TOTAUX

   H

   F

    G

   F

TOT

    H

     F

    G

F

TOT

   70.092

   76.326

     9.838

    92.159

   328.415

  142

 154

 170

  209

6775

  329.090

 

La commune de la Nsele est une entité urbano rurale ses activités sont essentiellement focalisé dans les domaines suivants :

 

-         Lagriculture ;

-         L’élevage ;

-         Pèche.

 

Ø Subdivision de la commune de la Nsele

 

Est subdivisée en 30 quartiers et quelques 05 postes administratifs qui fonctionnent en étroite collaboration avec le bureau du quartier dont ils sont issus, il sagit :

 

1.     Badara 

2.     Bahumbu I

3.     Bahumbu II

4.     Bibua  I

5.     Bibua II (Munziami)

6.     Buma  

7.     D I C/LAU  

8.     Dingi Dingi 

9.     Domaine 

    10.  Fleuve

    11.  Kikimi  

    12.  Kindobo    

   13.  Maba  

   14.  Mangengenge 

  15. Mikala I  

  16. Mikala II  

  17. Mibu    

  18. Mikondo 

  19. mikonga1    

  20. Mikonga II 

  21.  Mpasa I  

  22. Mpasa II 

  23. Mobanse

  24. Munke

  25. Ngampanga

  26.  Ngina   

  27.  Pecheurs  

  28.  Sicotra  

  29.  Ingang/Mantere 

  30.  Talangai

 

 2.2.2. LA SITUATION ADMINISTRATIVE

Comme la constitution le recommande la commune de la Nsele est dirige  par :

 

1. Bourgmestre Titulaire (NKAMA  INDI)

2. Bourgmestre Adjoint (MAKIE NA  ANKINI) ils sont épaulés par le Chef de Bureau qui est le Coordonnateur  des activités administratives de la Commune en la personne de Monsieur (JOSE  MOTA  NGAMUSIMI)

 

La commune de la Nsele regorge en  son sein 5 groupements coutumier à savoir :

 

1 Buma dirige par monsieur NGUNDIO MAYASI

2  Kikimi par   Monsieur MATEDI MANDO

3  Mikondo dirigé par Pedro MIBU MONTALI

5  Kingankati   qui est  en achevale  entre  Nsele et Maluku

 

La commune de la Nsele compte 574 agents +209 nouvelles unités.

 

 

2.3 LE QUARTIER BIBWA

 

2.3.1. HISTORIQUE

 

                 D’abord un village qui s’appelle Bibua Bongolo qui dépendait du quartier Mikongo. En 1992 il est devenu quartier sur décision de l’autorité municipale de l’époque et ce jour dirigé par mosimba ngango comme chef de quartier et kingata lufuma chef de quartier adjointe en 2005 le quartier et KINGATA LUFUMA décision n°060/BBC/CN’S/023/01/2005 du bourgmestre de la commune de la N’sele à partir de l’auto route jusqu’à l’avenue LENA.

 

2.3.2.  SITUATION GEOGRAPHIQUE :

Le quartier Mpasa III/bibwa à une superficie de 6km2 borné au Nord par l’auto route la national il et le quartier sicotra/ lokali, au Sud par la rue lena et quartier munziami/bibwa il, à l’Est par l’avenue kimbuta et quartier bahumbuI, et à l’Ouest par la rivière bibwa et le quartier talangai, il compte actuellement 16.245 habitants nationaux et l’effectifs de la population s’augmente à cause des taux de loyers majorés par des bailleurs et ceux qui ont parcelles préfèrent habité dans les hagards que de rester des locataires au centre ville.

 

2.3.3.  SITUATION ADMINISRATIVE :

 

Rappel sommaire mission du chef de quartier

Ø  Protéger les personnes et leurs biens

Ø  Cordonner l’administration à tous les niveaux

Ø  Exécuter et faire exécuter les instructions des autorités hiérarchiques

Sensibiliser la population aux travaux communautaires le quartier Mpasa II/bibwa est subdivisé en 6 localités qui dirigé par les chefs de localités, leurs attributions sont des ambassadeurs vis-à-vis du chef de quartier.

 

L’administration quartier Mpasa III/Bibwa est dirigé par Monsieur Mosimba Ngango comme chef de quartier et kingata lufuma chef de quartier adjointe, à la cour de l’année 2014 il ya eu permutation au sein du bureau du quartier Mpasa III/Bibwa, NZO NGANGWELE l’adjoint au quartier MIKALA I pour cette année le bureau à reçus 112 lettres on expédier 71 lettres et 78 convocations lancées.

 

3.               L’effectif des agents du bureau se présente de la manière suivante

 

NOM ET POST NOM

MATRICULE

GRADE

SEXE

FONCTION

01

MOSIMBA

NGANGO MICHEL

340.171

220

M

Chef du quartier

02

KINGA LFUMA Belinda

555.581

310

F

Chef du quartier Adjoint

03

NGAVU MBULU Emile

424.456

210

M

secrétaire

04

MOTA NGALIEMA

461.932

220

M

Charge de la population

05

NSUMBA NZOBE

680.650

220

M

Charge d  Etat civil

06

NGAMBWE NGAMPUTU

681.728

320

M

Agent recenseur

07

BOMA MOSOLO

461.720

220

M

Agent recenseur

08

KIMWANI MUNKE

331.548

220

M

Agent recenseur

09

DIMBWENI KUNDISA

420.928

310

F

Agent recenseur

 

IMPIA MAYA

553.558

310

M

Agent recenseur

10

INDONDO JOELLE

679.873

220

F

Agent recenseur

11

NINGA MAVITA

681.419

310

F

Agent recenseur

12

BAFONA

N. U

N.U

F

Agent recenseur

 

Infrastructure

Le quartier Mpasa III/Bibwa compte dans son ensemble 5 avenues et 78 rues, pas de terrain de loisir le bureau de quartier mpasa III/bibwa devient propriétaire.

 

4.       Social

Ø   19 dispensaires ;

Ø   10 centres de santé ;

Ø   11 écoles maternelles ;

Ø   Ecoles primaire

Ø   12 écoles secondaires ;

Ø   40 églises ;

Ø   83 maisons de communications.

 

5.   Sur le plan économique

Le quartier dispose quelques activités économiques. Ci après :

 

Ø 112 boutiques ;

Ø 38 terrasses ;

Ø 42 pharmacies ;

Ø 5hôtels ;

Ø 35 dépôts ciments

Ø 1 boulangerie ;

Ø 14 dépôts boissons.

6.       Situations générales

Sur le plan sécuritaire : les cas de vol à mains armées ont été enregistre au cours de cette année par des hommes en informes non autrement identifiée et des personnes inciviques circulent pendant la nuit dans des maisons des paisibles citoyens pour piller et tuer, l’effectifs des policiers de S/Ciat mpasa III/bibwa I étant insuffisant, ne parviennent pas a faires face pour calmer la situation.

 

7. Difficultés rencontrées

 

Les conflits parcellaires bat recors dans le quartier mpasa III/bibwa, les auteurs sont des chefs coutumiers, leurs familles et des commissionnaires ou courtiers  qui revendent des parcelles déjà vendues en donnant des faux témoignages au bureau du quartier, quelques fois le chef de quartier doit  se présenter dans des cours des tribunaux sur des convocations ou mandant d’amener des autorités judiciaires. Des constructions anarchiques sur des voies publiques et quelques cas d’enclavement des parcelles qui sont vendues par les ayant droits coutumiers cela. Handicape les travaux de numérotation manque de caniveaux pour le passage des eaux de pluies, cela a provoqué des érosions dans les grandes avenues du quartier.

