La banque est appelée à faire face aux sollicitations exponentielles du marché des services et aux initiatives de la concurrence raison pour laquelle elle se doit d’être compétitive en matière de la technologie. Le métier de banquier étant devenu de plus en plus complexe, la sécurité, le contrôle et le suivi des risques sont de ces domaines de plus en plus prépondérants. Le facteur clé de succès d’une banque doit se traduire en des termes tels que: la banque est un réseau de confiance. Ainsi donc, l’intégration de la transaction bancaire online devra prendre en compte cette dimension des choses.
En RDC, l’internet et le téléphone mobile, prennent de l’ampleur mais il n’y a pas plus de 100 000 comptes bancaires ouverts à ce jour sur toute l’étendue du pays; et les banques font abstraction de prendre en compte cette donnée du marché.
Enfin, il est utile de souligner que le progrès de l’informa tend à dématérialiser les modalités de circulation monétaire développer de nouveaux moyens de paiements.
Les hommes cherchent à bien garder leurs argents, gardent dans des coffres forts, porte-monnaie, mais c’est la banque qui est parmi tous les instruments utiliser par les hommes pour garder leurs monnaies. La banque depuis sa création reste et est restée fiable aux yeux de tous ceux qui lui font confiance.
Malgré la confiance lui accorder par les hommes d’affaires, gouvernement et autres, la banque ne se contente pas de ses succès mais cherche toujours à innover et apporter beaucoup des changements sur sa façon de fonctionner pour ainsi s’adapter aux différents changements, et à la révolution que connaît le monde actuellement.
Dans son évolution malgré le succès qu’elle a connu, la banque a connu aussi plusieurs événements malheureux, comme le vol, le dysfonctionnement due au retard du retrait de l’argent par des propriétaires.
Ainsi toute entreprise vise à maximiser son profit. Partant de ce principe, elle a comme devoir de créer la différenciation avec d’autres banques parmi tous les instruments utilisés par les hommes pour garder leurs monnaies. La banque depuis sa création reste et est restée fiable aux yeux de tous ceux qui lui font confiance.
Malgré la confiance lui accorder par les hommes d’affaires, gouvernement et autres, la banque ne se contente pas de ses succès mais cherche toujours à innover et apporter beaucoup des changements sur sa façon de fonctionner pour ainsi s’adapter aux différents changements, et à la révolution que connait le monde actuellement.
Dans son évolution malgré le succès qu’elle a connu, la banque a connu aussi plusieurs événements malheureux, comme le vol, le dysfonctionnement due au retard du retrait de l’argent par des propriétaires.
Ainsi toute entreprise vise à maximiser son profit. Partant de ce principe, elle a comme devoir de créer la différenciation avec la concurrence, dans le but de satisfaire sa clientèle, soit par la qualité de ses services et de prestation, soit par la création des produits toujours à la pointe de l’innovation.
La banque online ou en ligne passe pour être une innovation dans le secteur bancaire congolais. En effet, elle met en concurrence le fonctionnement des opérations des banques traditionnelles qui essayent de s’adapter ou qui ignorent encore son existence sur le marché.
Le conflit armé interne ou encore conflit armé non international est synonyme de « guerre civile ». Il se caractérise par l'affrontement qui oppose les forces armées d'un Etat à des forces armées dissidentes ou rebelles. Le droit applicable durant de tels conflits a longtemps été considéré comme étant une question purement interne aux Etats.
La banque en ligne suscite aujourd’hui l’intérêt, tant des acteurs bancaires et financiers que les clients, qu’ils soient des individus ou des entreprises. La flexibilité d’accès, accélérée par la disponibilité d’une connexion internet de plus en plus performante et la montée d’une clientèle mieux instruite et plus technophile sont certes des facteurs de développement intéressant. La pression de cette clientèle vers une meilleure qualité des services bancaires fait émerger de nouveaux besoin d’interactions distantes.
La banque à domicile impose de nouveaux rapports avec les clients alors que précédemment la banque contrôlait le mode, le lieu et le temps de la relation avec le client. C’est aujourd’hui pour l’essentiel, le client qui contrôle cet ensemble. Grace à des outils de plus en plus performants (rapidité des prestations, assurées souvent en temps réel, gamme des produits et services offerts....), la banque en ligne devient une banque de proximité en RDC en général et précisément à la RAWBANK.