 

8. Suggestions

 

Intervention des autorités municipales et Urbaines pour l’aménagement du plan cadastrale de bibwa en ce qui concerne les avenus et les rues des enclavements des parcelles pour faciliter les travaux de numérotation implication des services des voiries OVD et office des routés pour combattre l’érosion qui menace le quartier.

 

 

 

 

 


7.               Tableau de la population congolaise et des étrangers résident dans le quartier bibwa  2014

 

Quartier

Population congolaise

Population étrangère

Population congolaise

 

MPASA 3/BIBUA

H

F

G

f

T

H

F

G

F

T

H

F

G

F

T

 

LOCALITE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1

BONGOLO 1

639

681

875

666

2.861

 

 

 

 

 

639

681

875

666

2.861

2

BONGOLO 2

592

628

828

685

2.733

 

 

 

 

 

592

628

828

685

2.733

3

MBANZA

444

567

537

530

2.078

 

 

 

 

 

444

567

537

530

2.078

4

RAVIN

710

812

818

728

3.068

 

 

 

 

 

710

812

818

728

3.068

5

DEVELOPPEMENT

628

577

679

729

2.613

 

 

 

 

 

628

577

679

729

2.613

6

LUVUSU

712

734

560

886

2.892

 

 

 

 

 

712

734

560

886

2.892

 

TOTAL

3.725

3.999

4.297

4.224

16.245

 

 

 

 

 

3.725

3.999

4.297

4.224

16.2445

 

 


8.               Tableau de la population congolaise par province d’origine résident dans le quartier bibwa  2014

 

Province

Hommes

Femmes

Garçons

Filles

Total

1

BANDUNDU

1.198

1.215

1.311

1.370

5.094

2

CONGO CENTRAL

391

455

431

402

1.679

3

EQUATEUR

440

449

497

505

1.891

4

KASA OCCIDENTAL

422

460

482

517

1.881

5

KASI ORIENTAL

624

689

809

730

2.852

6

KATANGA

106

142

97

126

471

7

KINSHASA

101

130

102

103

436

8

NORD KIVU

105

125

138

123

491

9

SUD KIVU

125

118

129

88

460

10

P. ORIENTAL

104

109

126

151

490

11

MANIEMA

109

107

175

109

500

 

Total

2.726

1.999

4.207

4224

16.245

 

 

 

Ville de Kinshasa

District de Tshangu

Commune de la N’sele

Quartier Mpasa III/bibwa

 

 


CHAPITRE II. METIER DE MANUCURE ET PEDICURE AMBULANT A KINSHASA

 

 Ce chapitre que nous aborder comprend quatre  sections:

 

Ø   la situation actuelle de métier de manucure et pédicure ambulant a Kinshasa  en général et en particulier  a la commune de la N’sele

Ø   origine de métier de manucure et pédicure ambulant

Ø   Les risques de métier manucure et pédicure ambulant

Ø   La motivation sans plus tarder nous  abordons  la première section:

 

SECTION 1 : LA SITUATION ACTUELLE DE MANUCURE s AMBULANT A KINSHASA EN GENERQL ET EN PARTICULIER  A LA COMMUNE DE L A N SELE

 

     Kinshasa vit depuis des années au rythme des sifflets dans des rues ou aux bords de marche. Sifflets mais aussi grincements strident des flacons, ces signaux signifient simplement que le MWANA VERNIS (le garçon aux vernis) passe dans la rue et propose ses soins à domicile à bas prix.

Ces jeunes kinois pratiquant de métier de manucure  ambulant sont souvent nombreux a envahir les rues de Kinshasa a la recherche de d une clientèle, ils se débrouillent a travers la manucure et pédicure ambulant pour gagner du pain quotidien.

 

Au quotidien ces jeunes gens dont l’âge varie de 15 a 25 déambulent dans les rues de Kinshasa a la recherche de client .munis toujours d un petit sac ou ils mettent toute sortes des flacons de vernis, ils ne se laissent jamais de parcourir de longue distance entre les différent quartiers. C’est à dire par exemple de quitter le quartier bibua (commune de la N’sele) à pied jusqu’à la Commune de Masina.

 

Ils offrent selon un grand nombre de kinoise interroger un service rapide a un vil prix « avec leurs savoir faire, nous parvenons facilement a rendre  nos pied et mains propre et surtout plus attirants » a témoigne une habitante de la comment de la n’sele.

 

Pour eux le but de ce phénomène est premièrement de survivre ou chercher le moyen de vivre ave sa famille, lutter contre la pauvreté et crise qui secouent la ville province de Kinshasa en général et en particulier la commune de la n’sele.

 

Apres cette brève présentation de la situation actuelle de métier de manucure ambulant  nous voici maintenant à la deuxième section.

SECTION 2 : ORIGINE DE METIERS DE MANUCURE ET PEDICURE AMBULANT

 

Cette section va nous montre comment  ce phénomène était entré dans la ville province de Kinshasa en général et en particulier a la commune de la n’sele.[40]

 

Comme nous pouvons tous le constater l historique ou origine de métier de manucure et pédicure semble un peu  ambiguïté ou flou pour de donner avec précision l origine de cette pratique informelle a Kinshasa, dans le sens  nous n’arrivons pas a déterminer de manière précise et fiable la personne ou le groupe des gens qui avait commencé ou introduit ce fait premièrement a Kinshasa, nous sommes aussi incapable (a travers nos recherches) de prouver le premier quartier qui avait commencé avec cette  activité  informel.

 

Mais ce que nous pouvons quand même reconnaitre est que ce phénomène social tire son origine dans la ville d ABIDJAN, qui est la ville économique de la cote d ivoire et dans la ville de Brazzaville  la capitale de la république du Congo.

 

La question nous nous sommes poser ici était celle de savoir comment ce phénomène est entré a Kinshasa?

Le métier de manucure et pédicure  ambulant a vu le jour a Kinshasa a travers nos frères congolais quittent le pays  (RDC) pour aller chercher la vie ailleurs (au pays voisin). Beaucoup de congolais  qui vont a l’étranger se livrent dans des activités informelle qu’ils trouvent dans le pays d’accueil entre autre   le métier de manucure et pédicure ambulant (par exemple a au Congo Brazzaville...)

 

C’est pourquoi en rentrant dans le pays, ils amènent toute pratique ou réalité vaincu ailleurs. Donc le phénomène fut arrivé à Kinshasa par le moyen de voyageuse ou refuge congolais

 

SECTION 3 : LES RISQUES DE METIERS DE MANUCURE ET PEDICURE AMBULANT[41]

 

Ce métier n est pas  sans risque face a l’épidémie de V I H << le risques de contamination par le sang est permanent étant donner que les pratiques de ce travail utilise objets tranchant >>, explique le docteur KOUASSI CALIXTE, médecin diplômer d’Etat, a l’hôpital général de KOUMASSI a  Abidjan. selon lui les risques encourus sont énormes car on ne sait pas si le matériel utiliser s’est stériliser, avec que quoi ils nettoient leurs instrument «  c'est une pratique qui n a pas d avantages car on contracter des maladies graves telle que la syphilis, le V I H , l hepatite.il n ya pas eu d’étude pour évaluer le phénomène ». Mais une chose est sure affirme le docteur : porter a un autre client le matériel déjà utilise chez un premier dont on ignore le statut séropositif c est un risque énorme.

 

En dépit du risques que présentent cette pratique informelle et incontrôlé ,il ne pas question pour nous dans cette étude de l interdire ou l’éradiquer définitivement mais il faut une règle de sensibilisation et socialisions auprès de des clients pour les inciter a être vigilant et a réclamer d avantage l’hygiène ,en soulignant qu’à défaut de stérilisateur ,il ya l alcool et l eau de javel pour désinfecter les instrument utiliser c’est a dire chaque fois et avant d’être soigner le  client doit toujours exiger la désinfection de matériel a utilise.

 

SECTION 4.  LES MOTIVATIONS

 

  Couper les onglets ou soigner les orteils est une action activité qui rapport de l argent mais comporte beaucoup de risques. Même si des gens préfèrent se ne nettoyer les onglets dans les salons de beauté ou encore al a maison, les coupeurs d’onglets disent ne pas se plaindre, car ils arrivent a gagner 4000 a 5000 ou plus comme recette journalier .qui leurs permettent de couvrirai un car de leurs besoins, de survivre avec leurs famille, d’acheter de nouveaux matériels de travail.

 

C’est à cause de ce petite motivation, ou profit que ces jeunes gens se donnent dans la pratique de métier de manucure et pédicure ambulant.[42]

 

La motivation de cette pratique informelle ne pas seulement chez les pratiquant mais nous l a trouvons  aussi chez les clients qui ne veulent plus aller dans des salons pour se nettoyer les onglets, parce que le salon coute cher .au salon pour se soigner les mains ou les pieds et couper les onglets il faut payer au moins 3000fc monter (a bibwa) alors que les acteurs de métier de manucure et pédicure ambulant le client paye simplement 200 a 500fc.

 

C’est par cette section que nous fin au deuxième chapitre maintenant nous voulons aborder le troisième chapitre que nous intitulons :

 

CHAPITRE III : CAUSES ET CONSEQUENCES  DE DE SECTEUR INFORMEL

           

 

Dans ce chapitre nous allons analyser deux sections très importantes :

 

-   Les causes de secteurs informels

-   les conséquences de secteur informel

 

 Section 1 : les causes de secteur informel

 

L’approche de l’économie informelle a pris une ampleur exceptionnelle dans notre pays au fur et a mesure que le pays s’enfonçait dans une crise économique profonde qu’il convient de relever dans les lignes qui suivent.[43]

 

L’ampleur du phénomène se remarquée des le début des années 1970 lorsque le pays a été dans des sérieuse problèmes difficultés économique dues a la rupture des équilibre fondamentaux.

 

                        C’est que cette crise a eu un retentissement considérable sur les conditions d’existence de la population en proie a des difficultés énormes telle que : le chômage l’accroissement rapide de la population, le sans emploi l’hyper pauvreté  l’impatiemment les pillages qu’a connu notre pays.

 

                        En effet, ces difficultés ont à leurs tours provoqués une baise de continue du pouvoir d achat de la population travaillant dans le secteur informel. D’ou l’émergence d un créneau du travail parallèle facile rentable animé par des personnes chercheuses à échapper a la réglementation.

 

                        Par ailleurs les causes des activités informelles dans notre pays ne sont pas seulement d ordre économique comme vous pouvez le remarquer mais aussi d’ordre politique.

 

1.1.         ORIGINE DU CAPITAL DES ACTIVITES INFORMELLES

 

                        Les activités économique des le début de la transition jusqu’a nos jours sont caractérisée par l anarchie politique la fuite des capitaux  ne s enraye pas et le secteur économique s’effondre tout en laissant l’infrastructure commerciale et industrielle suffisamment contacte pour permettre à la relance.

 

                        Pendant les années de crise, des nombreux kinois entreprennent des activités de survis, a toute formes par nécessite économique ou pour améliorer la situation matérielle de la famille

 

                        En revanche la question que nous posons c est celle  de savoir l’origine de le capital.

 

                        Nous estimons que le réseau socio informel se renforce en période de rentabilité politico économique ce qu’il faut ce qu’il existe un lien incessant entre les fonctions d épargne et les crédits il est probable que la fonction constitue le levier efficace pour les investissements dans le secteur informel

 

                        Dans un tel contexte nous essayons à ce système de responsabilité collective tel que le buakisa carte, likelemba l’entraide familiale et autres susceptibles de permette un petit fond de déroulement dans l’économie de survie il faut souligner ensuite que le système de loterie, le jeu de hasard tel que le pari mutuel urbain, vite fait etc. constituent la pièce maitresse de ce secteur

 

1.2.  LES RAISONS DES ACTIVITES INFORMELLES

 

                        Le déclin économique de la RDC a été graduel, les réseaux informels se sont des lors adaptée voir même renforcer la guerre obtienne de tous contre tous si la caractéristique des sociétés en déclin économique ne s est pas produite.[44]

 

                        Nous pensons d une part que les réseaux informels constituent ou jouent un rôle dans notre pays et ce rôle est de plus en plus important .la plus part d auteurs s accordent a dire que le déclin économique résulte moins  du facteur externe que du facteur interne appeler le mal congolais. Ceci signifie que dans la vie de tous les jours, les droits légaux aux ressources sont moins importants que les informels. Il ressort de ce qui précède que les jeunes kinois   se sont engagés dans le métier de manucure et pédicure ambulant  qui a comme avantage de procurer aux uns et autres le moyen de subsistance

 

1.3.       LES TRAITS CARACTERISTIQUE DES SECTEUR INFORMELS

 

                        Il va de soit que les activités économique en dehors des exigences et échappent au mécanisme de contrôle de l’Etat ne fait pas partie du secteur informel mais bien du secteur informel.

 

                        Originellement, le secteur informel s’analyse comme regroupant   l’ensemble des petites activités lucratives de débrouillardise qualifieront en taux de chômage déguisé, tantôt d’entreprises de substance et des services n’ayant pas été clairement identifié par l’Etat. Ainsi se présente le secteur informel il se caractérise notamment par l’absence des grands capitaux, du recours de crédit bancaire pour les investissements important d’une comptabilité régulière, d un approvisionnement stable rayon d’actions.[45]

Section 2 : Les Conséquences de secteur informel

 

                        La plus part de secteur informel sont unanimes pour épingler parmi les conséquences de l’économie formelle féminine  le fait de privé à l’Etat de ses revenus. D’après Janet Mac GOFFEY « l’informel donne lieu à l’évasion fiscale généralisée, le mépris des lois, … et la morale politique, et contribue aussi à la baisse de l’efficacité de l’administration »

                       

                        NGAO SYNAHUR R. affirme pour sa  part que «  dans la plupart des pays en voie de développement, la masse des petits commerçant échappent totalement à l’emprise fiscale »  

 

Outre ces conséquences au plan fiscal, dont certains auteurs trouvent l’explication dans la lourdeur des impôts en vigueur, il convient d’en relever d’autres au plan économique et social.

 

                        Sur le plan économique, les activités informel de jeunes se traduit notamment par la difficulté d’accès au système bancaire, la thésaurisation, la rétention des stocks, ce qui permet d’entrainer un profond dérèglement de fonction de l’économie nationale.

 

Sur le plan social, nonobstant des avantages certains que procurent l’économie informelle, en exemple le fait de pallier les carences de l’économie officielle en margent

 

Distribution d’emploi, de chômage, de salaire … cette économie comporte de nombreux inconvénients. A titre exemplatif les mauvaises_ conduits de travail pour les jeunes pratiquent le métier manucure et pédicure ambulant, l’absence de l’équité, le relâchement des mœurs etc.…[46]

Particulièrement le métier manucure et pédicure ambulant l’une des activités informelle présente  de risques et conséquences chez les clients et chez les acteurs eux  même que nous pouvons citer : facilite d’attraper le  V.I.H/SIDA et autres maladies transmise par les objets tranche à  travers  les instruments   non désinfecter que les acteurs de métier de manucure et pédicure ambulant.