Enfin, grâce à l’internet, la banque peut complètement gérer les clients qui ne passent jamais à l’agence. L’internet permet de personnaliser la relation avec chacun des clients, grâce à la mémorisation des comportements individuels; il permet ainsi de mieux cibler les propositions ultérieures. Il est également un puissant outil de transaction et formidable instrument de promotion et d’animation de la vente.
La profession bancaire a découvert que les clients en ligne étaient demandeurs davantage de services bancaires, selon une étude de WELLS FAGRO, un client en ligne gère 50% de revenu en plus (pour le pays développés). L’agence gardant une place prépondérante dès qu’il s’agit de vendre autre chose que des produits standardisés et jouant un rôle nouveau de formation des clients à l’utilisation d’internet.
Nous pouvons donc, en se basant sur les aspects sus évoqués nous poser les questions suivantes : Les mesures de sécurisation de transactions online mise en place par la rawbank sont-elles efficace? Sinon, les fraudes enregistrées sont-elles dues à l’imprudence de la rawbank ou des clients eux-mêmes ?
CHAPITRE 2. TRANSACTIONS BANCAIRES ONLINE
Les transactions bancaires onlines sont les opérations bancaires qui s’effectuent à distance sans intervention physique d’un agent, un ensemble des services bancaires par internet ou plus généralement par voie électronique. Les services bancaires généralement proposés par une banque à distance sont : la consultation des comptes, des virements, d’Operations de bourse, des opérations de banque à distance sont définies dans la loi bancaire et des services d’investissement dans la loi MAT permet de fonder le monopole des établissements de crédit et des prestataires de services d’investissement.
La loi bancaire distingue les opérations de banque proprement dites et les opérations connexes.
a. les opérations de banque sont de trois ordres:
La réception de fonds du public laissés â la libre disposition de la banque, avec la seule obligation de les restituer; Les opérations de crédit au sens le plus large, c’est-à-dire des avances de fonds â dire onéreux ou des opérations de crédit-bail ou encore des engagements bancaires; la gestion et mise à disposition des clients de moyens de paiement, définis comme tout support ou technique permettant de transférer des fonds.
b. L’article 5 de la loi énumère les opérations connexes
- opérations de change et transactions sur or; - opérations liées à la gestion de portefeuille (transactions et garde de valeurs, - conseil, assistance, ingénierie financière à destination des entreprises - opérations connexes aux opérations de crédit-bail.
Au contraire des précédentes, définies dans l’article les opérations de l’article 5 ne sent pas l’apanage exclusif des établissements de crédit, mais ceux-ci peuvent les exercer sans limitation. Les établissements de crédit peuvent également accomplir d’autres activités (par exemple, la commercialisation de produis d’assurance, la vente de voyages). Enfin, l’article 6 de la loi bancaire précise qu’ils peuvent, à l’instar des autres sociétés, prendre des participations dans les entreprises industrielles et commerciales, dès lors que les règles pr3knfll 11es édictées par le Comité de la...
La banque et les systèmes de paiement
Dans l’approche, déjà évoquée, de Gurlev et Shaw, les banques ne sont que des intermédiaires financiers parmi d’autres, dont une des particularités est d’avoir à gérer les circuits de paiement. À cet égard, les banques sont désavantagées par rapport aux autres intermédiaires qui n’ont pas cette mission. Mais à l’inverse, si les banques ont â faire face â cette charge, elles en ont aussi le monopole de telle sorte que les autres intermédiaires financiers sont tenus de recourir à ces circuits. Alors que Gurley et Shaw présentaient les intermédiaires financiers comme des concurrents des banques, les « dualistes » soulignent qu’ils ne sont que des clients privilégiés des banques.
Le droit a consacré la mission des établissements de crédit, et notamment des banques, comme gestionnaires des moyens de paiement. Ces derniers sont définis dans la loi bancaire comme étant « tous les instruments, qui, quel que soit le support ou le procédé technique utilisé, permettent à toute personne de transférer des fonds ». Il ne peut donc pas y avoir de monnaie privée, c’est-à-dire extérieure au système bancaire pris au sens large. Parmi les établissements de crédit pouvant « gérer des moyens de paiement» figurent, outre les banques et établissements assimilés, des sociétés financières spécialisées, principalement des sociétés gestionnaires de cartes de crédit privatives. Mais dans ce cas, ces établissements ne pouvant gérer des comptes à vue, les fonds transitent seulement par eux pour être virés au compte des bénéficiaires des paiements. Finalement les paiements passent nécessairement par les banques.