 

 

CHAPITRE IV : PRESENTATION ET INTERPRETATION DE DONNEES

 

Dans le présent chapitre nous tâcherons d’abord à la présentation des données de l’enquête et ensuite procéderons à l’interprétation de celles-ci

 

Section I : Déroulement d’enquêtes

 

La publication d un résultat d une recherche nécessite que l on présente la démarche méthodologique suivie pour récolter les données dont l échantillon sur lequel a porte la recherche.

 

Notre enquête s est déroulée dans la commune de N’sele, précisément dans le quartier Bibwa, l un de quartier populaire de la commune, qui compte au moins 83 rues.  L’enquêtes a consisté en l’administration d un questionnaire auprès des acteurs ou pratiquant de métier de manucure ambulant et aussi chez leurs clients  réparties dans les Parcelles implantées dans le quartier.

 

Nous allons donc passer en revue la population d’enquêtes, montrer comment la collecte des données a été effectuée sur terrain, et enfin présenter les grandes étapes du dépouillement des principaux résultats obtenus.

 

1.     Population d’enquêtes

             

Selon MUCHELLI, la population d enquête désigne un groupe humain concerner par les objectifs de l enquête. C est dans cet univers que sera tirer l échantillon dans cette étude, la population  enquêtée est constituée des pratiquants ou acteurs de métier de manucure ambulant et les clients ou les consommateurs.

 

Tout travail scientifique doit être limite dans le temps et dans l espace. Vu la complexité des phénomènes sociaux pour  permettre a tout chercheur de ce limite sur son champ d’investigation des recherche. Vu la limite de nos moyens d une part, nous nous sommes limite sur les pratiquants ou acteurs de métier de manucure ambulant et leurs clients que nous avons  trouvé dans le quartier bibwa et aussi ceux qui viennent dans le quartier pour chercher les clients. En vu de connaitre leurs motivation, opinion, les causes, conséquences et les risques de ce métier.

 

En effet dans le cadre de cette  pressente étude, ainsi que nous l’avons signalé  si haut notre population d enquête est celle impliquer dans le métier de manucure ambulant, a Kinshasa en général et en particulier celle de la commune de la N’sele précisément plus précisément de quarter Bibwa.   Ainsi que l’indique la situation de métier de manucure ambulant dans lequel il évolue, il ne nous a pas été possible de compter cette population de quartier  Bibwa ni de trouver des archives fiables a ce sujet.

Face à cette difficulté, nous avons recourir à l’échantillon aléatoire qui nous a permis de prendre dix  rues parmi les 83 rues que compte le quartier Bibwa, c’est dans ces dix rues que nous avons pris encore un échantillon de tirage au sort de parcelles ou ménages. Dans chaque rue on prenait cinq parcelles qui nous à facilité d’interrogé nos enquêtés, toujours client et pratiquant de métier manucure ambulant donc notre échantillon est constitué de 50 personnes diviser en deux partis, 25 enquêtés pratiquants de métier de manucure ambulant et 25 enquêtés clients de pratiquant de métier ambulant.  C’est comme ça que notre démarche a été effectuée dans le quartier Bibwa pour trouver les données.     

 

2. Collecte des données

 

           Après avoir déterminé la population d’enquête, l’étape suivante a consisté à collecter les données sur le terrain. Pour ce faire, nous avons fait recours premièrement à la technique de questionnaire qui a été distribué à nos enquêtés et deuxièmes nous avons utilisé la technique d’interview et d’entretien qui nous a mis a contact directe avec nous enquêtés. Ces informations récoltées,   nous allons les présenter sous formes de tableaux.

 

3. Dépouillement de données

 

Le dépouillement de données constituer  à répertorier et classée les données récoltées selon les aspects envisagés par l’analyse du contenu. Cette analyse nous a permis de procédé au  pointage des effectifs enregistrés pour arriver à déterminer le pourcentage des sujets ayant répondues aux différentes questions de notre étude. Voici la formule capitale utilisée et reconnue de tous ceux qui nous ont aidés.                                                         

        

 

Le traitement de questions fermées était naturellement plus facile que ce lui de questions ouvertes.

 

Comme nous avons répéter mainte et reprise  notre enquête a été effectué sur deux catégorie d’acteur :

 

Ø Chez les pratiquants de métier de manucure ambulant (les vernisseurs) ;

Ø Chez les clients des dite métier (qui soignent  leurs onglets par les vernisseurs).

 

C’est pour cette raison que nous voulons commencer les dépouillements de données de pratiquant de métier manucure ambulant et enfin procéderons avec les clients.

 

 

CHEZ LES PRATIQUANS DE MANUCURE AMBULANT      

 

Tableau N° 01  Repartions d’âge. Etes-vous de quelle catégorie d’age

 

Age

Effectifs

%

01

14-18 ans

14

56

02

21-25ans et plus

11

44

Total

 

25

100

Source  enquête sur terrain

         

A la lumière de ce tableau nous avons observés que 14 sujets soit de 56% de nos enquêtés interroges leurs varie entre 14 a  18 ans ,11 sujets soit de 44% de nos enquêtés  interroges leur âge varie entre 21 a 25 ans et plus.

 

Tableau N° 02 Etes-vous de quel sexe

 

Sexe

Effectif

%

01

Masculin

25

1000

02

Féminin

0

0

Total

 

25

100

Source enquête sur  terrain

           

Au regard de ce tableau 25 sujets soit, 100% de nos enquêtés qui compose notre échantillon était seulement de garçons   

 

Tableau N° 03 avez-vous été l’école et à quel niveau vous avez arrêté avec les études ?

 

Niveau d’études

Effectifs

%

01

Sans instruction

3

12

02

Primaire

10

40

03

Secondaire

12

48

04

Université ou Institut supérieur

0

0

Total

 

25

100

Source : enquête sur terrain

            

Ce tableau numéro 3 nous fait voir que 3 sujets soit 12% de nos enquêtés n ont jamais  fréquenté l école, 10 soit de 40% de nos enquêtés  sont de niveau primaire, 12 soit 48% de nos enquêtés ce sont ceux qui ont eu la chance d aller a l école secondaire.

 

Il nous faut signaler tout nos enquêtes n ont pas été à l’université ni aux institutions supérieurs. 

 

 

Tableau N° 04 Etes-vous satisfait de votre métier ?

 

Degré de satisfaction

Effectifs

%

01

Satisfait

2

8

02

Non satisfait

23

92

 

 

 

 

Total

 

25

100

Source  enquête sur terrain 

 

 Tableau suivant nous que 2 sujets soit de 4%  de nos enquêtés sont de leur métier satisfait  ,23 sujets soit 96% de nos enquêtes  ne sont pas satisfait de leur métier métier.  

 

 Tableau N° 05 :Pratiqué-vous quelle religion ?

                                                    

Religion

Effectifs

%

01

Catholique

5

20

02

Protestant

4

16

03

Musulman

1

4

04

Kimbanguiste

3

12

05

Branhamiste 

2

8

06

Eglises de réveilles  

10

40

Total

 

25

100

Source enquête sur terrain

           

Les données de ce tableau nous montre que 5 sujets soit de20%  de nos enquêtés sont de catholique, 4 sujets soit 16% de nos enquêtés fréquentent l’église protestante ,1 sujets soit 4% de nos enquêtés son musulman, 3 sujets  soit 12% de nos enquêtés sont de la religion de branhamiste, 10sujets soit  40 % de nos enquêtes  sont dans des églises de réveilles. 

 

Tableau N° 06 quelle votre province d’origine ?

 

Province

Effectif

%

01

Bandundu

4

16

02

Bas-Congo

3

12

03

Province-Oriental

3

12

04

Kasaï-Oriental

2

8

05

Kasaï-Occidental

2

8

06

Nord –Kivu

1

4

07

Sud –Kivu

1

4

08

Maniema

1

4

09

Equateur

3

12

10

Katanga

2

8

11

Kinshasa

3

12

Total

 

25

100

Source : enquête sur terrain

      

Au regard de ce tableau 4 sujets soit 16% de nos enquêtes sont originaire de la province de Bandundu, 3 sujets soit 12% nos enquêtes  sont du Congo central,   3 sujets soit 12% de nos enquêtés  sont  des originaires de la province oriental, 2 sujets soit 8de nos enquêtés sont de Kasaï oriental, 2 sujets soit 8% de nos enquêtes sont des originaires du Kasaï occidental, 1  sujets soit 4% de nos enquêtés sont de la province du nord Kivu ,1 sujets soit 4% de nos enquêtés sont  du sud Kivu ,  1 sujets soit 4% de nos enquêtés sont des originaires de Maniema ,3 sujets soit 12% de nos enquêtés sont des originaires de la province de l équateur ,2 sujets soit 8% de nos enquêtés sont de la province du Katanga , 3 sujets soit 12% de nos enquêtes sont des originaires de Kinshasa. 

 

Tableau N° 07 Etes-vous marié, et vous êtes de quelle union ?

 

Situation matrimoniale

Effectif

%

01

Mariage légal

0

             0

02

Célibataire

15

60

04

Union libre

10

40

Total

 

25

100

 Source : enquête sur terrain

               

Les données de ce tableau nous montrent 0 sujets soit  0%  de nos enquêtés ne sont pas marier légalement, 15 sujets soit 60% de nos enquêtés sont de ce libateur, 10 sujets soit 40% de nos enquêtés vivent dans des unions libre. 

 

Tableau N° 08 pour  quelle raison pratiqué vous métier de manucure ambulant ?

 

Cause

Effectif

%

01

Survie de la famille

8

32

02

Crise et pauvreté

7

28

03

Divorce de parents

6

24

04

Dèce de parents

4

16

Total

 

25

100

Source : enquête sur terrain.

          

Il ressort que parmi 25 personnes interroger 8 sujets soit 32% de nos enquêtés exercent le métier de manucure ambulant pour le but de survie de leurs familles , 7 sujettes soit 28%de nos enquêtés sont pousser de faire ce travail informel a cause de la crise et pauvreté qui sont règne a Kinshasa en général et en particulier   a la commune de la Nsele, 6 sujettes soit 24% de de nos enquêtés  pratique le métier de manucure ambulant suite  au divorce de leurs parents,  4 sujets soit 16%  de nos enquêtés étaient pousser d exercer ce métier  âpres la mort de leurs parents.

               

Tableau N° 09 quelle somme d’argent gagnez-vous par jour ?

 

Montant

Effectif

%

01

4500Fc

8

32

02

5000Fc

12

48

03

6000Fc

5

20

Total             

 

25

100

 Source : enquête sur terrain.

        

A lumière de ce tableau nous avons observé que 8 sujets soit 32%  de nos enquêtés gagne par jour 4500fc, 12 sujets soit 48% de nos enquêtés trouvent 5000fc comme sommes journalier, 5 sujets soit 20% de nos enquêtés gagnent 6000fc par jour.

  

Tableau N° 10 Connaissez-vous que la contamination de VIH/Sida et autres maladies se faire aussi par les objets tranchant que vous utiliser ?

 

Connaissance de la matière

Effectif

%

01

Oui

20

80

02

Non

5

20

Total

 

25

100

Source : enquête sur terrain.

          

Il est à souligner que parmi les 50 personnes interroger 20 sujets soit 80% de nos enquêtés connaissent que le V I H/SIDA et autres maladies se contaminent aussi par les objets tranchant qu’ils utilisent, 5 sujets soit 20% de nos enquêtés n ont pas la connaissance sur la matie.

  

Tableau N° 11 : Utiliser-vous les désinfectants et autres produits pour évité le risque de contamination de VIH/Sida et les autres maladies ?

 

Utilisation 

Effectif

%

01

Oui

7

28

02

Non

8

32

03

Pas suivant

10

40

Total

 

25

100

Source : enquête sur terrain

 

 

 

Le tableau suivant nous montre que 7 sujets soit 28% de nos enquêtés utilisent le désinfectant et autres produits pour stériliser leurs instrument du travail, 8 sujets soit 32% de nos enquêtés n utilisent pas  les désinfectant et autres produits pour stériliser leurs objets tranchant, 10 sujets soit 40% de nos enquêtés ne stérilisent pas souvent  leurs instrument du travail.

 

Tableau N° 12 Combien de fois utiliser-vous les des infectants ou d’autres produits pour stérilisée les ‘instruments que vous utiliser ?

 

Combien de fois par…

Effectif

%

01

Chaque fois avant de soigne le client

4

16

02

Une fois par jour

10

40

03

Aucune fois

5

20

04

Une fois par semaine

6

24

Total

 

25

100

 Source : enquête sur terrain.

    

Il ressort que parmi les 25 enquêter s 4 sujets soit 16% de nos enquêtés utilisent les désinfectant chaque fois avant de soigner son client ,10 sujets soit 40% de nos enquêtés stérilisent leurs objets une par jour, 5 sujets soit 20% de nos enquêtés n utilisent les désinfectant même pas une foi ,6 sujets soit 24% de nos enquêtés   stérilisent les instruments une foi par semaine

 

Tableau N° 13 Avez-vous de compte bancaire pour épargné vos argents ?

 

Compte Bancaire

Effectif

%

01

Oui

2

8

02

Non

23

92

Total

 

25

100

Source : enquête sur terrain.

 

Au regard de ce tableau 2 sujets soit  8% de nos enquêtés ont de compte bancaire, 23 sujets soit   92%  de nos enquêtés n ont pas de compte bancaire.

 

Tableau N° 14 Qui est le responsable de la famille

 

Responsable

Effectif

%

01

Papa 

5

20

02

Maman 

12

48

03

Enfant

8

32

Total

 

25

100

Source : enquête sur terrain.

 Ce denier tableau nous montre que parmi les 25 personnes interroger 5 sujets soit 20%  de nos enquêtés sont de papa qui assument la responsabilité de la famille, 12 sujets soit 48% de nos enquêtés la responsabilité de foyer est assumer par les mamans, 8 sujets   de nos enquêtés c est sont des enfants qui supportent toute la charge de la famille.  

 

 Chez les clients

 

Tableau N°1 tranche d âge

 

Agé

Effectif

%

01

18 à 21

6

24

02

24 à 27

7

 28

03

31 à 34

6

 24

04

47 à 51

3

12

05

54 à 67

3

12

Total

 

25

100

                     Source : enquête sur terrain.

 

Au regard de ce tableau  6 sujettes soit 24% de nos enquêtés leurs âge varie entre  18 a 21ans, 7 sujets soit 28% de nos enquêtés interroger leur âge varie entre 31 a 34 ans, 3 sujets soit 12% nos enquêtés leur tranche varie  entre 47 a 51ans, 3 sujets soit 12% de  nos enquêtés leur âge varie entre 54 a 57 et plus 

 

Tableau N° 2 quelle catégorie de gens qui ont soigné de métier de manucure ambulant ?

Rang sociale

Effectif

%

01

Riche

0

0

02

moyenne classe

10

40

03

Pauvres

15

60

total

 

25

100

 Source : enquête sur terrain.

 

Il ressort que parmi 25 clients interroger aucun  riches ne se soignent  chez les ambulant ,10 sujets soit 40% de nos enquêtés sont de la classe moyenne et préfèrent soigner leurs ongles chez les ambulant, 15 sujets soit 60% de nos enquêtés qui sont  de pauvres se soigner que chez les ambulants.

   

 

Tableau N° 3 Etes-vous  de quel sexe ?