On oppose également les paiements de proximité et les paiements à distance. Dans les premiers, le contact entre le créancier et le débiteur donne l’occasion aux parties de procéder à des vérifications et de juger finalement de l’opportunité de procéder au paiement. Schématiquement, dans une transaction commerciale, la livraison a lieu contre paiement. Dans les paiements à distance, on est en présence de deux intérêts antagonistes le fournisseur veut bien se dessaisir de la marchandise mais veut être sûr d’être payé, l’acheteur veut bien payer, mais veut être sûr de recevoir la marchandise. Cette difficulté, que l’on connaissait dans la vente par correspondance,...
D’une manière générale, la rentabilité d’une banque se mesure, comme pour toute entreprise, par la différence entre ses recettes (ou produits) et ses dépenses (ou charges). L’existence d’une rentabilité suffisante est le garant de la pérennité des établissements de crédit et, comme corollaire, de la stabilité de l’ensemble du système financier. On ne s’étonnera donc pas que la Commission bancaire prête l plus grande attention à ce facteur, en conformité d’ailleurs avec la mission que lui assigne la loi bancaire qui dispose, dans son article 37, que la Commission « examine les conditions d’exploitation [des établissements et veille à la qualité de leur situation financière ».
Celle-ci dépend en particulier de la maîtrise, par les établissements de crédit, des risques que leur activité les amène naturellement à assumer. Ni l’histoire de la banque, ni l’actualité des années les plus récentes, ne sont avares de signes révélant l’acuité de ces risques. Même s’il est possible d’en dresser une typologie, c’est généralement leur conjonction qui, dans les cas les plus extrêmes, peut se révéler dramatique pour les établissements (et leurs clients) lorsque les ressources propres ne permettent plus d’éponger les pertes subies.
C’est alors la solvabilité même de ces établissements qui est mise en cause. Telle est la raison pour laquelle la réglementation prudentielle, à l’instigation du Comité de Bâle, contraint les établissements de crédit à proportionner les risques assumés au montant de leurs fonds propres.
Depuis longtemps les opérations bancaires sont facilitées par les technologies de toutes sortes au bénéfice des banquiers et clients du monde. L’intervention de la nouvelle technologie concerne majoritairement deux domaines : Le traitement des données, Et la transmission de ces données d’une succursale à une autre, d’une banque à une autre et ceci à l’échelle planétaire.
Aujourd’hui, les nouvelles technologies de l’information et de la communication donnent une nouvelle impulsion aux Operations bancaires en permettant notamment aux clients de faire de transactions depuis n’importe où, même chez eux à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit.
CHAPITRE 3. TRANSACTION BANCAIRE ONLINE CHEZ RAWBANK
L’histoire commence en 1922 lorsque Mr. Meral RAWJI (grand père de M. Mazhar RAWJI, président du conseil d’administration de la RAWBANK) vient s’installer à l’Est du Congo avec sa famille et lance une petite activité commerciale à Kindu. Il y étend rapidement ses affaires vers Kisangani et, c’est le début d’une aventure entrepreneuriale passionnante.
Pionniers mais également visionnaires, la famille RAWJI investit au Congo depuis quatre générations et, les membres de la famille ont fait fi des troubles qui ont parsemé l’histoire économique, sociale et politique du pays. Quand d’autres partaient, eux ils renforçaient leur présence, conscients qu’un pays tel que le Congo, fort d’une position centrale en Afrique et riche d’un impressionnant potentiel humain et économique, est appelé à jouer tôt ou tard, un rôle de premier plan au cœur de l’économie mondiale.
Le groupe familial compte aujourd’hui plusieurs entités actives dans le commerce, l’industrie et la finance en R.D.Congo, à savoir:
BELTEXCO dont le nom est également celui du groupe familial est une société de trading spécialisée dans l’importation et la distribution de produits de grande consommation.
Plus de 1000 articles figurent dans le portefeuille de Beltexco qui représente des noms aussi prestigieux comme Colgate, Palmolive, Nestlé, Bayer, Philip Morris,…
Fondée en 1981, Prodimpex est le distributeur exclusif des produits YAMAHA en RDC. Elle représente les produits des marques Husqvarna, Kodak, Iveco, Zodiac, Siemens, Sheli, Solar,... Prodimpex dispose également de deux usines de montage pour vélo à Kinshasa et à Lubumbashi : KINGA 4 X 4 et CYCLOR 4 X 4.