 

 

Sexe

Effectif

%

01

Masculin

7

24

02

Féminin

18

76

Total

 

25

100

 Source : enquête sur terrain.

 

Ce tableau suivant  nous montré que 7 sujets soit 24% de nos enquêtés sont de sexe masculin et masculin, 18 sujets soit 70% de nos enquêtés sont de genre féminin. 

 

Tableau N° 4 êtes vous satisfait de travail rendu par les ambulant ?

 

Degré de satisfaction

Effectif

%

01

Satisfait

10

40

02

Non satisfait

6

24

03

Pas tellement

9

36

Total

 

25

100

 Source : enquête sur terrain 

 

A lumière de ce tableau nous n’avons observé que 10 sujets soit 40% de nos enquêtés sont satisfait a traves  le travail rendu par les ambulant, 6 sujets soit 24% de nos enquêtés ne sont pas satisfait ,9 sujets  soit 34% de nos enquêtés ne sont aussi tellement satisfait.

 

  

Tableau N°5 pour quelle raison préférez vous soignez vos onglets chez les ambulant ou lien d’allez dans des salons ?

 

La raisons

Effectifs

%

01

Bas prix des ambulant

12

48

02

Pauvreté ou crise

8

32

03

salons coute cher

5

20

Total

 

25

100

Source : enquête sur terrain.

 

Les données de ce tableau  nous montre que 12 sujets soit 48% de nos enquêtés sont motiver  d être soigner chez les ambulants au cause de  bas prix, 8 sujets soit 32% de nos enquêtés sont pousser de nettoyer leurs onglets a cause de la pauvreté et crise,5 sujets soit 20% de nos enquêtés évite d aller dans des salons parce que le prix est toujours cher.

 

 

Tableau N° 6 Avez vous la connaissance de  la transmission de VIH/SIDA par les objets tranchant que vos clients soignent ?

 

Connaissance

Effectifs

%

01

Oui je connais

18

72

02

Non je ne connais pas

7

28

 

Total

25

100

Source : enquête sur terrain.

 

Au regard de ce tableau 18 sujets soit 72% de nos enquêtés  connaissent  le VIH/sida et autres malades se  transmet par les  objets tranchant, 7 sujets soit 28% de nos enquêtés n ont pas l information sur la matie.

 

Tableau N° 7 combien exige la des infections des instruments tranchant avant d’être soigner ?

           

Exigez-vous des infections désinfectant avant d être soigner

Effectifs

%

01

Souvent

 6

24

02

Pas souvent

19

76

 

Total

 

100

Source : enquête sur terrain.

 

A lumière de ce tableau 6 sujets soit 24% de nos  enquêtés exigent souvent la stérilisation des objets de soin avant l opération, 19 sujets soit 76%  de nos enquêtés ne demande pas  souvent.

 

Tableau N°8 allez vous  vont dans  des salons pour soignez les onglets ?

 

Allez-vous dans des salons 9

Effectifs

%

01

Souvent

0

 

02

Par hasard

7

28

03

Non

18

72

 

Total

25

100

Source : enquête sur terrain.

 

Les données de ce numéro 8eme  nous fait voir que la plus part de  nos enquêtés ne vos pas souvent dans des salons de coiffure a cause de manque de moyen financier ,7 sujets soit 24%  de nos enquêtés fréquent les salons hasardement,  18 sujets soit 72% de nos enquêtés n ont jamais été dans des salons de coiffure. 

 

 

 

Tableau N°9 Etes vous marié et quelle union ?

 

Etat civile

Effectifs

%

01

Marié

4

16

02

Non marié

5

 20

03

Union

16

64

 

Total

25

100

Source : sur enquête sur terrain.

 

Il ressort que les données de ce tableau des enquêtes interroger 4 sujets soit 16% de nos enquêtés sont marie légalement, 5 sujets soit 20%  de nos enquêtés ne sont pas marier, 16 sujets soit 64% de nos enquêtés sont dans des unions libre

 

Tableau N° 10 Quel sont les genres de personnes qui se soignent par les pratiquant de métier de manucure ambulant, manucure filles garçons, papas

 

Genre de personnes

Effectifs

%

01

Papas

1

4

02

Mamans

11

44

03

Garçons

4

16

04

Filles

9

36

 

Total

25

100

 Source : enquête sur terrain.

 

Ce tableau veut tout simplement signifier que sujet soit 4% de nos enquêtés sont de papa qui  préfèrent nettoyés leurs onglets par les pratiquant de métier de manucure  ambulant ,11 sujets soit 44% de nos enquêtés sont de mamans qui se soignent par les acteurs ambulant, 4 sujets soit 16% de nos enquêtés sont des garçons qui vont  chez les ambulant pour soigner leurs onglets, 9 sujets 36% de nos enquêtés sont de jeunes filles qui admirent se nettoyer chez les ambulants     

 

Tableau N°11 avez-vous quel niveau d’études

 

Niveau d’étude

Effectifs

%

01

Sans instruction

5

20

02

Primaire

7

28

03

Secondaire

10

40

04

Universitaire

3

12

 

Total

25

100

Source : enquête sur le terrain.

    

Au regard de ce tableau 5 sujets soit 20% de nos enquêtés n avaient eu la chance d étudié ou d aller a l école, 7 sujets soit 28% de nos enquêtés ce sont limiter au niveau primaire,  10 sujets soit 40% de nos enquêtés ont arrêté avec les études  au niveau secondaire, 3 sujets soit 12% de nos enquêtés ont trouvé la chance d aller a l université.   

 

Tableau N°12 êtes vous de quelle religion ?

 

Religions

effectifs

%

01

Catholique

 3

12

02

Protestante

 2

8

03

Kimbanguiste

 4

16

04

Brahnamiste

2

8

05

Musulman

1

4

06

Eglises de réveille

13

52

 

Total

25

100

Source enquête  sur terrain.

 

A lumière de ce tableau il est à signaler que 3 sujets soit 12% de nos enquêtés sont catholique, 2 sujets soit 8%  de nos enquêtés fréquentent la religion protestante, 4 sujets soit 16% de nos enquêtés sont de kimbanguistes, 2 sujets soit 8% de nos enquêtés prient au message du temps de la fin, 1 sujet soit 4%  de nos enquêtés sont de musulman, 13 sujets soit 52% de nos enquêtés prient dans de églises de réveilles.   

 

Tableau N°13 êtes vous de quelle province ?

 

Province

Effectif

%

01

Kinshasa

2

8

02

Maniema

1

4

03

Kasaï orientale

4

16

04

Kasaï occidental

3

12

05

Bandundu

5

20

06

Nord Kivu

1

4

07

Sud Kivu

1

4

08

Congo central

3

12

09

Province oriental

1

4

10

Katanga

1

4

11

Equateur

3

12

Total

 

25

100

Source : enquête sur terrain.

 

 

 

Les données ce tableau nous fait voir que 2 sujets soit 8% de nos enquêtés sont des originaires de la ville province de Kinshasa, 1 sujet soit de 4%  de nos enquêtés sont de la province du Maniema, 4 sujets soit 16% de nos enquêtés sont des originaires de Kasaï oriental, 3 sujets soit 12% de nos enquêtés sont de Kasaï occidental 5 sujets soit 20% de nos enquêtés sont des originaires de la province de Bandundu,1 sujet soit 4% de nos enquêtés sont du nord Kivu, 1 sujet soit 4% de nos enquêtés sont des originaires du sud Kivu, 3 sujets soit 12% de nos enquêtés sont de la province du Congo central, 1 sujet soit 4% de nos enquêtés sont des originaires de la province orientale, 1 sujet soit 4% de nos enquêtés sont de la province du Katanga, 3 sujets soit 12% de nos enquêtés sont des originaires de l équateur.

 

Tableau N°14 Qui est le responsable de ménage ?

 

Responsable

Effectif

%

01

Papa

5

20

02

Maman

12

48

03

Enfant

8

32

 

Total

25

100

Source : enquête sur terrain.

 

Ce tableau nous de montre que  5 sujets soit 20% de nos enquêtés sont de papa qui assument la responsabilité de familles dans ce quartier, 12 sujets soit 48%  de nos enquêtés ce sont de mamans qui supportent la charge de  familles, 8 sujets soit 32% de nos enquêtés les enfants assument la responsabilité de foyers dans ce quartier bibwa. 

 

Tableau N°15 Etes vous chômeur agent de l’état on travailleur privé ?

 

Statut du responsable

Effectif

%

01

Chômage sans emploi

14

56

02

Fonction  et agent de l’Etat

3

12

03

Travailleur en privé

8

32

 

Total

25

100

Source : enquête sur terrain.

 

Le tableau suivant nous montre que 14 sujets soit 56% de nos enquêtés vivent dans la situation de chômage et sans emploi, 3 sujets soit 12% de nos enquêtés sont de fonctionnaire et agents de l’Etat, 8 sujets soit 32% de nos enquêtés travaillent au compte prive.

 

 

 

 

Tableau N°16 êtes vous bailleur ou locateur ?

 

 

Position de la famille

Effectif

%

01

Bailleur

9

36

02

Locateur

16

64

Source : enquête sur terrain.

 

Ce dernier tableau veut nous démontrer que 9 sujets soit36 % de nos enquêtés sont de propriétaire de parcelles, 16 sujet soit 64% de nos enquêtés sont de locateurs.

 

SECTION III : ANALYSE ET INTERPRETATION DES RESULTATS

 

 La présente section tente de répondre à cette préoccupation de métier de manucure   ambulant comme stratégie de survie à Kinshasa.

 

En d’autre terme, elle va nous permettre d expliquer la problématique sous examen en fonction de la grille théorique dialectique que nous avons utilisé tout au long de ce travail.

 

A cet effet, il convient de signaler qu’après avoir été sur terrain, nous sommes arrivés au constat ci-après.

 

Comme énoncé précédemment le présent travail a porté sur 50 personnes enquêtées qui se présentent de la manière suivante :

 

La plupart des sujets enquêtés sont des familles qui sont à situation de chômage et de manque d emploi, et beaucoup sont de locateurs.

 

Nous y trouvons aussi bien des enfants (pratiquants de métier de manucure ambulant) et de maman qui assument la responsabilité de leurs familles.

 

Il s’avère que la plupart de sujets interrogés(les clients) préfèrent soigner leurs onglets chez les ambulants  qu’aller dans des salons qui  coute cher.

 

Parmi 50 personnes interrogées, la plupart s’appuie sur l élimination de la pauvreté en s introduisant dans le secteur informel  beaucoup de familles dans ce quartier mènent leur vie que dans le secteur informel.

 

La situation s’explique davantage par la crise dans des familles le chômage ou manque d’emploi pauvreté qui signe dans notre pays ou milieu de responsables  de familles  sont privé de l emploi  et ne peuvent plus  vaquer à leurs occupations habituelles ce qu’entrave la pratique des activités informelle (métier de manucure ambulant dans le quartier.

 

 

Signalons que dans ce quartier 10 ou plusieurs personnes peuvent arriver à occuper une  maison de deux chambres et un salon à cause de manque de moyen pour  louer une bonne maison ou d’acheter sa propre parcelle.

 

Il  est à signaler  aussi que plusieurs causes  de secteur informel ont été enregistrées dans ce quartier (bibwa) dont les principales sont la misère aux familles  ou ménages qui s’expliquent par la situation économique et politique de la RDC qui occasionne la pauvreté que nous avons partout dans le pays en général et en particulier à Kinshasa laquelle pousse les habitants de Kinshasa en générale et en particulier le quartier bibwa de se lancer dans le secteur informel. Sans oublier le chômage et la situation sous emploi.

 

 

 

CONCLUSION

 

Au terme de la présente investigation, il convient de dire, notre étude était centrée sur le métier de manucure  ambulant comme stratégie de survie à  Kinshasa : Cas de la commune de N’sele  dans le quartier Bibwa.

 

Pour analyse le métier de manucure ambulant  dans le quartier Bibwa , nous avons fait appel à la méthode dialectique avec ses quatre lois. A ce qui concerne la récolte des données, nous avons fait recours aux techniques : observation directe, documentaire, interview libre, entretien et un questionnaire.

 

Comme nous ne pouvons étudier ou parcourir le métier de manucure ambulant jusqu’aux extrêmes limites de la terre et jusqu’au début des temps, nous l’avons circonscris dans la ville de Kinshasa  et singulièrement dans le quartier Bibwa comme l’indique le sujet. Et, temporellement, nous avons pris l’année 2013 jusqu’à nos jours.

 

En effet, dex questions ont constitué la problématique de cette étude, il s’agit :

-    Pour quel motif  les jeunes kinois se lancent dans le métier de manucure  ambulant ?

-    Enfin que faire pour atténuer ou diminuer les effets de la pauvreté sur cette population ?

 

Nous sommes partis de l’hypothèse selon laquelle les habitants de Bibwa ont développé les activités informelles de toute forme  entre autre le métier de manucure et pédicure ambulant pour leur survie ;  les petits commerces de rue est la monnaie courante dans le quartier; et, l’Etat reste le seul détonateur du développement dans ce quartier a travers la bonne gouvernance et la décentralisation communale.

Après analyse et interprétation des données, nous sommes parvenus à la conclusion selon laquelle, la présence des activités informelles constatées dans le quartier Bibwa est un moyen de survie et de lutte contre la pauvreté. A ce propos, l’activité informelle comme phénomène social, est à la fois un état psychologique, qui crée une contradiction idéologique chez le travailleur, chez le chômeur qui se  considère libéré en devenant propriétaire d’une petite entreprise, en même temps qu’il se croit obligé de compter sur un emploi salarié (privé ou l’Etat) meilleur pour assurer sans ambigüité le manage.

  

Suite aux maux qui rongent la ville de Kinshasa en général, particulier la commune de N’sele et singulièrement le quartier Bibua, l Etat doit assumer ses responsabilités en créant les conditions favorables pour sa population. Pour ce fait, les recommandations ci-après :

-    La bonne gouvernance(en  luttant contre le tribalisme, corruption gaspillage de ressources, favoritisme)  

-    La décentralisation communale ;

-    Encadrement de jeunes sur leur prise en charge ;

-    L urbanisation ;

-    Développement de l agriculture ;

-    Le financement de micro projet 

-    Avoir une bonne politique  de création d emploi

-    Avoir de bonnes stratégies de développement

 

Quant à la population concernée, la prise de conscience collective et individuelle sur l état de la pauvreté qui accable le quartier s avère un canal sûr au développement du  quartier, l utilisation désinfectant et autres produits chaque fois avant de soigner les clients.

 

 

 

BIBLIOGRAPHIE

I.           Ouvrages

 

1.       Gauthier DE VILLE, Le pauvre, le hors la loi, le mettre à gestion de l’économie informelle en Afrique, Bruxelles, CEDAF.

2.       IYANDA G., Impact du secteur informel à Kinshasa : cas de la commune de Kalam, PUK, sep-oct. 2002. P26

3.       LEON DE SAINT MOULIN et Alii : La pauvreté urbaine a Kinshasa, CEPAS, Kinshasa, 2004.

4.       SHOMBA K.S et KUYUNSA B. Dynamique sociale et sous développement en RDC, PUC KIN, 2001.

5.       SHOMBA KINYAMBA, Méthodologie de la recherche  scientifique, Kin, MES, 2008. p.56.

II.               Articles, Mémoires et Thèses

1.       BOUDON, R., Dictionnaire de Sociologie, Ed. Larousse, Paris, 2012.

2.       KINKELA NSABI, Economie sociale en République Démocratique du Congo : Regard sur les tontines à caractère de mutualité de Kinshasa, Mémoire de DES en sociologie, UNIKIN, 2007-2008.

3.       KINKELA NSABI, J.M., Economie sociale et lutte contre la pauvreté en Républisque Démocratique du Congo : Regard sur les tontines à caractère

4.       LUBO YAMBELE, D., Développement du territoire de Kabinda et stratégie de lutte contre la pauvreté, Mémoire de DES en Sociologie, FSSAP, UNIKIN, 2006-2007.



[1] Lubo yambele D., Développement du territoire de Kabinda et stratégies de lutte contre la pauvreté en milieu rural. D.E.S en Sociologie, Unikin, faculté des SSAP-2007

 

 

 

2Tshishimbi K.E, « Travail des enfants et des jeunes dans la ville de Kinshasa : Regard sur la responsabilité de l’Etat dans la protection des mineurs vulnérables en République Démocratique du Congo » Sociological papers, Unikin, faculté des SSAP/2006.

 

 

3KINKELA NSABI, Economie sociale en République Démocratique du Congo : Regard sur les tontines à caractère de mutualité de Kinshasa, Mémoire de DES en sociologie, UNIKIN, 2007-2008,

4 TSHISHIMBI KATUMUMONYI, La pauvreté en RDC, causes et remède in cahiers congolais de sociologie et d’anthropologie, n° 7, juillet 2004.

 

5SHOMBA KINYAMBA et all, Mutation du secteur informel en économie sociale en RDC, éd. M.E.S-kin, 2014

.6 DE VILLERS G et all manière de vivre économie de la débrouille dans la villes du Congo/zaïre  paris  l harmattan  2002

 

 

6MBAYA MUDIMBE et FRIEDHELM STR TREIFFELER « secteur Informel au  Congo Kinshasa stratégie pour un développement endogène »  édition  université africaine Kinshasa p1999 p 201

7TEVOEDJRE, A., La pauvreté richesse des peuples, éd. Economie et humanisme, les éditions ouvrière en 1977

.

 

 

[8] Kom Tchuente B. Développement communal et gestion urbaine au Cameroun : enjeux de la gestion municipale dans un système décentralisé, éd. Cle, Yaoundé 1996.

(5) SHOMBA K.S et KUYUNSA B. Dynamique sociale et sous développement en RDC, PUC KIN, 2001, p.3.

 

 

 

[9]S SHOMBA KINYAMBA, Méthodologie de recherche en sciences sociales, FSSAP UNIKIN 2011-2012

[10]1) SHOMBA KINYAMBA, Méthodologie de la recherche  scientifique, Kin, MES, 2008. p.56.

 

 

[11] Aldana R., cité par Lubo Y., op.cit, p59

 

 

 

[12] Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008

[13]  IYANDA G., Impact du secteur informel à Kinshasa : cas de la commune de Kalam, PUK, sep-oct. 2002. P26

15 Kinshasa. Cas  de la commune de Selembao, éd.PUK, Kinshasa, 2007, p.29.

PNUD, Vaincre la  pauvreté humaine. Paris, Economica, 2000, p.34.

KINKELA S Op cit

LUBO DAVID Op cit

IGNANCE MUKABA P manuel d’économies et développement G 3 sociologie 2012 2013 UNIKIN

 

 

[16] JOSE BELLE LORA « l’information et nouveaux agents économiques in alternatives Sud, IV, 2, 1997, p.32

PNUD rapport mondial sur le développement humain  1998 New york oxfor universite presse 1998 p 28

[17] JACQUE FROTE, comite pauvreté et politique  le vrai combat, harmattan, 1995, p39

OMBA LOANGA NEIGE, malewa comme mécanisme de lutte contre la pauvreté a Kinshasa, mémoire de licence en sociolgie 2012-2011 unikin

[20] www.http:fr wikipedia.org/wiki/métier et www.metier sducommerce.fr/../33888

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Manucure

OMBA LOANGA BLANCHE NEIGE malewa comme mécanisme de lutte contre la pauvreté poueles ménages a Kinshasa  études menée dans la commune de lemba au quartier livulu, mémoire de licence en sociologie p 20

P GAMBEMBO note de cours de sociologie de développement L 1 sociologie

 

[21] Olela N., Le secteur informel procès de production a la dynamique incomprise face aux enjeux du développement auto centre 2007 2008, D.E.S, FSSAP-sociologie Unikin, 

 

[22] GAUTHIER DE VILLERS ., cité par Olela N. p23

[24] KIONI K. « du concept à Fourre-tout secteur vers deux nouveaux concepts : économique traditionnelle et économie clandestine », in Revue de l’institut des sciences du travail, UNTZA 

 

 

 

[26] S. SHAMBA k et all, op.cit, p.21

[27] OMBA LOANGA BLANCHE NEIGE, op.cit

[28] José Bell Lora,op.cit, p.19

 

[29] Solo Lola, Migrations internationales, situation des ménages dans le pays d’origine et retissage des liens familiaux, D.E.S, Unikin-Sociologie, 2012, p41 

[30]. R. KAHINDO MUSAY., op. cit., p.7.

[31] Guillaume IYANDA, op. cit.

[32] . KALONGO MBIKAYI, Code  civil  et  commercial congolais, C.R.D.J., Kinshasa, 1997, p.93.

 

[33] L’INSEE, Sciences économiques  et sociales, Bordas, paris, 1997, p.301

[34] J. HOUYOUX, le  budget ménager, nutrition et mode de vie à Kinshasa, PUZ, kin, 1973, p.37

[35] Code de la famille, journal officiel de la République du Zaïre, Août 1987, p.134

IGNANCE MJKABA op cit 

[36] OMBA LOANGA BLANCHE NEIGE, op cit p22

 

 

[37] Mbaya M., cité par Lubo y., op.cit, p26

[38]https : //fer.m.wikipedia.org/wiki/22 strategies

EKUMU N SALE MONCA,petite elevage une strategie de survie des menage de la commune de kqlqmu a kinshasa  cas du quartier sud yolo-sud p 23

 

[39] Htt//www.mémoireloline.com/…m-le-rle-de

EKUMU N SA LE MONICA op cit

MBIME MONGONO AMEDEE ; les activités économiques informelles vie et survie, cas des mamans marairecheres de n djili quartier huit, mémoire de licence en sociolgie  année 2004-2005 p 22

 

 

[40] www.adiac-congo.com/... /beauté-la…

 

 

[41] News.abidjan.n/et…/518979

 

 

[42] www.linfodrome.com/.../18445-univers-...

[43] MAYOTE NZABWANG NOELLA « causes et conséquences des activités informelles famines dans la ville de Kinshasa commune de lemba : Cas du quartier Livulu, Mémoire de licence en Sociologie, 2003-2004, p29 

[44] MAYOTO NZOBWANG Noëlla, op cit

[45] MAYOTO NZOBWANG Noëlla, op.cit.

 

[46] Janet Mac Goffey, cité par MAYOTO NZOBWANG Noëlla

NGAO SYNATHUR, Les notes de l’impôt dont le pays en voie de développement, Paris LGD, 1974, p58

Dictionnaire Usuel, PUF , paris 2001 ,p.13

MUCHELLI, Questionnaire dans l enquête psycho sociale éd PUF paris, 1973 p. 13



[i]

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